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Dune contre Dune

Miguel Coelho Par Miguel Coelho
6 mars 2022
dans Cinéma(s), Art(s)
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Carte blanche au réalisateur : la carte est restée blanche

Si j’ai pris le temps d’aller voir le “Dune” de Denis Villeneuve (2021), c’était plutôt pour me changer les idées que par espoir de découvrir le chef d’œuvre du siècle.

Je n’ai pas été déçu, car je n’en attendais rien, faute d’avoir jamais réussi à comprendre tout le battage médiatique autour du très en vogue réalisateur québécois : “Enemy” m’avait paru vain et prétentieux, “Blade Runner 2049” fascinant par ses qualités visuelles, mais irrémédiablement gâché par la vacuité d’un scénario stupide (comme « Enemy », le début du film était prometteur, mais celui-ci bascule dans le manichéisme d’un James Bond de bas étage dès que le personnage de Deckard réapparaît, avec une “armée de libération” en sus, version Hollywood, une bagarre entre le « bon » androïde et l’androïde “très méchante” dans un véhicule qui prend l’eau, dont Harrison Ford parvient à se sortir in extremis : bref, on connaît). Et c’est bien le problème avec le cinéma de Villeneuve : sans jamais surprendre, il est suffisamment bon pour légitimer toutes les combines et tous les projets d’obscurs producteurs qui ont la main depuis longtemps (une main mise un peu partout dans le petit monde du cinéma), et dont le pouvoir est à raison inverse du génie créatif.

“Dune 2021” ne fait malheureusement pas exception. J’y allais pourtant sans préjugé, tout disposé que j’étais à reconnaître (enfin) l’originalité d’un cinéaste à qui (chose rare) les producteurs semblent avoir donné carte blanche (en fait, ces derniers ont d’autant plus confiance en lui que son œuvre n’a jamais fait de faux pas et n’a jamais contredit leurs attentes en termes de succès comme en termes de réalisation).

La sincérité artistique n’est pas en cause

Certes, tout est réussi au niveau technique : la photographie, les plans (trop rapides à mon goût) sur les différentes planètes, les vues sur le désert d’Arrakis ; ah, et cette scène, devenue virale sur le net, qui nous présente les Sardaukars de l’empereur en pleine prière (avec leur “muezzin” à eux). Il est vrai que Villeneuve sait poser les bases d’un univers par petites touches, sans avoir besoin d’un plan panoramique : l’atmosphère d’une planète est rendue par fragments, de l’intérieur, par un espace plus ou moins vaste ou plus ou moins confiné, un bout de mur, une très haute salle sombre (sur la planète Giedi Prime), les murs de la chambre du prince Atréide, un bout d’océan (pour la planète Caladan), de désert (Arrakis), et surtout, les sons, les voix (celle du “muezzin” des Sardaukars) pour suggérer un univers oppressant et inquiétant. L’art de Villeneuve est dans cette manière-là. D’ailleurs, son engagement dans le projet, son talent et sa sincérité artistique ne sont pas en cause.

Malheureusement, pour le reste, la prise de risque est minimale. L’intrigue suit presque plan par plan celle du film de David Lynch, on dirait un copié-collé (par exemple, la scène de l’épreuve de la “boîte” à laquelle Paul est soumis, beaucoup moins réussie que chez Lynch, ou encore la tentative d’assassinat de Paul, ou la fuite de Paul et de sa mère dans le désert ; au passage, on remarquera que toute l’intrigue tourne autour de Paul-Timothée Chalamet). La différence essentielle tient au plus grand développement de la rencontre avec les Fremen dans le désert. Et les “orni” (sorte d’hélicoptères ayant la forme d’insectes volants) sont repris de l’imagerie de Jodorowsky (la référence est sans doute volontaire). Une chose est sûre : on reste en terrain connu ; et entre le film de 2021 et celui de 1984, c’est le jeu des sept différences. Même les “lampes” qui se déplacent en apesanteur au-dessus des personnages dans le palais des Atréides se trouvent déjà dans la version de Lynch.

Et surtout, on voit si peu le Baron Harkonnen! (j’avoue que les quelques aperçus de l’irréprochable Stellan Skarsgard dans la bande-annonce avaient éveillé mon désir pour le film). Quant à l’empereur Padisha Shaddam IV, il est carrément absent (ou bien je dormais).

On veut revoir Sting en string !

Alors, c’est entendu, le film de 1984 est raté, de l’aveu même de son auteur, qui l’a totalement renié. Mais au moins, il s’en dégageait une folie parfaitement lynchienne, à commencer par le personnage du Baron Harkonnen (dont le physique me rappelait vaguement Coluche, mais un Coluche psychopathe, transformé en clown sinistre). Et puis, les quatre planètes avaient chacune leur personnalité, leur élément dominant, leur couleur dominante ; en particulier Giedi Prime, avec son univers industriel, tout en acier, lorsque le téléphérique de Pieter de Vries grince en roulant au-dessus des laboratoires (illuminés de néons sordides) où se déroulent d’inquiétantes expériences médicales supervisées par des savants aux yeux, oreilles, et bouches cousues, et autres séances de torture. Un univers… concentrationnaire ?

En revoyant ces scènes, je suis d’ailleurs frappé par l’omniprésence du vert (fond vert, peut-être ?) dans le décor « high tech » des laboratoires crypto-nazis des Harkonnen. Comme c’est étrange ! Et d’un goût délicieusement douteux. A quoi s’ajoutent les scènes d’homo-érotisme, lorsque le Baron Harkonnen étreint un jeune homme et s’asperge de son sang qui gicle, ou lorsque Sting, scène à ne pas rater, nous gratifie d’un strip-tease désopilant !

Où sont passés le sang, la sueur, la peur ?

Oui, le “Dune” de David Lynch avait cette folie qui fait si cruellement défaut aux blockbusters bien calibrés, millimétrés, de Villeneuve, qui ne sortent jamais du “cadre”, qui n’explorent jamais les à-côté d’une intrigue, ne se risquent jamais à une extrapolation métaphysique (ou sexuelle) hors des sentiers battus d’une histoire qu’on connaît déjà. Tout y est prévisible. Et le Baron Harkonnen ne fait pas peur ! Quant aux combats guerriers, aux massacres, c’est bien simple, on a l’impression que pas une goutte de sang n’est versée en dépit des cadavres accumulés.

A aucun moment je n’ai eu peur en voyant le film de Villeneuve (contrairement à l’effet terrifiant et mémorable que m’a fait le film de David Lynch). A aucun moment je n’ai ri, pleuré, éprouvé la moindre empathie pour un personnage. A aucun moment je n’ai eu le sentiment d’avoir à réfléchir sur une énigme. Aucune fascination, aucun étonnement. Pas même de la répulsion (si précieuse, quand il est question des Harkonnen). « Dune 2021 » est un film indolore.

Quant à la fable écologique de Frank Herbert, elle nourrit certes l’écosystème d’Arrakis dans le film de Villeneuve, qui a accordé une attention méticuleuse au moindre détail, jusqu’à la démarche des Fremen (la « danse de sable ») ; oui, le moindre détail, sauf la transpiration. C’est bien simple, chez Villeneuve, les corps se dématérialisent : pas de sang, pas de sueur, pas de sexe. Tout va bien.

C’est pourquoi on ne ressent rien. Pas même le temps. Car je me ne suis pas ennuyé non plus. J’ai suivi le déroulement de l’histoire dans les pas du jeune Atréide, porté par la musique de Hans Zimmer (en me demandant s’il y avait une quinte, dans la mélopée très lente). J’ai admiré la beauté des plans, des paysages, des costumes, de la photographie, du cadrage. Je me suis laissé bercer, non sans plaisir, par la lenteur du film. J’ai tenté de m’attacher, à défaut d’émotions, à des sensations (hélas, trop éphémères) de sable, de rochers, de pluie, d’acier, de magie (le vaisseau des Bene Gesserit dans le brouillard de Caladan), de combats, de marches, d’épuisement. Et puis j’ai oublié.

Tags : Alexandro JodorowskyAtreidesDavid LynchDenis VilleneuveDuneFrank HerbertHarkonnensMiguel CoelhoPaul-Timothée ChalametSardaukarsStellan Skarsgard
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Miguel Coelho

Miguel Coelho

Miguel Coelho, né à Châteauroux en 1973, est enseignant, agrégé de philosophie. A sa sortie de l'Ecole Normale Supérieure, il a pour élèves les étudiants de classes préparatoires en région parisienne, dans le Val-de-Marne. Il est l'auteur de deux recueils de poésie, Quasi-haïkus (éditions Unicité, 2018), et 2020 (éditions Le Capital des Mots, 2022). Compositeur et pianiste, il réalise des enregistrements sur des poèmes ainsi que des improvisations publiques, entre autres en accompagnant des projections de films (en 2019 : "Une page folle", film muet de 1926 par Keino Suke Kinugasa).

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