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James Ellroy – La tempête qui vient

Eric Desordre Par Eric Desordre
28 décembre 2021
dans Littéraire(s)
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La tempête qui vient, de James Ellroy, Rivages Noir, 2019 –

Chandler se fait flinguer

Mercredi 20 novembre 2019, Vincennes. James Ellroy est à la Librairie Millepages, accompagné de ses traducteurs et d’une interprète.

Chandler se fait flinguer. « An overrated writer !! » est le jugement qui revient plusieurs fois dans les références d’Ellroy en matière de romanciers. Lui se compare aux plus grands, Dostoïevski, Stendhal, Conrad… L’interprète poursuit : « Le roman est la plus pure et la plus puissante forme d’expression de la création par un être unique, l’auteur ». C’est dire l’exigence du bonhomme.

La tempête qui vient est le dernier livre d’Ellroy. Malgré un bandeau noir et rouge de l’éditeur proclamant  « son œuvre la plus ambitieuse à ce jour », on retrouve the Ellroy habituel. Du moins celui des premiers livres ; je n’ai pas suivi ses pérégrinations californiennes depuis Le Dalhia noir, ça fait un bail, 1988. C’est poisseux comme du Goodis. Changement sensible, les phrases sont encore plus courtes que dans ses premiers opus, jamais plus de deux lignes. Est-ce une évolution de style ? Quelle est en la matière l’influence des traducteurs qui se sont succédé? Quoi qu’il en soit, l’écriture est stroboscopique, les phrases se suivent sans lien apparent les unes avec les autres, participant d’une mise en ambiance assez paumatoire, imprimant un rythme de staccato déchaîné à l’intrigue, complexe.

Une liste de 89 personnages est livrée en fin de volume, avec toutefois seulement quelques mots d’information les concernant.  Y revenir dans le courant de la lecture s’avère peu utile. Sans doute faut-il avoir lu le titre précédent de la trilogie en cours, Perfidia. A défaut de comprendre immédiatement – voire jamais –  l’histoire et ses protagonistes, le nouveau lecteur se prend dès les premières pages dans les rets d’une réjouissante noirceur. On s’y perd, l’objectif n’est pas de s’y retrouver.

L’auteur utilise focales courtes et longues, passe du grand angle à la macro sur un détail torve : le sexe d’un Orson Welles vagissant qu’une « amie » se plaît à flatter dans une étuve, un bécher à la couleur suspecte entre les doigts d’un laborantin, les épaulettes d’un uniforme S.S. dans lequel un des flics adore s’admirer. Nous sommes pris à témoin. Un meurtre : « Remarquez son tatouage dans le pli entre le pouce et l’index ».

Seules les femmes s’en tirent

L.A. – Los Angeles – juste après l’attaque japonaise de Pearl Harbour en décembre 1941 est un ragoût au fumet de Chinois craints, de WASP violents au naturel, de chicanos méprisés et de japs pourchassés. Les catholiques sont des papistes voués aux gémonies. Les femmes sont les personnages préférés de James Ellroy ; plus intelligentes, plus ambitieuses, plus résolues que les hommes. Aucune âme n’est innocente. Tout le monde se fait dessouder. Les tortures au bain d’huile bouillante ont la cote.

Ellroy est un impressionniste du roman noir. Il peint par touches. Des flashs, des bouts de tissus, des bouts de corps, des lingots d’or. Sous-marins échoués, cadavres de marins japonais en pagaille ; des morts récents, des morts anciens dont on ressort les fiches d’identification. Des visites de bar à go-go-girls, de bureaux surchauffés dans l’arrière-pays semi-désertique, pleins de flics suants et de japonais torturés. Ajoutez à cela le mescal à 80 degrés dans lequel baignent des larves de papillons de nuit, l’hydrate de terpine qui sort de l’alambic et les balles de 38 que le légiste va chercher au milieu de la cervelle des victimes.

L’ogre chauve va t-il manger ses lecteurs ?

Il est tard. La queue des lecteurs devant l’auteur qui se tient debout finit par diminuer. Le pro signe vite. Il avance ; ce n’est pas la foule qui vient à lui mais lui qui monte à sa rencontre, rentre dedans comme on attaque une falaise. Une espèce de géant chauve, à la mâchoire de bouledogue, agité de tics. Aux questions pourtant étayées posées par les animateurs, il avait souvent répondu par un « Nôôô !! » guttural d’ogre cavernicole. Il hoche la tête, regarde les gens devant lui en prenant la mesure du succès de la soirée, n’a pour l’instant mangé aucun client.

Comme l’avait pressenti Pascal, le libraire, le personnage est bien au delà du politiquement correct. Servi par un ego surdimensionné et affiché avec humour, il ne se laisse pas enfermer dans les idées préconçues que nous autres Européens attendons des auteurs américains, sensés nous servir une critique politique et sociale de l’Amérique. Il exprime âprement son amour pour L.A., sa ville natale, où se mêlent sa propre vie, les personnages de ses romans mais aussi ses copains flics du L.A.P.D.* à la réputation historique de violence, pour laquelle il assume une nostalgie rogue.

Arrivé devant ses lunettes rondes une demi-tête en surplomb au dessus de moi, je le remercie pour ces heures de lecture nocturne – « night hours ». Il me répond en hurlant à la lune. Le coyote finit dans des aboiements qui réveillent le quartier. Il claque mon prénom et signe comme Zorro les premières pages de deux de ses  livres que je lui tends. Au format de poche, je les avais conservés comme des reliques de ces moments délicieux et terrifiants. Ses seuls mots seront un impératif « Go back home now ! ».

* Los Angeles Police Department

Tags : Eric DesordreJames EllroyLos AngelesRivages Noirroman noirroman policiertrilogie Perfidia
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Eric Desordre

Eric Desordre

Poète, photographe, Éric Desordre est né à Toulouse. Publié principalement aux éditions Unicité dirigées par François Mocaer, ses textes paraissent aussi régulièrement dans des revues littéraires de haut lignage poétique, entre autres : Arpa, Voix d'encre, Triages, Les Cahiers du Sens, Thauma, La Grappe. Au sein du comité de rédaction du magazine Rebelle(s), il est un guetteur d'inaperçu ayant le goût de décrire l'inobservé. Il se consacre à l'activité de « gazetier de la réflexion décalée », sans souci apparent de l’actualité.

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