• S’abonner à Rebelle(s)
  • L’ours
  • Contact
mardi 5 décembre 2023
  • Connexion
  • S'enregistrer
Rebelle(s) Mag
  • Accueil
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Société(s)
  • Littéraire(s)
  • Spécial Ukraine
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Qui sommes-nous ?
Pas de résultat
Voir tous les résultats
  • Accueil
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Société(s)
  • Littéraire(s)
  • Spécial Ukraine
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Qui sommes-nous ?
Pas de résultat
Voir tous les résultats
Rebelle(s) Mag
Pas de résultat
Voir tous les résultats

Les escrocs de l’écologie

Bertrand Pavlik Par Bertrand Pavlik
27 mars 2021
dans Société(s), Tribune(s) Libre(s)
0
Partager sur FacebookPartager sur Twitter

Article de Bertrand Pavlik, publié dans Rebelles numéro 21

Le taureau de Wall Street de l’artiste Arturo Di Modica
Le taureau de Wall Street de l’artiste Arturo Di Modica

Longtemps, je me suis couché de bonne heure, comme le dirait ce brave Marcel. Franchement, les escrocs et les mensonges de l’écologie ???? Quel rapport avec le rock ? Là, c’était la feuille blanche, le non-article. Il n’y a que des vérités en écologie. Rien qui empêche de dormir. Puis, cet été, je me suis pointé à quelques festivals rocks et j’ai lu quelques interviews. Ah ça, on en a mangé du « Cabaret Vert », du « Pou-belle » du « Festival des déchets », sans savoir si cette appellation évoquait les groupes ou les festivaliers ou un festival punk, du « Terres du Son » et du « Rock en Seine », Hidalgo, voulant faire oublier, à moindre frais, quelle est la plus grande bétonneuse de Paris. Jusque-là, rien à dire, ça sonne cool ! Hein, qui ne voudrait pas sauver la planète ? Le problème, c’est que, paraphrasant Audiard, la connerie, c’est comme les impôts, ça augmente toujours !

Un cornet de fric à la fête foraine

Rentrant serein de vacances, les vieilles gloires multimillionnaires prétendument écologiques comme Pierre Rabhi ou Nicolas Hulot, dont les seuls objets de préservation sont eux et leurs portefeuilles, me reprennent la tête avec leur merchandising à deux balles. Comme j’aime pas ! Pire, on me balance les sentences de Greta !

Oh, je n’ai rien contre la petite Greta. Je suis même sûr qu’elle est totalement sincère. Mais, en même temps que Greta Thunberg « trumpete », j’écoute l’album du groupe Greta Van Fleet, d’autres petits jeunes, guère plus vieux que la Thunberg, et qui font du Led Zepp à s’y méprendre.

Bref, écoutant leur album, Anthem Of The Peaceful Army, le titre d’une de leurs chansons, « Brave New World », me provoque une réaction genre la madeleine de Proust (qui était, en réalité une tartine beurrée à l’origine, cf. les manuscrits de « A La Recherche du Temps Perdu » publiés par les éditions des Saints-Pères et que je vous recommande).

Décidément ce brave vieux monde du capitalisme n’a pas changé ! Eureka, j’ai compris ! On me refait le vieux coup du « My taylor is rich » de l’école. Derrière tous les Greta du monde, on retrouve nos braves amis financiers capitalistes.

Bref, l’écologie, c’est comme le rock. Parti d’une rébellion contre le système, le capitalisme s’est aperçu qu’on pouvait en tirer beaucoup de billets verts ! La religion, c’est pareil, d’ailleurs, hein ? Les marchands du temple sont toujours là. Sans refaire l’histoire du rock, tout le monde sait que la rébellion dure un court instant puis que les groupes et musiciens sont récupérés par les financiers dans le seul but de vendre !

Puis, pas si rebelles, ces jeunes, puisqu’après tout, ils veulent juste prendre la place de leurs parents et tout de suite ! Jim Morrison l’a si bien résumé en chantant « We want the world, and we want it now… » dans « When the Music’s Over ». Le monde que ces jeunes voulaient, c’est un monde dans lequel on est libre… libre de consommer surtout, loin des valeurs d’épargne de leurs parents.

Pour y arriver, il a fallu casser tous les codes et créer de nouvelles échelles de valeurs. Le « Summer Of Love » avec les hippies, « Mai 68 », etc., y sont arrivés. Sous couvert de liberté, le capitalisme a su créer de nouveaux besoins, nous faire oublier le désir et tous nous transformer en bons petits consommateurs.

On a oublié que les capitalistes, notamment les financiers, sont tout, sauf des cons et qu’ils retombent toujours sur leurs pieds. Sans doute ont-ils lu « Les Mariés de la Tour Eiffel » de Jean Cocteau, pour faire leur, cette maxime « Puisque ces mystères nous dépassent, feignons d’en être les organisateurs ». C’est le cas avec le rock, la pop, la soul, le rap, etc.

C’est le cas avec l’écologie.

Un article sur un groupe de musique, Shaka Ponk, à propos du collectif « The Freaks » m’a fait « tilté » ! Un des membres du groupe explique qu’il a répondu à une sollicitation de la Fondation « La Nature et l’Homme », c’est à dire celle de Nicolas HULOT. C’est super, il s’engage à réduire son empreinte environnementale en recommandant une vingtaine de gestes qui sauveraient la planète, si tout le monde s’y mettait, comme « réfléchir à deux fois avant d’acheter »… Je sais, c’est fatigant. Le lien était patent ! Un groupe ultra-commercial, bien loin du punk dont il se revendique pour l’image, soutenu par un des millionnaires de ce que nous pouvons appeler le « capitalisme vert ».

On retrouve des jeunes idéalistes qui revendiquent leur place dans le monde et qui la veulent de suite, en critiquant le monde de leurs parents. Cela ne vous rappelle rien ? Rock n’roll is not dead, isn’t it ?

Sainte Greta, patronne des financiers des causes désespérées

En effet, derrière le groupe Greta Van Fleet, il y a des financiers qui capitalisent sur un revival Led Zeppelin ou qui recyclent ce groupe phare des seventies auprès des nouvelles générations. Pour Greta Thunberg, c’est pareil. On retrouve derrière elle des Ingmar RENTHZOG, PDG de la start up « We don’t have Time », Callum GRIEVE avec « Green Walking » et « Every Breath Matters », ou plus dangereux, Nicolas BERGGREN, l’homme qui habite dans un avion, lui permettant de visiter quatorze pays en un mois.

Ces pseudos bienfaiteurs de l’humanité ont derrière leurs structures, tous les dirigeants mondiaux, comme des entreprises du Groupe Fortune 500 (Je vous invite à lire l’article de Alexis POULIN, « Greta, la menace ? » sur le site du « Le Monde Moderne »).

Le cas de Nicolas BERGGRUEN est le plus intéressant. Vivant dans un jet privé, un de ses fonds détenant 29 % de Burger King, il est actionnaire majoritaire du premier groupe de médias espagnols, Prisa, qui détient EL PAIS, notamment. Il a également 15 % de participation dans le groupe « Le Monde ».

Pour Nicolas BERGGRUEN, il faut concevoir un cadre alternatif pour la gouvernance, excluant la populisme mais intégrant les réseaux sociaux pour diriger la démocratie dans un système avec de nouvelles institutions de médiation qui complètent un gouvernement représentatif, pour, in fine, créer un ordre mondial fondé sur des règles !!!!

Le 24 mai 2017, à 12 h 43 PM, il publiait un tweet révélateur quant à sa pensée “The democracy paradox : in order to save democracy we may need to have less of it”. Ce tweet a été effacé depuis un article du site « Ruptures » sur Nicolas BERGGRUEN. Tout est dit !

Comme pour les babyboomers rebelles de la naissance du rock, toutes les aspirations d’une jeunesse sincère, dont fait partie Greta Thunberg, sont récupérées par nos braves financiers. Après la manne de l’or noir, c’est celle de l’or vert.

En plus, il est beaucoup plus facile à récolter, y compris pour nos dirigeants. La petite Greta est désormais canonisée. Est hérétique, celui ose la critiquer !

Lavoisier avait raison : rien ne se perd, tout se transforme

Certes, elle nous alerte sur nos dérives environnementales et sur les risques climatiques. Cependant, comme la rébellion rock, elle n’est pas révolutionnaire. Elle demande à nos dirigeants et aux entreprises d’agir ! Elle nous fait culpabiliser et nous devons tous faire pénitence. Comme pour la consommation rock n’roll, on nous a inventé la consommation environnementale. Pour lutter en faveur du climat, revoyez vos habitudes et rachetez des objets écolo-compatibles comme des voitures, des machines à laver, de la lessive, etc. Bien sûr, pour le bien de la nature, nous vous les vendons bien plus chers !

Pour lutter en faveur du climat, haro sur l’avion, la voiture, l’alimentation, l’agriculture mais aussi les droits et libertés de l’homme et surtout de la femme ! Pour lutter en faveur du climat, trouvons des financements en faveur de la nature et taxons les prétendus pollueurs. Augmentons les taxes et impôts divers, c’est pour le bien de la nature, vous ne pouvez pas vous révolter. Pour lutter en faveur du climat, changez vos habitudes, bande de sales consommateurs car c’est vous les pollueurs. Allez ramasser les ordures sur les plages, dans les parcs, etc.

Les nouveaux financiers du capitalisme vert ont tout compris. Ils ont trouvé de nouveaux marchés et ils ont créé de nouveaux besoins. Ces besoins ne sont plus fondés sur le désir mais sur la culpabilité.

Prenons en exemple, encore une fois, le rock. Le rock, c’était l’excès. Aujourd’hui, les rockers sont tous aseptisés, mangent bio et ne boivent plus d’alcool, à de très rares exceptions près.

Cela a été la même chose pour la nourriture. On mange trop gras, puis le cholestérol, c’est mauvais, pour finir sur le « il faut manger un peu de gras », il y a du « “mauvais et du bon” cholestérol ». No comment !

Là est le mensonge actuel de l’écologie ! Bien sûr que tous ces jeunes et ces moins jeunes ont raison. On doit faire plus et mieux pour la Terre et il y a sans doute urgence mais pas à n’importe quel prix et avec n’importe qui ! Ne vendons pas notre âme au diable. Ne nous laissons pas voler nos rêves.

Ces manifestations écologistes ne sont pas si radicales. Des colères de Greta au « Extinction Rebelles », elles demandent toutes une intervention de l’État et une prise de conscience des entreprises. Il ne s’agit plus de renverser la table mais de nous laisser la nettoyer pour y mettre une nappe propre.

Là est le mensonge. Il est double en plus : économique comme politique.

Un truisme en cache un autre

Nous oublions que ceux qui ont sali la nappe sur la table, ce sont ces financiers qui nous ont vendu des canettes de boissons et autres emballages polluants qui développent l’élevage intensif, qui construisent des véhicules de transports polluants, etc. Ce sont eux qui ont créé ces besoins. Ce seraient à eux de culpabiliser mais non à nous.

Ils recommencent en trouvant de nouvelles sources vertes de profits. Ils nous obligent également à assumer pour leurs erreurs. Bref, c’est comme la TVA. Au final, c’est toujours le consommateur qui paye.

Nous oublions que le premier programme politique vert à être appliqué était vert-de-gris (Végétarien, Hygiéniste, Naturiste, Sportif, Pro-Life, défenseur des animaux, etc.). Nous constatons que le mensonge continue. La lutte écologiste justifie le recul des droits et libertés. Comme d’habitude, en dehors de nos portefeuilles aimés des financiers, ce sont les femmes qui vont trinquer.

Il n’y a pas que la religion monothéiste qui fait reculer les droits des femmes, les nouveaux dieux verts également. La couche-culotte est un exemple idiot mais un parfait exemple. Nos amis écologistes veulent faire interdire les couches-culottes jetables pour rétablir les couches-culottes lavables. Qui va les laver à votre avis ? Demandez à vos grands-mères si elles seraient ravies de revenir à la couche culotte lavable ? Je n’évoque même pas celles des personnes incontinentes.

On nous vend des villes modernes interconnectées qui ne seraient pas polluantes. C’est un mensonge.

Les villes plus modernes et les plus connectées sont aujourd’hui les villes les plus polluées du monde. Tous ces réseaux nécessitent des antennes et des câbles, mais aussi des composants de téléphones portables, d’ordinateurs et autres nouvelles technologies ; tout cela est très polluant. Les villes modernes et les plus connectées sont actuellement celles où le taux de mortalité et les maladies graves ont le plus augmenté. On prend sa voiture pour faire quatre cent mètres. On prend une trottinette dont la durée maximale d’utilisation est de trois semaines environ, avec une batterie ultra-polluante, sans que tout cela soit recyclé et en polluant, en plus, l’espace urbain, par une inconscience incivile totale. Après tout, pourquoi se fatiguer et ne pas se faire livrer à domicile à manger, à boire, à lire, à écrire, à se laver, son linge… et même, à baiser ? Bref, ne nous étonnons pas que toutes ces livraisons finissent par polluer, qu’elles entraînent de graves maladies cardio-vasculaires car nous ne bougeons plus et nous mangeons ce que Jean-Pierre Coffe appelait de la merde !

En plus, on veut nous coller de la reconnaissance faciale, sous couvert de lutte contre le terrorisme mais posez-vous la question de savoir pourquoi les entreprises font pression également en sa faveur. N’y aurait-il pas un intérêt commercial ?

C’est la nouvelle histoire d’O, celle guère bandante du Secrétaire d’État au Numérique pour qui « Expérimenter la reconnaissance faciale est nécessaire pour que nos industriels progressent » (Le Monde du 15 octobre 2019).

De toutes les manières, vous ne pourrez pas y échapper car être contre, c’est faire le jeu du terrorisme. Terrorisme, lui-même financé par les mêmes démiurges qui se prétendent écologistes. Le terrorisme est un marché, comme l’écologie et comme l’a été le rock.
N’ayez crainte, braves gens, dormez bien, tout va bien.

Je vais quand même me passer un disque des Greta Van Fleet, parce qu’au moins le rock à fond, ça vous empêche de dormir !

Bertrand Pavlik

Article précédent

La doxa écologique est-elle un cache-sexe hypocrite ?

Article suivant

California Dreamin’ ou le Rêve Californien

Bertrand Pavlik

Bertrand Pavlik

Avocat, Conseiller du 6ème arrondissement de Paris pendant près de 20 ans, chroniqueur sur Sud Radio, chargé de cours à l’Université Paris 1 Panthéon Sorbonne, Bertand Pavlik a également été sept fois champion de France de Football américain.

Article suivant
california dreamin

California Dreamin’ ou le Rêve Californien

Laisser un commentaire Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

Rares sont ceux qui méritent qu'on les contredisent
Ernst JüngerAphorismes
On ne s'approprie que ce qu'on a d'abord tenu à distance pour le considérer.
Paul Ricoeur
La vie est jeune. En vieillissant, elle se fait durée, elle se fait temps, elle se fait adieu.
Romain Gary
Il est vain de vouloir libérer la vie des mensonges de l'art.
Georges Bataille
La viande de boeuf est faite d’un subtil mélange d’herbe et d’air. Ne manger que ça, c’est être végétarien…
Paulo, végétarien jésuite
Les bêtes sont des personnes muettes
Un buronnier, vacher de l’Aubrac
Les gens exigent qu'on ait un métier. - Comme si vivre n'en était pas un - et encore le plus difficile !
Emil Cioran
Quand un philosophe me répond, je ne comprends plus ma question.
Pierre Desproges
On ne peut expliquer un paradoxe, non plus qu'un éternuement. D'ailleurs le paradoxe n'est-il pas un éternuement de l'esprit ?
Emil Cioran
Ce que je veux dire, c'est qu'elle avait des yeux où il faisait si bon vivre que je n'ai jamais su où aller depuis.
Romain Gary
On ne peut savoir si l'homme se servira longtemps encore de la parole ou s'il recouvrera petit à petit l'usage du hurlement.
Emil Cioran
Je ne crois pas qu’il soit possible, même à ceux qui ont de grandes familles, de réussir s’ils n’unissent pas à leur talent naturel des qualités simples, solides, laborieuses, et surtout une légitime confiance dans le succès : il n’y a rien de tel en ce monde que de vouloir.
Charles Dickens
Accepter le seul risque raisonnable, celui de se dépasser.
Erri de Luca
L’art est une reconfiguration du champs des possibles
Jean-Louis Bischoff
Le destin de celui qui ne songe qu'à se mettre à couvert, c'est d'être survolé
Ernst JüngerAphorismes
L'homme le plus éclairé est le plus ébloui
Victor Hugo
Précédent
Suivant

Abonnez-vous à notre newsletter

Inscrivez-vous à notre newsletter !

Nous ne spammons pas ! Consultez notre politique de confidentialité pour plus d’informations.

Vérifiez votre boite de réception ou votre répertoire d’indésirables pour confirmer votre abonnement.

Rubrique(s)

  • 3 questions à…
  • Art(s)
  • Cinéma(s)
  • Classique(s)
  • Dossier du mois : Au secours !
  • Dossier du mois : Infos, complotisme et vérités alternatives
  • Dossier du mois : L'art peut-il influencer le monde ?
  • Dossier du mois : La foire aux cons : toujours d'actualité
  • Dossier du mois : Le monde d'aujourd'hui est-il le même ?
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Edito(s)
  • Geekologie(s)
  • Inclassable(s)
  • L'impertinence poétique
  • Le Mag papier
  • Les gonzoïdes de l'Apocalypse
  • Les grands entretiens rebelle(s)
  • Littéraire(s)
  • Mémoires Démasqués
  • Philo-spirit(s)
  • Politique(s)
  • Rock and Folk et Musique(s)
  • Société(s)
  • Spécial Ukraine
  • Théatre – Spectacle(s)
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Voyage(s)
interviews 1 scaled

Articles récents

  • Une lecture d’Oncle Vania de Tchekhov : Elena ou l’inutile et dangereuse Beauté 29 novembre 2023
  • Les trois fées du Funk : les Pointer Sisters ! Deuxième et dernière partie 27 novembre 2023
  • Guerre : les conciliateurs ne meurent pas dans leur lit 27 novembre 2023
  • Le féminisme n’a jamais tué personne, la misogynie tue tous les jours 22 novembre 2023
  • La Femme changée en renard  20 novembre 2023
  • Entretien avec Emmanuel Pierrat 18 novembre 2023
  • Ferruccio Brugnaro, celui qui ne veut pas se taire 18 novembre 2023
  • Fantaisies polychromes 17 novembre 2023
  • Le Doigt 11 novembre 2023
  • Du bon usage du mais et du signe égal 6 novembre 2023
  • Au secours ! 2 novembre 2023
  • Larmes 2 novembre 2023
  • Incendie 2 novembre 2023
  • La beauté, sitôt menacée 2 novembre 2023
  • Métamorphose du langage 2 novembre 2023
  • Sous la censure et la répression de la parole poétique 2 novembre 2023
  • “Démocratie”, qu’ils disent… 2 novembre 2023
  • Référendum 2 novembre 2023
  • Précieuses rebelles 2 novembre 2023
  • Forfait 2 novembre 2023
  • Flaques d’espoir 2 novembre 2023
  • Zhortott 2 novembre 2023
  • L’Apocalypse selon Nolan 2 novembre 2023
  • Les trois fées du Funk : les Pointer Sisters ! Première partie 24 octobre 2023
  • La laïcité est un sport de combat 15 octobre 2023
  • Fleetwood Mac, troisième et dernière partie   7 octobre 2023
  • Russie de Poutine : Félix Dzerjinski et l’éternel retour vers l’URSS 7 octobre 2023
  • Le Grand Orient d’après Michel Maffesoli 29 septembre 2023
  • Variation sur le retour du fils prodigue 29 septembre 2023
  • Le tâtonnement comme art de diriger 22 septembre 2023
  • Stan Laurel 22 septembre 2023
  • Baisers volés 22 septembre 2023
  • Fleetwood Mac, deuxième partie 19 septembre 2023
  • Le gardien d’éternités 10 septembre 2023
  • Agrume solaire 1 septembre 2023
  • Chroniques de la rage ordinaire 1 septembre 2023
  • Les herbes sèches 1 septembre 2023
  • Fleetwood Mac, première partie 27 août 2023
  • Clapotis des accents 24 août 2023
  • Les algues vertes 24 août 2023
  • Kigali, le 18 juin 2187 – Lettre à ma mère – Du racisme 6 août 2023
  • L’album Back In Black de AC/DC 5 août 2023
  • Liberté de religion : la France épinglée par les Etats-Unis 29 juillet 2023
  • The Clash – Rock The Casbah 24 juillet 2023
  • La Maison de la Parole 24 juillet 2023
  • Le monde d’aujourd’hui est-il le même? 15 juillet 2023
  • Un Tintin ordonné 15 juillet 2023
  • Les nouveaux rats 15 juillet 2023
  • Mads in France 15 juillet 2023
  • Louis Aragon était-il pédophile ? 15 juillet 2023
  • De la kétamine pour traiter les « sortants de sectes » 15 juillet 2023
  • L’homme augmenté est un homme diminué 15 juillet 2023
  • Le « Prométhée moderne » 15 juillet 2023
  • On achève bien les poètes 15 juillet 2023
  • Imitation of Life 15 juillet 2023
  • Transmutation 15 juillet 2023
  • Les Scouts : une façon d’être au monde 15 juillet 2023
  • Quand le fric disparaît, la ploutocratie triomphe 15 juillet 2023
  • Physical Graffiti – Led Zeppelin 14 juillet 2023
  • Welfare au théâtre 14 juillet 2023
  • Sous l’étonnant pavé, la plage ! 14 juillet 2023
  • Se passer de fric ? 9 juillet 2023
  • Quelques expériences 9 juillet 2023
  • Cycle Led Zeppelin : Houses Of The Holy 9 juillet 2023
  • Le journal fou d’une infirmière 9 juillet 2023
  • Le feu aux poudres 2 juillet 2023
  • Paris est fièr(e) 2 juillet 2023
  • Kenneth White 28 juin 2023
  • La poésie caribéenne partagée II 20 juin 2023
  • Que reste-t-il de nos lectures ? (chap.5) 20 juin 2023
  • Cycle Led Zeppelin : IV 17 juin 2023
  • Choisissez ! 13 juin 2023
  • Les gourous de la santé naturelle 13 juin 2023
  • Que reste-t-il de nos lectures ? (chap.4) 13 juin 2023
  • Cycle Led Zeppelin : III 10 juin 2023
  • La poésie caribéenne partagée 9 juin 2023
  • Sonia Backes – mensonges et autres vérités 7 juin 2023
  • Guerre en Ukraine : Savva Toutounov, l’un des plus extrémistes des orthodoxes russes est français 4 juin 2023
  • Cycle Led Zeppelin : II 3 juin 2023
  • La trilogie Bill Douglas 1 juin 2023
  • Le but, c’est le chemin.   1 juin 2023
  • Ernst Jünger 1 juin 2023
  • Ce que “rebelle” inspire à ChatGPT 28 mai 2023
  • Histoire d’un ogre 28 mai 2023
  • De la fée électricité à la “watture” 28 mai 2023
  • Cycle Led Zeppelin : I 21 mai 2023
  • Peut-on opposer réalité et métaphysique ? 20 mai 2023
  • L’heure de la rébellion contre le management a-t-elle sonné ? 20 mai 2023
  • « EL » ou l’anarchisme couronné 20 mai 2023
  • My heart belongs to Daddy 18 mai 2023
  • Ecoles Steiner, le CDJM estime que France 2 a violé ses obligations déontologiques 14 mai 2023
  • Le Christ s’est arrêté à Eboli 13 mai 2023
  • Que reste-t-il de nos lectures ? 13 mai 2023
  • Nietzsche versus Dark Vador 13 mai 2023
  • Brian Wilson des Beach Boys, le Mozart du Rock – Troisième partie et fin 9 mai 2023
  • Pantin 6 mai 2023
  • Kurt Gödel 6 mai 2023
  • Le retour de Dionysos : un refoulé douloureux 6 mai 2023
  • Que reste-t-il de nos lectures ? 6 mai 2023
  • Mémoires Démasqués : chapitre 9 27 avril 2023
  • Toi du monde – 2/2 27 avril 2023
  • Days of Heaven 27 avril 2023
  • Toi du monde – 1/2 27 avril 2023
  • Immersion dans le domaine de la lutte : L’établi 23 avril 2023
  • L’histoire du corps en sciences humaines 23 avril 2023
  • Brian Wilson des Beach Boys, le Mozart du Rock – Deuxième partie 23 avril 2023
  • Taïwan, le non-pays le plus démocratique des pays d’Asie 20 avril 2023
  • Némésis ou la tragédie de la responsabilité 16 avril 2023
  • Boire l’encre 16 avril 2023
  • Aux gnons, citoyens ! 16 avril 2023
  • La solitude 16 avril 2023
  • Louis Nucéra 2 avril 2023
  • Brian Wilson des Beach Boys, le Mozart du Rock – Première partie 31 mars 2023
  • Poutine est un nouveau Staline, tout simplement 29 mars 2023
  • Fake news : qui détient la vérité ? 27 mars 2023
  • 1984, le Ministère de la vérité 27 mars 2023
  • Fake news: Trois questions à Jean-Luc Martin Lagardette 27 mars 2023
  • Plate, plate, plate la Terre ! 27 mars 2023
  • Vous en voulez vraiment, des nouvelles vraies ? 27 mars 2023
  • Le courage et la peur, en direct 27 mars 2023
  • Qui est Victor Von Doom? 27 mars 2023
  • Comprendre l’infodémie 27 mars 2023
  • La porte du paradis 27 mars 2023
  • Interview exclusive de Salah Al Hamdani – 1/2 24 mars 2023
  • Interview exclusive de Salah Al Hamdani – 2/2 24 mars 2023
  • Que reste-t-il de nos lectures ? 22 mars 2023
  • Ah ça ira, ça ira… ! 18 mars 2023
  • Le professeur inexistant (philosophie) 17 mars 2023
  • Pasolini, un rebelle au-delà de l’écran 16 mars 2023
  • Final de l’âge d’or des Rolling Stones : It’s Only Rock ‘n’ Roll 15 mars 2023
  • Nous revivrons 12 mars 2023
  • FECRIS, Novopashin encore et zombies ukrainiens 12 mars 2023
  • L’âge d’or des Rolling Stones : Goat’s Head Soup 8 mars 2023
  • Une réflexion sur la liberté et la sécurité autour du roman d’Ira Levin, Un Bonheur insoutenable 7 mars 2023
  • Comment se laisse-t-on séduire par le côté obscur ? 6 mars 2023
  • Un homme heureux 5 mars 2023
  • Accords et à cran, Aurélia Lesbros 5 mars 2023
  • Les bobos… anti-bobo ! 1 mars 2023
  • Peut-on concilier, comme Jésus de Nazareth, la liberté et l’autorité ? 28 février 2023
  • L’âge d’or des Rolling Stones : Exile On Main Street 27 février 2023
  • Mentions légales site
  • S’abonner à Rebelle(s)
  • L’ours
  • Politique de cookies

© 2023

Pas de résultat
Voir tous les résultats
  • Accueil
  • Qui sommes-nous ?
  • Le Mag Papier
  • Geekologie(s)
  • Littéraire(s)
  • Société(s)
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Art(s)
  • Cinéma(s)
  • Rock and Folk et Musique(s)
  • Théatre – Spectacle(s)
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Edito(s)
  • Inclassable(s)
  • L’impertinence poétique
  • Littéraire(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Voyage(s)
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Contact

© 2023

Bienvenue !

OU

Login to your account below

Mot de passe oublié ? S'inscrire

Create New Account!

OU

Fill the forms bellow to register

*By registering into our website, you agree to the Terms & Conditions and Privacy Policy.
Tous les champs sont obligatoires. Se connecter

Récupérez votre mot de passe

Veuillez saisir votre nom d'utilisateur ou votre email pour réinitialiser votre mot de passe.

Se connecter
Social Media Auto Publish Powered By : XYZScripts.com
RBLs
Gérer le consentement aux cookies
Nous utilisons des cookies pour optimiser notre site web et notre service.
Les cookies fonctionnels Toujours activé
Le stockage ou l’accès technique est strictement nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de permettre l’utilisation d’un service spécifique explicitement demandé par l’abonné ou l’utilisateur, ou dans le seul but d’effectuer la transmission d’une communication sur un réseau de communications électroniques.
Préférences
Le stockage ou l’accès technique est nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de stocker des préférences qui ne sont pas demandées par l’abonné ou la personne utilisant le service.
Statistiques
Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement à des fins statistiques. Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement dans des finalités statistiques anonymes. En l’absence d’une assignation à comparaître, d’une conformité volontaire de la part de votre fournisseur d’accès à internet ou d’enregistrements supplémentaires provenant d’une tierce partie, les informations stockées ou extraites à cette seule fin ne peuvent généralement pas être utilisées pour vous identifier.
Marketing
Le stockage ou l’accès technique est nécessaire pour créer des profils d’utilisateurs afin d’envoyer des publicités, ou pour suivre l’utilisateur sur un site web ou sur plusieurs sites web ayant des finalités marketing similaires.
Gérer les options Gérer les services Gérer {vendor_count} fournisseurs En savoir plus sur ces finalités
Voir les préférences
{title} {title} {title}
Ce site web utilise des cookies. En continuant à utiliser ce site web, vous consentez à ce que des cookies soient utilisés. Visitez notre Politique de confidentialité et de cookies.
Êtes-vous sûr de vouloir déverrouiller ce poste ?
Unlock left : 0
Êtes-vous sûr de vouloir annuler l'abonnement ?