• S’abonner à Rebelle(s)
  • L’ours
  • Contact
dimanche 28 mai 2023
  • Connexion
  • S'enregistrer
Rebelle(s) Mag
  • Accueil
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Société(s)
  • Littéraire(s)
  • Spécial Ukraine
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Qui sommes-nous ?
Pas de résultat
Voir tous les résultats
  • Accueil
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Société(s)
  • Littéraire(s)
  • Spécial Ukraine
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Qui sommes-nous ?
Pas de résultat
Voir tous les résultats
Rebelle(s) Mag
Pas de résultat
Voir tous les résultats

Pourquoi « En marche » ne marche plus ?

Frédéric Vincent Par Frédéric Vincent
14 février 2019
dans Politique(s)
0
Partager sur FacebookPartager sur Twitter
Limbo 1 – © Eric Desordre

Le mouvement « En Marche » fondé par Emmanuel Macron connaît aujourd’hui une désaffection inquiétante chez les militants. Ce soi-disant nouveau parti fait-il réellement de la politique autrement ? Ou cache-t-il une vérité dont on ne veut pas parler ? Et quel rôle joue Brigitte Macron ?

De nombreux marcheurs ont quitté « En Marche » car ils ressentaient une absence sévère de démocratie interne, estimant même que son organisation politique était digne de l’Ancien Régime. A bien regarder les statuts d’ « En Marche », on peut être frappé par le manque de représentativité de la base militante. Cela ne s’est jamais vu dans un parti politique français. La liberté d’opinion et d’expression est complètement bafouée et aucune critique ne peut être émise contre le pouvoir et ses abus. Invraisemblable ! Certes, le mouvement a rassemblé de nombreux partisans grâce notamment aux réseaux sociaux. Mais les chiffres ne permettent pas de rendre compte de l’effet castrateur exercé sur les marcheurs qui, s’ils peuvent organiser librement des barbecues, des apéros ou encore des dîners-débats entre eux, demeurent malheureusement des militants novices auxquels on empêche de participer aux décisions du mouvement. Mais d’où vient cet effet castrateur ?

Une politique de la castration

L’hyperprésidentialisation actuelle de la République Française peut se comprendre à bien des égards comme une des manifestations du refus de l’angoisse de castration. Lors de son allocution devant l’Assemblée Nationale le 04 juillet 2018, le premier ministre Edouard Philippe ironisait d’ailleurs sur sa relation avec le président : « Je me sens mal, si mal. J’ai la boule au ventre tous les matins à l’idée de bosser avec ce castrateur ». L’ironie du premier ministre français en dit long sur la psychologie macronienne. On reconnaît le castrateur au fait qu’il ne s’est jamais plié à l’angoisse de castration et qu’il a toujours su maintenir son Moi infantile omnipotent. Les français ont pu s’en apercevoir lorsque le président a remis en place avec un ton moralisateur inouï un jeune collégien qui a eu l’impudence de l’appeler « Manu ». Les caméras ont ainsi pu filmer la puissance castratrice du président. Mais d’où provient-elle ? Les psychanalystes savent qu’il faut toujours commencer par analyser la cellule familiale. Première observation : le jeune président est très discret sur sa famille. Ses parents, Jean-Michel Macron et Françoise Noguès, sont tous deux médecins. Emmanuel est l’aîné d’une fratrie composée de sa sœur Estelle et de son frère Laurent qui sont également tous les deux médecins. Il est à noter que les parents d’Emmanuel ont perdu une petite fille avant la naissance d’Emmanuel. Du coup, il est à se demander si la disparition de cette sœur aînée n’a pas engendré au sein de la cellule familiale une névrose d’angoisse ?

Mais c’est certainement l’épouse du jeune président qui nous apporte le plus d’éléments. Le fossé générationnel qui sépare Emmanuel et Brigitte a bien entendu été le centre de discordes dans la famille. Si Brigitte Macron aime à déclarer que « le seul défaut d’Emmanuel, c’est d’être plus jeune qu’elle », on peut s’interroger quant à la place maternelle qu’occupe la première dame de France. Si Brigitte incarne une mère pour Jupiter et les!Français, il est plus que probable qu’elle dissimule également un aspect obscur. Il y a certainement une mère dévorante, une ogresse castratrice qui habite en elle. Ceci pourrait alors nous éclairer sur le comportement de notre président castrateur à son tour. Oui, il faut supposer que le président Macron est un jeune loup aux dents longues qui tire son ambition de son complexe de castration non résolu.

Le complexe de castration chez Freud

Que nous dit Freud sur la castration ? Si la médecine définit la castration comme une mutilation physique de l’organe reproducteur, la psychanalyse y voit plutôt une expérience psychique qui apparaît dès l’enfance. La castration, c’est ce moment particulier où l’enfant reconnaît la différence sexuelle, cet instant symbolique primordial où il rompt avec le sentiment illusoire d’omnipotence. Cette rupture est rendue possible par la distinction qu’il perçoit entre les hommes et les femmes d’un point de vue anatomique. L’enfant prend conscience des limites du corps. La psychanalyse nous dit également qu’il ne faut pas réduire la castration à un instant symbolique qui serait limité dans le temps. Si cette expérience psychique surgit très tôt dans l’enfance, il se répète inlassablement tout le long de la vie. D’ailleurs, l’analyse personnelle a pour fonction de faire revivre consciemment cette expérience de la castration que nous avons tous tendance à refouler. Accepter la souffrance qu’implique la perte de l’omnipotence et les limites du corps, tel semble être l’un des objectifs de la cure analytique.

C’est en 1908 que Freud décrit le complexe de castration à partir du cas clinique du petit Hans. On peut repérer 4 étapes majeures dans le complexe de castration chez le garçon qui diffère sur plusieurs points chez la fille.

1) Dès son plus jeune âge, le garçon s’invente une croyance : tout le monde est doté d’un pénis.

2) Les parents mettent en garde le garçon contre ses désirs incestueux. Freud lie le complexe de castration au complexe d’Œdipe. La menace de castration est le dispositif psychique que les parents utilisent pour faire comprendre au garçon qu’il risque d’être dépossédé de son pénis s’il continue à vouloir destituer son père et posséder sa mère. Les menaces verbales et les multiples interdictions visant à restreindre la libido infantile vont ainsi former le « surmoi », l’ensemble des barrières psychiques qui permet de contenir le « ça », le réservoir des pulsions inconscientes.

3) Plus le garçon découvre la zone génitale, et plus il réalise l’absence de pénis. Mais la croyance du garçon est tenace. Il refuse le principe de réalité et se forge une autre croyance : les filles ont un petit pénis qui grandira plus tard.

4) La croyance du garçon s’éteint lorsqu’il fait le lien entre les femmes d’âge mûr sans pénis et sa mère. L’angoisse de castration surgit et se concrétise lorsque la perception de l’absence de pénis chez la femme est associée au rappel des menaces parentales concernant les pratiques auto-érotiques et les désirs incestueux du garçon.

Freud nous explique que les désirs incestueux sont maîtrisés sous les effets de la castration. C’est l’angoisse de castration qui contraint le jeune garçon à accepter la loi du Père, à renoncer au désir incestueux avec la mère et qui met ainsi fin au complexe d’Œdipe. Cette crise est essentielle car elle permet l’identité masculine du garçon. Elle a été féconde puisque le garçon a apprise à gérer sa frustration et à engendrer ses propres limites.

Le conflit oedipien d’En Marche

Au regard de sa soif de pouvoir et de son amour indéfectible pour Brigitte (mère substitutive et castratrice), il est certain qu’Emmanuel Macron n’a pas résolu son Œdipe et son complexe de castration. Il persiste dans une relation castratrice qu’il a certainement vécue avec sa mère génitrice et devient lui-même castrateur par refus de perdre son Moi infantile omnipotent.

La non résolution oedipienne d’Emmanuel Macron ne peut que plonger son mouvement politique dans la même impasse. Il y a un effet direct sur la personnalité de Jupiter mais aussi sur le mouvement « La République En Marche » qui se fonde finalement sur la non résolution oedipienne d’Emmanuel Macron et non sur une conviction politique. Il n’y pas de logique partisane ou de militantisme politique dans ce mouvement. Il y a chez les adhérents un transfert sur le couple Macron. S’il existe un sentiment d’appartenance politique, il faut dire qu’il est aussi évanescent qu’un Big Mac.

Frédéric Vincent

Tags : Brigitte MacronEmmanuel MacronEn MArcheFrédéric Vincentmouvement politiquepsychanalyse
Article précédent

Le musée des arts politiques premiers, par Lucien de Samosate

Article suivant

Mitterand, Camus: deux doubles vies, deux registres, deux personnalités

Frédéric Vincent

Frédéric Vincent

Chercheur universitaire et psychanalyste, président de l’Association des Psychanalystes Européens, animateur de l'émission 2 colonnes à la une, Frédéric Vincent milite pour la défense du journalisme gonzo. Il a publié plusieurs ouvrages qui font autorité et qui abordent des thématiques comme les mythes contemporains, l'initiation, la culture geek, les héros de la vie quotidienne ou encore les sociétés secrètes.

Article suivant
Lettres à Anne

Mitterand, Camus: deux doubles vies, deux registres, deux personnalités

Laisser un commentaire Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

Rares sont ceux qui méritent qu'on les contredisent
Ernst JüngerAphorismes
On ne s'approprie que ce qu'on a d'abord tenu à distance pour le considérer.
Paul Ricoeur
La vie est jeune. En vieillissant, elle se fait durée, elle se fait temps, elle se fait adieu.
Romain Gary
Il est vain de vouloir libérer la vie des mensonges de l'art.
Georges Bataille
Les bêtes sont des personnes muettes
Un buronnier, vacher de l’Aubrac
Les gens exigent qu'on ait un métier. - Comme si vivre n'en était pas un - et encore le plus difficile !
Emil Cioran
Quand un philosophe me répond, je ne comprends plus ma question.
Pierre Desproges
On ne peut expliquer un paradoxe, non plus qu'un éternuement. D'ailleurs le paradoxe n'est-il pas un éternuement de l'esprit ?
Emil Cioran
Ce que je veux dire, c'est qu'elle avait des yeux où il faisait si bon vivre que je n'ai jamais su où aller depuis.
Romain Gary
On ne peut savoir si l'homme se servira longtemps encore de la parole ou s'il recouvrera petit à petit l'usage du hurlement.
Emil Cioran
Je ne crois pas qu’il soit possible, même à ceux qui ont de grandes familles, de réussir s’ils n’unissent pas à leur talent naturel des qualités simples, solides, laborieuses, et surtout une légitime confiance dans le succès : il n’y a rien de tel en ce monde que de vouloir.
Charles Dickens
Accepter le seul risque raisonnable, celui de se dépasser.
Erri de Luca
L’art est une reconfiguration du champs des possibles
Jean-Louis Bischoff
Le destin de celui qui ne songe qu'à se mettre à couvert, c'est d'être survolé
Ernst JüngerAphorismes
L'homme le plus éclairé est le plus ébloui
Victor Hugo
Précédent
Suivant

Abonnez-vous à notre newsletter

Inscrivez-vous à notre newsletter !

Nous ne spammons pas ! Consultez notre politique de confidentialité pour plus d’informations.

Vérifiez votre boite de réception ou votre répertoire d’indésirables pour confirmer votre abonnement.

Rubrique(s)

  • 3 questions à…
  • Art(s)
  • Cinéma(s)
  • Classique(s)
  • Dossier du mois : Infos, complotisme et vérités alternatives
  • Dossier du mois : L'art peut-il influencer le monde ?
  • Dossier du mois : La foire aux cons : toujours d'actualité
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Edito(s)
  • Geekologie(s)
  • Inclassable(s)
  • L'impertinence poétique
  • Le Mag papier
  • Les gonzoïdes de l'Apocalypse
  • Les grands entretiens rebelle(s)
  • Littéraire(s)
  • Mémoires Démasqués
  • Philo-spirit(s)
  • Politique(s)
  • Rock and Folk et Musique(s)
  • Société(s)
  • Spécial Ukraine
  • Théatre – Spectacle(s)
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Voyage(s)
interviews 1 scaled

Articles récents

  • Ce que “rebelle” inspire à ChatGPT 28 mai 2023
  • Histoire d’un ogre 28 mai 2023
  • De la fée électricité à la “watture” 28 mai 2023
  • Cycle Led Zeppelin : I 21 mai 2023
  • Peut-on opposer réalité et métaphysique ? 20 mai 2023
  • L’heure de la rébellion contre le management a-t-elle sonné ? 20 mai 2023
  • « EL » ou l’anarchisme couronné 20 mai 2023
  • My heart belongs to Daddy 18 mai 2023
  • Ecoles Steiner, le CDJM estime que France 2 a violé ses obligations déontologiques 14 mai 2023
  • Le Christ s’est arrêté à Eboli 13 mai 2023
  • Que reste-t-il de nos lectures ? 13 mai 2023
  • Nietzsche versus Dark Vador 13 mai 2023
  • Brian Wilson des Beach Boys, le Mozart du Rock – Troisième partie et fin 9 mai 2023
  • Pantin 6 mai 2023
  • Kurt Gödel 6 mai 2023
  • Le retour de Dionysos : un refoulé douloureux 6 mai 2023
  • Que reste-t-il de nos lectures ? 6 mai 2023
  • Mémoires Démasqués : chapitre 9 27 avril 2023
  • Toi du monde – 1/2 27 avril 2023
  • Toi du monde – 2/2 27 avril 2023
  • Days of Heaven 27 avril 2023
  • Immersion dans le domaine de la lutte : L’établi 23 avril 2023
  • L’histoire du corps en sciences humaines 23 avril 2023
  • Brian Wilson des Beach Boys, le Mozart du Rock – Deuxième partie 23 avril 2023
  • Taïwan, le non-pays le plus démocratique des pays d’Asie 20 avril 2023
  • Némésis ou la tragédie de la responsabilité 16 avril 2023
  • Boire l’encre 16 avril 2023
  • Aux gnons, citoyens ! 16 avril 2023
  • La solitude 16 avril 2023
  • Louis Nucéra 2 avril 2023
  • Brian Wilson des Beach Boys, le Mozart du Rock – Première partie 31 mars 2023
  • Poutine est un nouveau Staline, tout simplement 29 mars 2023
  • Fake news : qui détient la vérité ? 27 mars 2023
  • 1984, le Ministère de la vérité 27 mars 2023
  • Fake news: Trois questions à Jean-Luc Martin Lagardette 27 mars 2023
  • Plate, plate, plate la Terre ! 27 mars 2023
  • Vous en voulez vraiment, des nouvelles vraies ? 27 mars 2023
  • Le courage et la peur, en direct 27 mars 2023
  • Qui est Victor Von Doom? 27 mars 2023
  • Comprendre l’infodémie 27 mars 2023
  • La porte du paradis 27 mars 2023
  • Interview exclusive de Salah Al Hamdani – 1/2 24 mars 2023
  • Interview exclusive de Salah Al Hamdani – 2/2 24 mars 2023
  • Que reste-t-il de nos lectures ? 22 mars 2023
  • Ah ça ira, ça ira… ! 18 mars 2023
  • Le professeur inexistant (philosophie) 17 mars 2023
  • Pasolini, un rebelle au-delà de l’écran 16 mars 2023
  • Final de l’âge d’or des Rolling Stones : It’s Only Rock ‘n’ Roll 15 mars 2023
  • Nous revivrons 12 mars 2023
  • FECRIS, Novopashin encore et zombies ukrainiens 12 mars 2023
  • L’âge d’or des Rolling Stones : Goat’s Head Soup 8 mars 2023
  • Une réflexion sur la liberté et la sécurité autour du roman d’Ira Levin, Un Bonheur insoutenable 7 mars 2023
  • Comment se laisse-t-on séduire par le côté obscur ? 6 mars 2023
  • Un homme heureux 5 mars 2023
  • Accords et à cran, Aurélia Lesbros 5 mars 2023
  • Les bobos… anti-bobo ! 1 mars 2023
  • Peut-on concilier, comme Jésus de Nazareth, la liberté et l’autorité ? 28 février 2023
  • L’âge d’or des Rolling Stones : Exile On Main Street 27 février 2023
  • Que deviennent les opposants à la guerre en Russie ? 26 février 2023
  • Droits des femmes : Simone de Beauvoir avait tellement raison ! 22 février 2023
  • Le temps des féminismes 22 février 2023
  • L’Art d’Accommoder la Vieillesse 22 février 2023
  • Irréfutable essai de successologie 22 février 2023
  • L’âge d’or des Rolling Stones : Sticky Fingers 20 février 2023
  • La retraite à 64 ans ?  Qui va trinquer  ? 18 février 2023
  • Leonid Sevastianov : un Russe pour la paix 18 février 2023
  • Cruel Oncle Vania ! 12 février 2023
  • L’âge d’or des Rolling Stones : Get Yer Ya-Ya’s Out! 11 février 2023
  • Réforme des retraites : faux problème 11 février 2023
  • L’âge d’or des Rolling Stones : Let It Bleed 5 février 2023
  • Pourquoi tant de haine ? 3 février 2023
  • Scientifiques émotifs 29 janvier 2023
  • La camisole chimique menace les Français 29 janvier 2023
  • Affaire Dupont de Ligonnès : la secte qui n’en était pas une 25 janvier 2023
  • Cavalcade amoureuse au Théâtre de la Ville 22 janvier 2023
  • Génocide des Ouïghours : les musulmans ont aussi leurs collabos 20 janvier 2023
  • Perdu en mère 16 janvier 2023
  • Zhanargul Zhumatai : Un entretien dramatique avec une survivante d’un camp d’ethnie kazakhe qui pourrait bientôt “disparaître”. 13 janvier 2023
  • L’âge d’or des Rolling Stones : Beggar’s Banquet 13 janvier 2023
  • Des médiums et des cathos contre Poutine 13 janvier 2023
  • Ombres et lumières 8 janvier 2023
  • Fin du Cycle Disco : 1980 et au-delà… 8 janvier 2023
  • Des Saints, Sinon Rien – Censure d’aujourd’hui 7 janvier 2023
  • La poétique désabusée de « La Maman et la Putain » 6 janvier 2023
  • Réhabiliter Louis Aragon, rue de Bourgogne… 5 janvier 2023
  • Russie : nazis cannibales, Novopashin récidive ! 4 janvier 2023
  • La Douma, les nouvelles lois et le droit de buter de l’Ukrainien 3 janvier 2023
  • Cycle Disco : 1979, deuxième partie 2 janvier 2023
  • J’ai découvert Raël grâce au Figaro ! Une enquête de dingue ! (Ironie) 1 janvier 2023
  • Écouter, sentir… 31 décembre 2022
  • Poutine communiste ou tsariste ? D’Alexandre III à Joseph Staline 26 décembre 2022
  • Cycle Disco : 1979, première partie 26 décembre 2022
  • Chroniques familiales – extraits 25 décembre 2022
  • Coups de coeur au bout du monde – Chili 25 décembre 2022
  • SANS NOTES ! 25 décembre 2022
  • L’Église orthodoxe russe veut une loi contre les idéologies destructrices 18 décembre 2022
  • Que va faire le nouveau ministre de l’Éducation nationale ? 15 décembre 2022
  • Délestages extrêmes 15 décembre 2022
  • Laïcité et république 15 décembre 2022
  • Cycle Disco : 1978 (3ème partie) 12 décembre 2022
  • Un manteau russe ou ukrainien ? 11 décembre 2022
  • Mentions légales site
  • S’abonner à Rebelle(s)
  • L’ours
  • Politique de cookies

© 2023

Pas de résultat
Voir tous les résultats
  • Accueil
  • Qui sommes-nous ?
  • Le Mag Papier
  • Geekologie(s)
  • Littéraire(s)
  • Société(s)
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Art(s)
  • Cinéma(s)
  • Rock and Folk et Musique(s)
  • Théatre – Spectacle(s)
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Edito(s)
  • Inclassable(s)
  • L’impertinence poétique
  • Littéraire(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Voyage(s)
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Contact

© 2023

Bienvenue !

OU

Login to your account below

Mot de passe oublié ? S'inscrire

Create New Account!

OU

Fill the forms bellow to register

*By registering into our website, you agree to the Terms & Conditions and Privacy Policy.
Tous les champs sont obligatoires. Se connecter

Récupérez votre mot de passe

Veuillez saisir votre nom d'utilisateur ou votre email pour réinitialiser votre mot de passe.

Se connecter
Social Media Auto Publish Powered By : XYZScripts.com
RBLs
Gérer le consentement aux cookies
Nous utilisons des cookies pour optimiser notre site web et notre service.
Les cookies fonctionnels Toujours activé
Le stockage ou l’accès technique est strictement nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de permettre l’utilisation d’un service spécifique explicitement demandé par l’abonné ou l’utilisateur, ou dans le seul but d’effectuer la transmission d’une communication sur un réseau de communications électroniques.
Préférences
Le stockage ou l’accès technique est nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de stocker des préférences qui ne sont pas demandées par l’abonné ou l’utilisateur.
Statistiques
Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement à des fins statistiques. Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement dans des finalités statistiques anonymes. En l’absence d’une assignation à comparaître, d’une conformité volontaire de la part de votre fournisseur d’accès à internet ou d’enregistrements supplémentaires provenant d’une tierce partie, les informations stockées ou extraites à cette seule fin ne peuvent généralement pas être utilisées pour vous identifier.
Marketing
Le stockage ou l’accès technique est nécessaire pour créer des profils d’utilisateurs afin d’envoyer des publicités, ou pour suivre l’utilisateur sur un site web ou sur plusieurs sites web ayant des finalités marketing similaires.
Gérer les options Gérer les services Gérer les fournisseurs En savoir plus sur ces finalités
Voir les préférences
{title} {title} {title}
Ce site web utilise des cookies. En continuant à utiliser ce site web, vous consentez à ce que des cookies soient utilisés. Visitez notre Politique de confidentialité et de cookies.
Êtes-vous sûr de vouloir déverrouiller ce poste ?
Unlock left : 0
Êtes-vous sûr de vouloir annuler l'abonnement ?