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Interview : Laurent Mauduit diagnostique la mort du réformisme devenu impuissant

Jean-Luc Maxence Par Jean-Luc Maxence
24 octobre 2018
dans Politique(s), Les grands entretiens rebelle(s), Société(s)
1
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Quand Laurent Mauduit s’explique pour REBELLE(S), la magie fraternelle opère. Cofondateur de MEDIAPART, il est souriant et jovial. Il commente d’entrée de dialogue, le « renoncement » de François Hollande, la veille au soir. En m’appuyant sur son ouvrage d’investigation MAIN BASSE SUR L’INFORMATION, paru aux Éditions du Seuil sous le label « Don Quichotte », je lui demande si, selon lui, nous en serions là sans une certaine « démolition » systématique, par la Presse, du personnage carentiel. Sa réponse fuse, nette et tranchée. Mauduit me cite l’ouvrage célèbre de Marc Bloch, L’ÉTRANGE DÉFAITE, témoignage écrit en 1940 et tentant de discerner les raisons de la défaite française lors de la bataille de France pendant la Seconde Guerre mondiale : sclérose des élites et des bureaucraties, responsabilité des gouvernants, crise du régime parlementaire, carence des chefs… Le grand républicain expliquait que la débâcle n’était pas une victoire de l’Allemagne sur la France mais une défaite de la France sur elle-même : « Le pis est que nos adversaires n’y furent pas pour grand-chose ». Pour François Hollande, on peut dire, de la même façon, que le parti socialiste n’a jamais été à la hauteur des enjeux et qu’il est le premier responsable de son propre naufrage. Le choix du Président de ne pas briguer un second mandat, inspire les mêmes constats. Les adversaires du Parti Socialiste ne sont pas pour grande chose dans cette désertion, dans cet échec. Dans l’immense basculement que nous avons connu, du capitalisme rhénan vers un capitalisme à l’anglo-saxonne beaucoup plus tyrannique, ignorant le compromis social, le vieux courant politique qu’est le réformisme est progressivement devenu impuissant. Ce sont à ses ultimes convulsions, à sa mort, que nous assistons aujourd’hui. Et Laurent Mauduit m’évoque sa jeunesse de militant politique dans les années qui ont suivi 1968, à l’époque où il lisait le philosophe Louis Althusser, philosophe membre du Parti Communiste à l’origine d’une importante refondation de la pensée marxiste, dans la mouvance de Roland Barthes et autre Claude Lévi-Strauss. Il me retrace son parcours de journaliste économique, et compare avec humour son itinéraire avec le mien quand j’étais migrant d’une famille maurassienne traditionnelle. Il revient sur ce qu’il appelle « le naufrage de la gauche », celui d’une génération qui fut celle de sa jeunesse avec pour têtes de « manif » des personnalités comme Jean-Christophe Cambadélis, Jean-Marie Le Guen ou Manuel Valls. Il m’évoque enfin son passage du quotidien Le Monde à la création de Médiapart, avec ses 130 000 abonnés sur le net.

JLM : Une Presse indépendante des pouvoirs financiers… N’est-ce pas un rêve d’utopiste, un mirage pour les alouettes ? Chimère sortie toute gesticulante de L’UTOPIE d’un Thomas More revue et corrigée à la sauce contemporaine ?

LM : Il ne peut y avoir une vision du monde sans utopie, bien entendu ! Même en politique, il faut une part de rêve et la « révolution Internet », à mon avis, peut faciliter la mise en expression de cette part de rêve. C’est une étape, une révolution technologique aussi importante que la découverte de la machine à vapeur ou de l’électricité, après tout. Cela change toute la relation entre journalistes et lecteurs. De là est né Médiapart…

JLM : Dans votre enquête d’investigation, vous expliquez très clairement qu’une dizaine d’oligarques parisiens possèdent la majorité des moyens d’information et qu’une poignée de milliardaires comme Vincent Bolloré, Xavier Niel, Patrick Drahi et autre Bernard Arnault tiennent les médias en laisse, multiplient les actes de censure ou suscitent des comportement d’autocensure. J’ajouterai pour ma part que même les médias à la Sauce Front National existent en France grâce à des hommes d’affaires style Charles Beigbeder (le frère royaliste de Frédéric), et aux réseaux conservateurs, voire intégristes, ou « facho », style MINUTE ou MONDE ET VIE racheté récemment par Jean-Marie Molitor. Sortirat- on un jour ou l’autre de ce piège à rats ?

LM : C’est vrai, nous traversons la crise d’une presse anémiée. Nous avons perdu la dimension et la « fonction citoyenne » que cette dernière devrait garder. Alors, comment en réchapper ? Je rêve d’une révolution démocratique qui aurait l’audace de prendre des mesures fortes pour interdire les concentrations auxquelles nous assistons, pour garantir l’indépendance de la presse vis-à-vis des puissances financières comme l’exigeait à la fin de la guerre le Conseil national de la résistance, pour aider à l’émergence d’une nouvelle presse…

JLM : Vous allez jusqu’à écrire dans votre livre (page 420) qu’en France la Présidentielle nous a conduit à une grave anémie de la démocratie, parce qu’elle a asservi tous les contre-pouvoirs, à commencer par ceux de la Presse écrite, parlée, télévisuelle, numérique. Quant à l’aide à la Presse, dans les cas des aides directes, elle sert en priorité les milliardaires soulignezvous ! Je ne vous dirai pas le contraire moi qui, sous une pulsion de passion, de folie et de poésie, ai fondé un bimensuel politique, avec une bande de copains aux portefeuilles modestes, mais riches d’un entêtement d’indépendance farouche…Vous qui avez été « professeur de journalisme », que feriez-vous donc pour dynamiser encore le projet ?
Au fond, l’authentique question revient toujours à la phrase fameuse d’Hubert Beuve- Méry quand il créa le quotidien LE MONDE : « Est-ce réalisable un journal qui puisse vraiment n’avoir aucune espèce de fil à la patte » ?

LM : Je demeure optimiste. Je perçois des signes positifs, des espérances incarnées. Des blogs, des sites, des journaux numériques établis par des jeunes journalistes pleins d’idées neuves, et qui rêvent d’indépendance… JLM : Ainsi, prôner la liberté de la Presse ne serait pas de l’angélisme poétique, au bout du compte ? LM : Vous connaissez la célèbre formule de Gramsci qui, me semble-t-il, résume parfaitement les temps glauques que nous traversons, pour notre démocratie comme pour la presse : « Le monde ancien disparaît, le monde nouveau tarde à naître ; alors dans ce clair-obscur surgissent des monstres ». Face à tous ces dangers qui nous menacent, il est précieux de s’accrocher à l’une de ces utopies dont nous parlions : rendre à notre pays un fonctionnement citoyen, un orgueil démocratique.

Interview de Jean-Luc Maxence

Tags : interviewlaurent mauduitmediapart
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Jean-Luc Maxence

Poète, critique, journaliste et essayiste (René Guénon, Jean Grosjean ou Carl Gustav Jung), Jean-Luc Maxence (né en 1946) a dirigé au plan thérapeutique une association nationale de prévention des toxicomanies (le Centre DIDRO) et fut le président de la délégation Française de l’A.P.E (Association Européenne de Psychanalyse). Il co-dirige, avec Danny-Marc, son épouse, à Paris, les éditions Le Nouvel Athanor et la revue LES CAHIERS DU SENS (30 numéros parus en trente ans). Il a créé le bimestriel REBELLE(S). Son œuvre poétique faisait écrire à Pierre Seghers : "J’aime cette rage écrite, contenue, ce masque arraché".

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Commentaires 1

  1. Michel ALLIBERT says:
    Il y a 4 ans

    Bonjour
    Non, le réformisme n’est pas mort. Ce sont les français qui sont devenus incapables de réformisme. Et ils se jettent dans les bras de ceux qui leur apparaissent comme la personne miracle qu’ils supposent capable de leur apporter le changement qui remédiera à la situation qui à la longue leur paraît insupportable. Mendès-France, Giscard d’Estaing, Barre, Bérégovoy, Quelques réformistes rejetés par le peuple, car les efforts demandés paraissaient trop contraignants. Le réformisme est nécessaire, tout comme l’évolution Darwinienne. Et les populations, les civilisations qui se satisfont de “panem et circences”, du pain et des jeux, sont des espèces en péril. Péril aggravé par ceux qui ne savent pas voir que la survie est constante adaptation aux circonstances changeantes en acceptant les compromis nécessaires. La situation parfaite n’existe pas, la nécessité impose de choisir le compromis le moins mauvais possible dans le choix multicritère qui nous est imposé. Alors les Rebelles perpétuels, comme les anarchistes, ce n’est pas en détruisant la société qui vous permet de vivre, que votre utopie (si vous en avez une) nous apportera le bonheur. Un grand débauché et corrupteur aux (mé)dires de certains nous a recommandé de nous interroger sur ce que nous pourrions faire pour améliorer cette société. D’autres ont vanté le colibri qui apporte sa goutte d’eau pour lutter contre l’incendie. Détruire tous les systèmes sociaux contraignants, hôpitaux, sanatorias, prison, service militaire, enseignement, ou contribuer à les améliorer, où est le choix préférable. Sachant que nous vivons en absurdie. De Camus, nous ne l’avons pas compris, Onfray nous l’a montré. Quoique son choix libertaire …………

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