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Accueil » « J’ai rêvé des histoires aux couleurs de musique »

« J’ai rêvé des histoires aux couleurs de musique »

Jonathan Levy Bencheton Par Jonathan Levy Bencheton
13 juillet 2018
dans Art(s)
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Crédit photo: Pascal Therme – Portrait de Martine-Gabrielle Konorski

Martine-Gabrielle Konorski nous confie « J’ai rêvé des histoires aux couleurs de musique »

Tu viens de créer le spectacle de poésie et musique, ACCORDS, représenté en janvier au théâtre Les Déchargeurs, à Paris. Qu’est-ce qui t’a conduit à cette création ?

Différents mouvements d’ordre professionnel, personnel et créatif, m’ont amenée directement et indirectement à créer le spectacle « ACCORDS ». En effet, alors que j’étais en pleine activité, comme Directeur de la communication, j’ai été, tout d’un coup, arrêtée par un accident de santé. Mon corps m’a dit stop ! C’est alors que, naturellement, l’écriture poétique que j’avais dû mettre un peu de côté pour m’occuper de mes deux jeunes enfants et de mes intenses activités professionnelles, est revenue au premier plan. J’ai donc pu reprendre la publication de poésie, notamment avec deux recueils récents 1 . Et puis j’ai souhaité approfondir ce travail d’écriture en élargissant sa portée. C’est pourquoi j’ai réalisé « ACCORDS ». J’ai imaginé un dialogue harmonique entre ma poésie et la musique du compositeur espagnol Federico MOMPOU. J’ai « rêvé des histoires aux couleurs de musique ». En effet, pour moi, la dimension sonore de la poésie est essentielle, elle est même à l’origine de son existence. J’ai donc mené une recherche d’accords entre poésie et musique, qui permettent la mise en résonance, la correspondance pour tracer l’itinéraire d’un voyage entre deux univers : celui d’une poète du xxi e siècle et celui d’un compositeur majeur du xx e siècle. Dans « ACCORDS », les mots sont enveloppés dans la musique. Musique des paroles et poésie du clavier, retenue et éclats. Une liberté furieuse de paroles et de sons. Avec « ACCORDS », j’ai aussi voulu jeter des passerelles entre les sons et les silences, entre les vivants et les morts, entre mon travail et celui de la comédienne et de la pianiste, entre les cultures (de la France et de l’Espagne), et finalement entre les interprètes et les spectateurs. Enfin, partager la poésie le plus largement possible est pour moi essentiel. C’est ce que j’ai souhaité faire sur la scène du théâtre Les Déchargeurs, un lieu symbolique de la poésie depuis près de 50 ans.

Ton parcours est assez atypique ! Quelles en ont été les étapes marquantes ?

L’étude a toujours occupé une place importante dans ma vie et dans mon éducation. J’ai adoré étudier. Pendant l’enfance, la musique, le piano, ont occupé une grande place et mes professeurs m’avaient alors engagée dans un cursus professionnel. J’ai choisi une autre voie, car le journalisme, l’enseignement, le droit m’attiraient. La période étudiante est un de mes meilleurs souvenirs. J’ai commencé par étudier l’anglais. Et puis comme cela ne me suffisait pas, je me suis lancée dans une double formation, à l’université de Nanterre. La découverte du droit, notamment du droit public m’a passionnée, et une fois la Maîtrise en poche, j’ai souhaité compléter par une préparation à l’ENA à la Sorbonne, pour ensuite intégrer Sciences-Po. Paris, dans la section Service public. Dans le cadre de ces études, j’ai alors fait des stages et j’ai commencé à travailler dans la communication, un peu par hasard, tout en continuant à étudier, puisque l’on m’a assez vite proposé des postes dans ce domaine que j’ai découvert et aimé. Ainsi, j’ai débuté au Service d’Information du Premier Ministre, puis au Cabinet du Ministre de la Recherche, et je suis restée au Ministère pendant plusieurs années. Après le drame de la mort accidentelle de mon jeune frère, j’ai renoncé à préparer l’ENA. J’ai eu envie de découvrir le monde de l’entreprise. C’est alors que s’est ouverte une partie de ma carrière dans les grandes entreprises, en France, puis aux États-Unis. J’ai travaillé, pendant 15 ans, dans des agences de communication américaines. Mon dernier poste a été dans une entreprise d’origine italienne, ce qui me plaisait car l’italien est une de mes langues préférées. Tout au long de ces 30 années, j’ai beaucoup voyagé et toujours énormément travaillé, beaucoup trop d’ailleurs… ce qui a en grande partie causé mon récent accident de santé.

Comment fait-on pour être mère de famille, « business woman », poète et musicienne ?

Aujourd’hui je ne saute plus d’avions en trains, de salles d’attente en hôtels, ni de séminaires en congrès… comme le font encore beaucoup de mes amis. Lorsque l’on est entraîné dans ce mouvement infernal, on ne se pose pas de questions. On avance, du moins c’est ce que l’on croit ! Ne pas s’impliquer pleinement est difficile, et il est difficile de maîtriser la limite au-delà de laquelle on court des risques réels. C’est le lot des femmes – et des hommes – qui tentent de mener tout de front : une carrière et une vie de famille. Dans mon cas, la poésie et la musique ont toujours fait partie de ma vie et ne m’ont jamais quittée. Je pratique le piano depuis plus de 50 ans et écrire a toujours été une activité naturelle, comme respirer, manger, dormir… Je crois même que cela m’a été vital pour survivre dans l’univers de l’entreprise. En effet, écrire de la poésie ne nécessite pour moi aucune condition particulière. J’écris n’importe où, à n’importe quel moment, j’ai toujours avec moi de petits carnets sur lesquels je couche mes pensées, mes émotions, mes souvenirs… Tout est question d’inspiration, d’écoute du va-et-vient entre le monde intérieur et l’extérieur. Heureusement, l’imaginaire est sans limites, sans frontières, sans temps, sans espace. Pour ce qui concerne la pratique du piano, cela a été plus difficile à concilier avec les déplacements et la charge de travail, car elle nécessite un entraînement quotidien… et un clavier ! Je l’ai donc un peu sacrifiée, avant de la reprendre régulièrement après mon accident de santé. Entre-temps, je m’étais lancée dans le chant, que je poursuis toujours, car je pouvais emporter mes partitions avec moi et travailler presque n’importe où.

Quelle est la place de la poésie pour toi aujourd’hui ?

J’ai pu mesurer, depuis mon accident de santé, combien mon corps se laisse de nouveau traverser par ce qui est essentiel dans ma vie, la poésie et la musique. Je crois que quand on a été habitué, depuis l’enfance, à vivre avec son instrument, on ne peut plus vivre sans. D’ailleurs je vais te faire une confidence : depuis des années, je dors à côté de mon piano ! Quant à l’écriture, lorsqu’elle s’impose à vous, elle ne vous lâche plus ! Je dis souvent que « danser avec les mots », en équilibre sur un fil, me plaît plus que tout. Entre la densité de la parole et l’intensité de la musique, dans une pulsation qui frôle parfois la syncope, c’est la complexité du monde et de l’être que je tente d’exprimer. Et c’est ce que j’ai souhaité faire en créant ACCORDS, à partir de « Je te vois pâle… au loin » et de « Une lumière s’accorde », en résonance avec la musique de Federico MOMPOU. C’est par l’imaginaire de la poésie que la parole humaine peut advenir. Pour moi, c’est le vertige et l’incandescence qui transforment les mots en lumière et en musique. À travers la recherche des mots et de leurs sonorités, je poursuis aussi la recherche du sens. La grande poète russe Marina TSVETAIEVA disait que : « le poète n’a pas d’autre voie d’accès à une conception de la vie que le mot… un son donné qui correspond à un sens donné. Tout en cherchant le mot, le poète cherche le sens ». Et je crois, plus que jamais, face à la dureté des rapports humains, à la violence des conflits qui déstabilisent le corps social, à l’irruption des technologies dans tous les domaines de nos vies, la perte de sens qui nous menace, que la poésie peut sauver le monde. Écrire de la poésie, c’est aussi résister à l’oubli, à l’ignorance, à la médiocrité, à l’érosion de la culture… Comme l’a dit Jacques COPEAU dans un appel qui orne la façade du théâtre Les Déchargeurs où sera présenté mon spectacle, « dans un monde d’insignifiance, de bassesse, de cabotinage et de spéculation, ne vous contentez pas de votre mécontentement ». Je voudrais ajouter que l’amour de mes parents, de mon mari, de mes enfants et de ma famille, sont pour moi le « primum novens » de tout. J’ai la chance de vivre dans cette dimension qui construit les êtres pour la vie.

Le silence et le son sont très présents dans l’écriture de « ACCORDS ». Est-ce délibéré ?

La puissance des mots est immense. La parole poétique est pour moi dans cette condensation qui conduit à un travail sur le son. Donner à entendre la parole poétique, c’est aussi revenir sur la trace des voix qui m’accompagnent. J’ai imaginé « ACCORDS » comme une déambulation entre ma poésie, qui se tisse entre le silence et le son, et la musique de Federico MOMPOU, la célèbre « Musica Callada », qui se tait. Je l’ai choisie précisément parce que c’est une musique qui se rapproche toujours plus du silence. Vladimir JANKELEVITCH a d’ailleurs écrit à son propos : « ce que veut Mompou, à la recherche de la « soledad sonora », c’est d’atteindre le point inatteignable où la musique est devenue la voix même du silence, où le silence lui-même s’est fait musique ». C’est ce silence habité qui offre le motif principal du spectacle. MALLARMÉ disait que c’était « à la poésie d’écrire le silence ». À la recherche de la matière sonore originelle, c’est de cette vibration du silence que vient la force de l’accord entre la parole poétique et la musique. C’est ce que j’ai voulu pour « ACCORDS ».

Vous êtes quatre femmes impliquées dans ce spectacle, est-ce un hasard ?

J’ai dit plus haut que la famille est pour moi essentielle. Il en va de même de l’amitié. La force des rencontres humaines permet de nouer l’Être à l’Autre. La poésie, la musique permettent cela, de manière intime, profonde, dans l’authenticité. Il était donc important pour moi que le dialogue entre mes textes et la musique se fasse dans une proximité de sensibilité entre les talents des interprètes, mais aussi dans les relations humaines, puisque tout dans le spectacle est histoire d’harmonies. Alors pourquoi quatre femmes ? Dans « ACCORDS », l’adresse à l’Autre, l’adresse d’une fille à sa mère disparue, d’une sœur à son frère perdu, d’une femme à un homme, à des hommes, ont naturellement conduit à ce que mes textes soient incarnés par une comédienne. C’est pourquoi j’ai « jeté mon dévolu » sur Maud RAYER, qui entretient un rapport charnel avec les textes ; elle respire aux mouvements des mots avec tendresse, sensualité… ou fureur. C’est cela que je recherchais. Elle a travaillé avec les plus grands metteurs en scène, au théâtre, au cinéma, à la télévision, et pendant des années, elle a été la voix de la poésie sur France Culture. Pour la musique, travailler avec Marie-Pierre BRUN était une évidence. C’est une pianiste douée d’une sûreté musicale, d’une sensibilité et d’une générosité sonore rares. Elle donne à entendre les images poétiques de manière incomparable. Puis est venu le temps du travail sur la mise en espace. Là encore, c’est naturellement que je me suis tournée vers la metteur en scène Coralie PRADET. Son expérience de la scène et du chant m’intéressait ainsi que la qualité de son travail, son écoute, sa sensibilité au nécessaire dépouillement que requiert mon spectacle, pour ce voyage dans l’espace et le temps, au service de la poésie, entre cri et pudeur. « ACCORDS » s’est donc nourri de l’échange qui s’est construit entre nous quatre, au fil de longs mois de travail. Travailler avec des femmes de talent, permettait la recréation d’un univers de confiance, d’affinité, de complicité, qui avait été celui de mon enfance, à travers l’amitié avec des filles, puis des femmes. Je crois que dans l’écriture on ne se départit jamais de la dimension de l’enfance. C’est un cadeau. « ACCORDS » se situe dans le saisissement en tous sens, d’un rythme de l’existence. Profondeur et abîme du monde intérieur, se laisser toucher par les paroles et les sons. Quatre femmes rendent cela possible, dans une affectueuse conjonction avec la musique d’un homme, le seul, le grand compositeur Federico MOMPOU.

Comment vois-tu la suite ?

La transversalité entre les disciplines artistiques (poésie, piano, théâtre) a toujours été importante pour moi, de même que le croisement des cultures. Les faire dialoguer et les mettre en résonance est une des possibilités qu’offre la poésie. Hors temps, hors espace, cette création tente de donner vie à ce qui peut résonner dans le cœur de chacun. J’ai donc le projet, après la création du spectacle à Paris, d’élargir sa diffusion en banlieue, en province, en Espagne, pays de Federico MOMPOU, et en direction de pays francophones. Partager encore plus largement « ces histoires aux couleurs de musique » que j’ai imaginées, c’est ce que je souhaite faire, pour aller à la rencontre de nouveaux publics, pour que vive la poésie ! Ces projets devraient être facilités par la collaboration qui s’est développée avec les différents soutiens et partenaires : l’Ambassade d’Espagne, le « World Poetry Movement », les revues littéraires « Terres de femmes » et « Les Carnets d’Eucharis », ainsi que la librairie « La Petite Lumière ». La récente labellisation de « ACCORDS » par le « Printemps des Poètes » constituera, dans cette perspective, un atout supplémentaire.

Interview exclusive de Jonathan Lévy-Bencheton

1. « Je te vois pâle… au loin » en 2014 et « Une lumière s’accorde » en 2016, aux Éditions Le Nouvel Athanor

Tags : AccordsFederico MompouinterviewJonathan Lévy-BenchetonMartine-Gabrielle KonorskimusiquepoésiespectacleThéatrethéatre Les Déchargeurs
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Jonathan Levy Bencheton

Jonathan Levy Bencheton

Diplômé d’un master 2 de mathématiques de l’Université Paris IX Dauphine, Jonathan travaille dans le secteur de l’immobilier social. Par ailleurs, il mène en parallèle une carrière de musicien qui l’amène à aborder la chanson française ainsi que la musique à l’image, passé notamment par Universal Music Publishing, il aime interviewer les artistes qui le passionnent.

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