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Rap et cannabis : les confidences de B.A.D Lossa

Jonathan Levy Bencheton Par Jonathan Levy Bencheton
21 juin 2018
dans Art(s), Société(s)
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Rebelles(s) : Que représente selon toi le cannabis dans le milieu du rap ?

B.A.D Lossa : C’est la drogue du rappeur par excellence. Comme son animal de compagnie. Ça le suit toute sa vie ! Blague à part, je crois que trois quarts des musiciens sur la planète fument de l’herbe. Avec le cannabis, en effet, je pense que tu captes complètement les ondes du cerveau.

Mais alors… N’y a-t-il pas de mauvaise surprise en réécoutant à jeun ?

Non, le cannabis n’est pas de l’alcool non plus. Tu ne déroutes pas ton cerveau au point de regretter des choses le lendemain ! Le « bedo » (1), c’est quand même vachement plus contrôlé comme défonce. Surtout quand tu fumes tout le temps. Quelqu’un qui fume un joint une fois de temps en temps, c’est comme s’il se prenait une bouteille d’alcool dans le nez, mais quand tu fumes tous les jours, c’est différent. D’ailleurs Snoop dogg fume tous les jours et ça ne l’a pas empêché de faire une grande carrière.

Revenons-en à toi, Lossa. Peux-tu nous raconter ton parcours musical?

J’ai commencé en écoutant une cassette de LL Cool J. J’avais 12 ans, je crois, et c’était la première fois que j’entendais du rap. J’ai pris un électrochoc. Je me suis dis : c’est quoi cette musique de ouf ? À cette époque, il n’y avait pas encore une musique qui m’avait épaté. Il y avait déjà la funk, la pop… J’aimais bien certaines choses, mais je n’étais pas encore fan d’un style musical en particulier. En écoutant du rap, j’ai tout de suite adhéré! Au tout début, j’avais mis deux platines de salon ensemble, acheté une petite mixette et commencé à mixer des disques de rap. Ensuite j’ai fait mes premières instrus en achetant des break beats.

Qu’est ce qu’un break beat?

C’était des vinyles avec des loops (2) de batterie. Je n’avais pas de sampler (3), j’avais rien à l’époque et je faisais tourner en synchro des samples et des loops. Je mettais deux platines, l’une envoyait la batterie pendant que sur l’autre je préparais mes boucles de samples. Après j’ai acheté mon premier sampler, un SR10, c’était celui de beaucoup de stars aux États-Unis. Je me souviens, il n’y en avait qu’un seul, et je l’ai acheté immédiatement.

La musique que tu composais était faite uniquement à partir de samples de morceaux existants ?

Au début des années 90, le rap ne se faisait qu’à partir de samples. Il était mal venu de faire des compositions avec des arrangements, des synthétiseurs etc… Il fallait trouver des loops dans n’importe quel style musical et construire un morceau à partir de ça.

Du coup c’était un vrai plaisir de passer des heures à éplucher plus de 50 disques sur une platine, à écouter toutes les portions pour savoir ce que tu vas prendre ou pas. Bien évidemment ce processus se faisait en fumant. En fait c’est comme si tu étais dans un lounge, tu écoutes la musique, détendu, et d’un coup tu stoppes sur une partie. Avec le sentiment d’élévation que procure le THC (4) tu ressens plus fortement encore les émotions. Si tu aimes un morceau tu vas l’adorer et inversement un morceau que tu n’aimes pas trop, tu vas le détester. Selon moi le cannabis est un exhausteur de sensations. Ça élève le son à un niveau que tu ne peux pas avoir si tu n’as pas fumé. La musique c’est une question de perception, tu t’en rends compte quand tu vas en club et que tu danses sur le dancefloor. Après deux verres, tu ressens la musique complètement différemment. C’est plus intense.

Et le reggae dans tout ça ! Ils en ont fumé de l’herbe !

Les musiciens jamaïcains fumaient de l’herbe mais par religion dans le but de s’élever vers Jah (5). De toute façon, le reggae et les soundsystems étaient très proches du rap.

Peux-tu expliquer aux lecteurs de R.B.L ce qu’est un soundsystem ?

Il s’agit de soirées improvisées dans des caves. Les organisateurs amenaient une grosse sono (le soundsystem est un système de son en français) avec un DJ Jamaïcain qui hurlait au micro, avec de l’écho. Ensuite, ça s’est exporté dans le Bronx, aux Etats-Unis, dès le début du mouvement Hip-hop.

Je dirais que dans tous les courants culturels, que ce soit dans les milieux littéraires ou musicaux, il y a eu de la drogue. Regarde, par exemple, les écrivains se droguaient beaucoup. Tous les grands musiciens étaient de grands drogués. Bob Marley, Jimmy Hendrix, Eric Clapton. À la limite, l’herbe c’est ce qu’il y a de plus sain dans le registre. Tu ne meurs pas d’une overdose après un joint.

Parfois, l’herbe sauve des dépressions des gens qui sont angoissés à l’idée d’avoir un cancer. Ça les ramène au calme. Ce n’est pas si négatif que ça. Le processus de guérison est alors facilité. Entre quelqu’un qui stresse sur sa maladie tous les jours et quelqu’un qui se trouve dans un meilleur mental grâce à l’herbe, il n’y a pas photo !

Quels sont alors les côtés négatifs selon toi ?

Tu te réveilles un peu fatigué.

C’est tout ? Mais, sur le long terme, les joints n’ajoutent-t-ils pas un supplément d’anxiété et de repli sur soi ?

Pour certaines personnes, oui. Personnellement, ça ne m’a pas fait cet effet là. Ça dépend de la nature de chacun. Il y en a pour qui deux trois joints sont suffisants pour être déstabilisés, d’autres pour qui ça influence moins. Selon moi, il y a des profils de personnes faites pour fumer et d’autres à qui ça ne convient pas du tout. Malheureusement certains fument malgré tout et ça, je ne comprends vraiment pas pourquoi… En tout cas ça donne un bon feeling pour commencer une composition. Ça va de pair avec la musique.

Revenons justement à la musique, et à ta carrière… Raconte-nous, Lossa, comment tout a décollé?

Il y a eu un concours de rap sur M6 organisé par Olivier Cachin. Le thème était L’Anti-drogue. Contre les drogues dures. À cette époque, on faisait des instrus et je me suis dit : on va aller en studio et rapper dessus avec un ami.

J’ai envoyé à M6 le résultat et on a gagné le concours ! Cela m’a donné envie de continuer le rap. À l’époque il n’y avait pas de compétitions, très peu de gens faisaient du rap. Il y avait seulement NTM et IAM. J’avais 13 ans. Ensuite j’ai fait ça plus sérieusement, j’ai commencé à écrire, j’ai acheté mes premières platines réelles, les Technics MK2. Il y avait un petit sampler intégré. C’était une époque formidable.

Suite à cette expérience, j’ai fait un album dans un studio dans le 19ème à Paris. La personne qui me louait le studio a tellement aimé qu’à la moitié de l’album elle m’a proposé de produire l’album. C’est donc ce qui c’est passé.

Quel était ton nom de scène à cette époque ?

DIABLO.

Ton nom BAD Lossa, c’est venu à quel moment ?

C’est à l’époque où l’on a fait les « deux salopards » avec mon ami Fléau. À cette époque j’avais arrêté de fumer alors qu’eux fumaient tous. Il faut dire qu’il y a malgré tout l’influence de ton entourage. Quand tu regardes les autres fumer et que toi, tu restes comme un con sans rien faire… En réalité, tu ne tiens pas longtemps.

Quelle a été la suite?

J’avais signé chez EMI en 1992. On a fait un album entier. On a envoyé le vinyle a toutes les boites de nuit et ils l’ont passé. J’étais vraiment très content. Le titre s’appelait d’ailleurs « Mary-Jane ». Il est passé sur NRJ. Il parlait de Marijuana. EMI adorait et, à ce moment là, le CSA vint censurer le titre. Le CSA était très dur à l’époque. Ils avaient censuré aussi le hit OCB. Dans ce titre, je racontais l’histoire d’une femme qui s’appelait Mary-Jane. Elle était un peu comme une prostituée. Si tu l’appelais une fois, tu étais condamné à la rappeler. Tu auras beau l’aimer autant que tu veux, elle ira avec tout le monde et se fera payer par tout le monde…

Mary-Jane n’est pas la femme dont tout le monde rêve je crois… Quelle est ton actualité musicale ?

Actuellement je fais du beatmaking (6). Je suis également ingénieur du son. J’ai récemment produit des titres pour le rappeur américain Neezy Nice. Je travaille aussi avec plusieurs artistes américains sur des projets assez variés

Ça aurait pu être un concept original : le seul rappeur qui ne fume pas, non ?

Au final, je crois qu’il y en a beaucoup qui ne fument pas. Bon, c’est vrai qu’aux Etats-Unis tu peux être certain qu’ils fument tous. Mais en France tu as plein de rappeurs qui ne fument pas et qui ne boivent pas non plus, surtout dans la nouvelle génération. Les anciens fumaient tous, surtout du shit (le haschich). Personnellement, le shit, je trouve ça destructeur pour la musique. À la base, c’est fait pour calmer les gros nerveux. Le shit est souvent coupé au henné, au plastique et autres cochonneries. C’est moins pur que l’herbe. Ça à l’effet d’un tranquillisant. Ça ankylose l’esprit et les membres alors que l’herbe te met dans une dynamique plus festive. L’herbe, c’est aérien !

Interview par Jonathan Lévy-Bencheton

Tags : B.A.D LossaBAD LossaCannabisinterview
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Jonathan Levy Bencheton

Jonathan Levy Bencheton

Diplômé d’un master 2 de mathématiques de l’Université Paris IX Dauphine, Jonathan travaille dans le secteur de l’immobilier social. Par ailleurs, il mène en parallèle une carrière de musicien qui l’amène à aborder la chanson française ainsi que la musique à l’image, passé notamment par Universal Music Publishing, il aime interviewer les artistes qui le passionnent.

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Renaud Fontanarosa © Auteur

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