• S’abonner à Rebelle(s)
  • L’ours
  • Contact
jeudi 23 mars 2023
  • Connexion
  • S'enregistrer
Rebelle(s) Mag
  • Accueil
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Société(s)
  • Littéraire(s)
  • Spécial Ukraine
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Qui sommes-nous ?
Pas de résultat
Voir tous les résultats
  • Accueil
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Société(s)
  • Littéraire(s)
  • Spécial Ukraine
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Qui sommes-nous ?
Pas de résultat
Voir tous les résultats
Rebelle(s) Mag
Pas de résultat
Voir tous les résultats

Bonjour Renaud Fontanarosa… violoncelliste, acteur et clown

Jonathan Levy Bencheton Par Jonathan Levy Bencheton
21 juin 2018
dans Art(s), Les grands entretiens rebelle(s)
0
Partager sur FacebookPartager sur Twitter
Renaud Fontanarosa – © Auteur –

Bonjour Renaud Fontanarosa, tout d’abord merci de répondre à cette interview pour Rebelles(s). Nous sommes ravis d’interviewer un artiste aussi complet : violoncelliste, acteur et clown. Derrière chacune de ces casquettes, l’humaniste qui est en vous laisse poindre le bout de son nez (rouge ?). Se fera-t-il apercevoir aujourd’hui ? En tout cas, nous l’espérons. Comme vous le savez, le dossier spécial du présent R.B.L est nommé « la fin du monde, c’est quand ? »… J’aurais donc envie de vous poser cette question, tout simplement, pour commencer cette interview.

J’espère jamais ! Mais il faut la fin d’un monde pour éviter la fin du monde. Aujourd’hui, le mépris pour l’individu s’étale sur la surface du globe comme une nouvelle peste qui n’épargne pas grand monde, je trouve en effet que la vie ne pèse plus grand-chose. C’est ce monde-là qu’il faut quitter pour éviter la fin du monde.

Pour autant nous vivons une époque où l’on parle énormément de l’individu, du développement personnel, etc.

Qu’appelle-t-on développement personnel ? Au final, si c’est pour être replié sur soi-même, ça n’a aucun intérêt !

Vous venez d’une fratrie de musiciens, comment l’amour de la musique vous est-il venu ?

La question ne s’est pas posée car on avait des parents, artistes peintres et mélomanes, qui avaient en plus des amis musiciens et donc il était normal que l’apprentissage de la musique vienne enrichir notre éducation scolaire et surtout nous aider à ouvrir quelques portes secrètes de la vie. Le choix des instruments – piano pour Frédérique, violon pour Patrice et violoncelle pour moi – a fait que le trio s’est formé naturellement. Nous avons tous trois « mis le doigt dans le pot de confiture » et même si la route reste rude, nous nous régalons depuis notre plus jeune âge, en vivant de ce métier. Donc pas de « poudre de perlimpinpin », mais des parents exceptionnellement confiants dans les racines de la vie.

Continuez-vous toujours à vous produire avec le trio Fontanarosa ?

Il se manifeste moins actuellement car nous avons tous des routes très différentes… Cependant nous avons un concert en trio dans 10 jours par exemple. Ainsi, de temps en temps, nous nous réunissons, ce qui est toujours aussi enrichissant pour les uns et les autres.

Vous avez été membre pendant plusieurs années de l’orchestre de l’Opéra de Paris. Quelle est l’importance de l’art lyrique dans votre vie ?

J’ai passé 12 années dans cet orchestre et j’ai eu le bonheur d’y découvrir de magnifiques œuvres. J’étais très peu éduqué à ce niveau-là. En fait, quand je suis entré à l’opéra, j’ai découvert tout ce répertoire magnifique : les opéras italiens, allemands et français aussi. J’ai pu être dirigé par de très grands chefs. Cela m’a permis surtout d’entendre des voix exceptionnelles, et de donner cet espace à l’expression de cette liberté qu’ont les chanteurs lyriques. Cela m’a permis aussi de chanter ma vie ! Je me souviens : quand j’ai quitté l’opéra, les copains m’ont dit que je devrais rester,

que c’était la sécurité et puis, j’ai dit non. Pour moi, la sécurité c’est de partir. La sécurité c’est d’être ce que je suis et d’aller là où je veux aller. Mais il fallait tourner la page et je suis d’ailleurs parti avec un grand bagage ; cette expérience m’a apporté énormément de choses. Le vrai risque pour moi était d’attendre ma retraite confortablement au chaud !

Cheminer dans la vie pour devenir pleinement soi-même, n’est ce pas le but de tout artiste ?

Cheminer, c’est le but de tout artiste, c’est aussi à chacun d’entre nous de le comprendre. Il faut prendre le chemin, il faut le découvrir, observer, explorer et rien ne doit être sacrifié dans notre parcours. Tout homme doit tenter de toucher ce trésor qu’il a en lui plus ou moins profondément selon son éducation parentale, scolaire et religieuse. Il ne doit pas avoir peur de découvrir et surtout de nous faire partager cette chose unique et propre à chacun de nous. C’est comme un diamant, il faut descendre à la mine et se donner parfois beaucoup de mal pour le trouver. Sauf que le résultat n’est pas un compte en banque qui va gonfler, mais un certain bonheur qui va pointer le bout de son nez (Rouge ?) Peut-être parce qu’on finit par être lassé de s’être laissé berner par des illusions alors que tout est là, en nous. Tout homme a cette poésie en lui. Il y a 7 milliards d’individus et 7 milliards de petits trésors cachés. Chaque être est exceptionnel.

Cette quête peut être douloureuse non ?

Elle est douloureuse parce que les gens sont emprisonnés dans des images, des cases qu’on leur a indiquées. En ce qui me concerne, je suis quelqu’un qui n’est pas classable en regard de mes différentes passions, ce qui est d’ailleurs assez gênant dans une carrière d’artiste. Le clown apparaît alors pour dire tout haut des choses que la musique ne peut pas exprimer. Parfois il faut vraiment prendre la parole, et montrer des situations absurdes.

Aujourd’hui quelle est la place des artistes dans nos sociétés. Ont-ils été parfois des prophètes des temps modernes ? Peut-être un peu trop…

Il y a celui qui « fait l’artiste », celui-là, je n’en parlerai pas. Il y a l’autre, celui qui va partager cette chose unique qu’il est allé puiser au fond de lui et qui est commun à tout un chacun. On le reconnaît vite car ce qu’il partage est universel mais s’adresse étrangement à vous seul, à ce qu’il y a de plus intime. Je pense qu’un individu venant écouter un artiste sur scène par exemple, est ému parce que ce que lui dit l’artiste, il a l’impression que c’est pour lui tout seul. Mais l’artiste vient dire : « n’ayez pas peur vous êtes un trésor, je suis le miroir de ce qui vit au fond de vous ». C’est à ce niveau-là que l’artiste est unique, c’est pour ça que c’est une aventure sans fin. L’artiste est indispensable pour redonner valeur à ce que certains tentent de détruire pour mieux être suivi.

Quel est donc selon vous le véritable rôle de l’artiste ?

C’est de redonner confiance à l’individu pour qu’il n’ait plus peur de lui-même et qu’il puisse ainsi reconnaître ce qu’il y a de plus important en lui.

Vous êtes aussi Clown. Vous avez fait un spectacle nommé « Ainsi sois Là », comment cela est-il venu ?

J’avais une amie – Agnès Constantinoff – qui avait fait l’école Lecoq, fameuse école de comédien ou l’on aborde le clown, le mime, le masque, l’acrobatie, enfin toutes les bases du théâtre. Du coup, quand elle a donné des cours de clown ça m’a tenté car je me suis dit « tiens, c’est aller vraiment au fond des choses » parce que pour que le clown fonctionne, il faut vraiment être ce que l’on est. Le clown ne peut pas tricher. C’est vraiment le jaillissement de l’enfance et de la naïveté. Donc j’ai pris des cours et puis ça a débouché sur des spectacles qu’on a fait avec notre petite troupe. Ensuite j’ai monté des spectacles par moi-même. Le premier c’était « Par Si par Là », on retrouve bien le Si, la note musicale et le Là, L – a accent aigu et le deuxième « A la quête du La » donc c’est aussi le La musical mais c’est aussi être là. Donc ces 2 spectacles je les ai montés avec ma sœur Frédérique où l’on mettait en scène le clown et la musique, mais le clown servant la musique, bien sûr, pas le contraire. Ensuite, il y a eu « Ainsi sois Là ». Vous l’aurez compris, être là pour moi c’est une grande nécessité pour comprendre quelque chose à tout ce fouillis qu’on nous propose. Le clown peut paraître subversif au regard des hommes scrupuleux de bien suivre les voies que certains tracent « pour leur bien ». Le clown ne l’est pas, le clown c’est la spontanéité et la fraîcheur d’un enfant. Sa conscience le place sur un autre terrain de jeu, celui ou le sens du mot liberté prend toute sa clarté.

Quel est son rôle profond ?

Le clown n’est pas un pitre. C’est quelqu’un qui se dévoile sans se censurer et qui a une totale confiance en ce qui va jaillir de lui. Il n’est jamais vulgaire et sans aucune méchanceté. Et surtout il se moque beaucoup, mais énormément de lui-même. Il se moque de sa nature pleine de défauts et de ses rares qualités. C’est au final un être « humain », c’est la tolérance incarnée et la liberté assurée ! On a tous ça en soi. Si on lui dit : « bats-toi ! », lui préfère apprivoiser l’autre ; si on lui dit : « accroche-toi ! », lui préfère lâcher prise ; si on lui dit : « fais un effort ! », lui se détend et enfin si on lui dit : « dépasse-toi ! », il répondra « Ah oui ? Et si tu essayais déjà d’être là, tu devrais déjà réfléchir à ce que tu aimerais dépasser ».

Pensez-vous que le clown puisse y arriver dans le monde actuel ?

Il faut qu’il se fasse entendre et ensuite les portes qui s’ouvrent ou qui ne s’ouvrent pas ce n’est pas son domaine. Si on prend l’exemple de la télévision, j’ai vu des émissions avec des comiques qui avaient un énorme talent au départ et tout à coup il faut obéir, être complaisant avec un certain public ou un certain producteur, donc il faut écrire pour ce public-là et, à partir de là, c’est foutu !

Votre parcours vous a même mené à jouer dans « Les Quatre Cents Coups » et « La mariée était en noir » de François Truffaut. Pouvez-vous nous raconter ?

Cette expérience, c’est ce qui m’a fait goûter au métier d’acteur. C’était une amie, Michèle Méritz, qui était une comédienne et proche de François Truffaut qui m’a présenté à lui quand il cherchait des écoliers pour son film « Les 400 coups ». J’avais 12 ans et j’ai passé des auditions pour ce qu’on appelle de la figuration intelligente, c’est-à-dire pour des petits rôles avec textes qui apparaissent dans le film. Et il se trouve que 10 ans plus tard il m’a demandé de jouer une scène musicale dans « La mariée était en noir ». Avec ma sœur Frédérique ils nous ont demandé de jouer une pièce de musique qui venait accompagner une scène avec Jeanne Moreau et Michel Bouquet. Quant à François Truffaut, en dehors de son talent, l’extrême gentillesse de l’homme et son respect pour son équipe et ses comédiens m’ont frappé. C’était exceptionnel, son calme, sa tranquillité, sa voix très douce. Ça m’a donné le goût du Théâtre. J’ai donc fait des choses dans ce sens. Et puis, par la duite, le clown, et puis… on verra ce que ça donnera plus tard ! En conclusion, je suis toujours prêt pour de nouvelles aventures !

Interview de Jonathan Lévy-Bencheton

Tags : acteurclownFontanarosahumanisteinterviewLévy-Benchetonmusicientrio Fontanarosavioloncelliste
Article précédent

Rap et cannabis : les confidences de B.A.D Lossa

Article suivant

Les Souffrances invisibles – Pour une science du travail à l’écoute des gens

Jonathan Levy Bencheton

Jonathan Levy Bencheton

Diplômé d’un master 2 de mathématiques de l’Université Paris IX Dauphine, Jonathan travaille dans le secteur de l’immobilier social. Par ailleurs, il mène en parallèle une carrière de musicien qui l’amène à aborder la chanson française ainsi que la musique à l’image, passé notamment par Universal Music Publishing, il aime interviewer les artistes qui le passionnent.

Article suivant
Les souffrances invisibles

Les Souffrances invisibles - Pour une science du travail à l'écoute des gens

Laisser un commentaire Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

Rares sont ceux qui méritent qu'on les contredisent
Ernst JüngerAphorismes
On ne s'approprie que ce qu'on a d'abord tenu à distance pour le considérer.
Paul Ricoeur
La vie est jeune. En vieillissant, elle se fait durée, elle se fait temps, elle se fait adieu.
Romain Gary
Il est vain de vouloir libérer la vie des mensonges de l'art.
Georges Bataille
Les bêtes sont des personnes muettes
Un buronnier, vacher de l’Aubrac
Les gens exigent qu'on ait un métier. - Comme si vivre n'en était pas un - et encore le plus difficile !
Emil Cioran
Quand un philosophe me répond, je ne comprends plus ma question.
Pierre Desproges
On ne peut expliquer un paradoxe, non plus qu'un éternuement. D'ailleurs le paradoxe n'est-il pas un éternuement de l'esprit ?
Emil Cioran
Ce que je veux dire, c'est qu'elle avait des yeux où il faisait si bon vivre que je n'ai jamais su où aller depuis.
Romain Gary
On ne peut savoir si l'homme se servira longtemps encore de la parole ou s'il recouvrera petit à petit l'usage du hurlement.
Emil Cioran
Je ne crois pas qu’il soit possible, même à ceux qui ont de grandes familles, de réussir s’ils n’unissent pas à leur talent naturel des qualités simples, solides, laborieuses, et surtout une légitime confiance dans le succès : il n’y a rien de tel en ce monde que de vouloir.
Charles Dickens
Accepter le seul risque raisonnable, celui de se dépasser.
Erri de Luca
L’art est une reconfiguration du champs des possibles
Jean-Louis Bischoff
Le destin de celui qui ne songe qu'à se mettre à couvert, c'est d'être survolé
Ernst JüngerAphorismes
L'homme le plus éclairé est le plus ébloui
Victor Hugo
Précédent
Suivant

Abonnez-vous à notre newsletter

Inscrivez-vous à notre newsletter !

Nous ne spammons pas ! Consultez notre politique de confidentialité pour plus d’informations.

Vérifiez votre boite de réception ou votre répertoire d’indésirables pour confirmer votre abonnement.

Rubrique(s)

  • 3 questions à…
  • Art(s)
  • Cinéma(s)
  • Classique(s)
  • Dossier du mois : L'art peut-il influencer le monde ?
  • Dossier du mois : La foire aux cons : toujours d'actualité
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Edito(s)
  • Geekologie(s)
  • Inclassable(s)
  • L'impertinence poétique
  • Le Mag papier
  • Les gonzoïdes de l'Apocalypse
  • Les grands entretiens rebelle(s)
  • Littéraire(s)
  • Mémoires Démasqués
  • Philo-spirit(s)
  • Politique(s)
  • Rock and Folk et Musique(s)
  • Société(s)
  • Spécial Ukraine
  • Théatre – Spectacle(s)
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Voyage(s)
interviews 1 scaled

Articles récents

  • Que reste-t-il de nos lectures ? 22 mars 2023
  • Ah ça ira, ça ira… ! 18 mars 2023
  • Le professeur inexistant (philosophie) 17 mars 2023
  • Pasolini, un rebelle au-delà de l’écran 16 mars 2023
  • Final de l’âge d’or des Rolling Stones : It’s Only Rock ‘n’ Roll 15 mars 2023
  • Nous revivrons 12 mars 2023
  • FECRIS, Novopashin encore et zombies ukrainiens 12 mars 2023
  • L’âge d’or des Rolling Stones : Goat’s Head Soup 8 mars 2023
  • Une réflexion sur la liberté et la sécurité autour du roman d’Ira Levin, Un Bonheur insoutenable 7 mars 2023
  • Comment se laisse-t-on séduire par le côté obscur ? 6 mars 2023
  • Un homme heureux 5 mars 2023
  • Accords et à cran, Aurélia Lesbros 5 mars 2023
  • Les bobos… anti-bobo ! 1 mars 2023
  • Peut-on concilier, comme Jésus de Nazareth, la liberté et l’autorité ? 28 février 2023
  • L’âge d’or des Rolling Stones : Exile On Main Street 27 février 2023
  • Que deviennent les opposants à la guerre en Russie ? 26 février 2023
  • Droits des femmes : Simone de Beauvoir avait tellement raison ! 22 février 2023
  • Le temps des féminismes 22 février 2023
  • L’Art d’Accommoder la Vieillesse 22 février 2023
  • Irréfutable essai de successologie 22 février 2023
  • L’âge d’or des Rolling Stones : Sticky Fingers 20 février 2023
  • La retraite à 64 ans ?  Qui va trinquer  ? 18 février 2023
  • Leonid Sevastianov : un Russe pour la paix 18 février 2023
  • Cruel Oncle Vania ! 12 février 2023
  • L’âge d’or des Rolling Stones : Get Yer Ya-Ya’s Out! 11 février 2023
  • Réforme des retraites : faux problème 11 février 2023
  • L’âge d’or des Rolling Stones : Let It Bleed 5 février 2023
  • Pourquoi tant de haine ? 3 février 2023
  • Scientifiques émotifs 29 janvier 2023
  • La camisole chimique menace les Français 29 janvier 2023
  • Affaire Dupont de Ligonnès : la secte qui n’en était pas une 25 janvier 2023
  • Cavalcade amoureuse au Théâtre de la Ville 22 janvier 2023
  • Génocide des Ouïghours : les musulmans ont aussi leurs collabos 20 janvier 2023
  • Perdu en mère 16 janvier 2023
  • Zhanargul Zhumatai : Un entretien dramatique avec une survivante d’un camp d’ethnie kazakhe qui pourrait bientôt “disparaître”. 13 janvier 2023
  • L’âge d’or des Rolling Stones : Beggar’s Banquet 13 janvier 2023
  • Des médiums et des cathos contre Poutine 13 janvier 2023
  • Ombres et lumières 8 janvier 2023
  • Fin du Cycle Disco : 1980 et au-delà… 8 janvier 2023
  • Des Saints, Sinon Rien – Censure d’aujourd’hui 7 janvier 2023
  • La poétique désabusée de « La Maman et la Putain » 6 janvier 2023
  • Réhabiliter Louis Aragon, rue de Bourgogne… 5 janvier 2023
  • Russie : nazis cannibales, Novopashin récidive ! 4 janvier 2023
  • La Douma, les nouvelles lois et le droit de buter de l’Ukrainien 3 janvier 2023
  • Cycle Disco : 1979, deuxième partie 2 janvier 2023
  • J’ai découvert Raël grâce au Figaro ! Une enquête de dingue ! (Ironie) 1 janvier 2023
  • Écouter, sentir… 31 décembre 2022
  • Poutine communiste ou tsariste ? D’Alexandre III à Joseph Staline 26 décembre 2022
  • Cycle Disco : 1979, première partie 26 décembre 2022
  • Chroniques familiales – extraits 25 décembre 2022
  • Coups de coeur au bout du monde – Chili 25 décembre 2022
  • SANS NOTES ! 25 décembre 2022
  • L’Église orthodoxe russe veut une loi contre les idéologies destructrices 18 décembre 2022
  • Que va faire le nouveau ministre de l’Éducation nationale ? 15 décembre 2022
  • Délestages extrêmes 15 décembre 2022
  • Laïcité et république 15 décembre 2022
  • Cycle Disco : 1978 (3ème partie) 12 décembre 2022
  • Un manteau russe ou ukrainien ? 11 décembre 2022
  • Arrêtez de me Weinstiner ! 8 décembre 2022
  • Quartier rouge 8 décembre 2022
  • Prendre la route 8 décembre 2022
  • La Dernière Page 8 décembre 2022
  • La France a du mal avec ses rebelles – 2/2 8 décembre 2022
  • La France a du mal avec ses rebelles – 1/2 8 décembre 2022
  • Fin du cycle Glam Rock : et pour quelques paillettes de plus 3 décembre 2022
  • En Russie, il est de plus en plus dangereux de créer une ONG 1 décembre 2022
  • Faut-il réhabiliter l’anarchie ? 1 décembre 2022
  • Sécurité partout, éducation nulle part 1 décembre 2022
  • Elephant 29 novembre 2022
  • Alain Jouffroy ou le dernier des surréalistes rebelles 29 novembre 2022
  • « Lettres à sa fille » – Calamity Jane 27 novembre 2022
  • En dépit de sa mère ! 27 novembre 2022
  • Le Père Boulier, un prêtre rouge combattant l’antisémitisme 26 novembre 2022
  • Cycle Glam Rock : pour une poignée de paillettes… 26 novembre 2022
  • Koltès à la Bastille 17 novembre 2022
  • L’Ukraine harasse Poutine 13 novembre 2022
  • Enfermé dehors 11 novembre 2022
  • Imagination active et transe chamanique – 3/3 10 novembre 2022
  • Imagination active et transe chamanique – 2/3 10 novembre 2022
  • Imagination active et transe chamanique – 1/3 10 novembre 2022
  • La musique, instrument de réconciliation des peuples 10 novembre 2022
  • Cycle Glam Rock : Roxy Music 7 novembre 2022
  • Nos années 80… Souvenirs, mon amour 5 novembre 2022
  • La loi des séries 5 novembre 2022
  • Les choses, une histoire de la nature morte 5 novembre 2022
  • C’était mieux avant ! 5 novembre 2022
  • Sur la trace des cyclos 4 novembre 2022
  • Un Christ à prix d’or ! 4 novembre 2022
  • Poutine est un Staline qui ne s’ignore pas 4 novembre 2022
  • Ma rencontre avec Jung 30 octobre 2022
  • Les différentes régions du ciel 30 octobre 2022
  • Du désordre amoureux au renoncement au monde 30 octobre 2022
  • L’homme qui tua Liberty Valance 30 octobre 2022
  • L’homme et le divin 30 octobre 2022
  • Écosophie 30 octobre 2022
  • L’écosophie de Michel Maffesoli et le corps 30 octobre 2022
  • L’âme-son (hameçon) du rock n’ roll 30 octobre 2022
  • Pour Alexandre Novopashin les Ukrainiens sont un ramassis de nazis satanistes et sectaires 25 octobre 2022
  • Ma millième note 23 octobre 2022
  • Grande démission : le travail a perdu son sens 23 octobre 2022
  • Russie : Non, le Patriarche Kirill n’a pas changé 21 octobre 2022
  • Mentions légales site
  • S’abonner à Rebelle(s)
  • L’ours
  • Politique de cookies

© 2023

Pas de résultat
Voir tous les résultats
  • Accueil
  • Qui sommes-nous ?
  • Le Mag Papier
  • Geekologie(s)
  • Littéraire(s)
  • Société(s)
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Art(s)
  • Cinéma(s)
  • Rock and Folk et Musique(s)
  • Théatre – Spectacle(s)
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Edito(s)
  • Inclassable(s)
  • L’impertinence poétique
  • Littéraire(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Voyage(s)
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Contact

© 2023

Bienvenue !

OU

Login to your account below

Mot de passe oublié ? S'inscrire

Create New Account!

OU

Fill the forms bellow to register

*By registering into our website, you agree to the Terms & Conditions and Privacy Policy.
Tous les champs sont obligatoires. Se connecter

Récupérez votre mot de passe

Veuillez saisir votre nom d'utilisateur ou votre email pour réinitialiser votre mot de passe.

Se connecter
Social Media Auto Publish Powered By : XYZScripts.com
RBLs
Gérer le consentement aux cookies
Nous utilisons des cookies pour optimiser notre site web et notre service.
Les cookies fonctionnels Toujours activé
Le stockage ou l’accès technique est strictement nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de permettre l’utilisation d’un service spécifique explicitement demandé par l’abonné ou l’utilisateur, ou dans le seul but d’effectuer la transmission d’une communication sur un réseau de communications électroniques.
Préférences
Le stockage ou l’accès technique est nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de stocker des préférences qui ne sont pas demandées par l’abonné ou l’utilisateur.
Statistiques
Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement à des fins statistiques. Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement dans des finalités statistiques anonymes. En l’absence d’une assignation à comparaître, d’une conformité volontaire de la part de votre fournisseur d’accès à internet ou d’enregistrements supplémentaires provenant d’une tierce partie, les informations stockées ou extraites à cette seule fin ne peuvent généralement pas être utilisées pour vous identifier.
Marketing
Le stockage ou l’accès technique est nécessaire pour créer des profils d’utilisateurs afin d’envoyer des publicités, ou pour suivre l’utilisateur sur un site web ou sur plusieurs sites web ayant des finalités marketing similaires.
Gérer les options Gérer les services Gérer les fournisseurs En savoir plus sur ces finalités
Voir les préférences
{title} {title} {title}
Ce site web utilise des cookies. En continuant à utiliser ce site web, vous consentez à ce que des cookies soient utilisés. Visitez notre Politique de confidentialité et de cookies.
Êtes-vous sûr de vouloir déverrouiller ce poste ?
Unlock left : 0
Êtes-vous sûr de vouloir annuler l'abonnement ?