• S’abonner à Rebelle(s)
  • L’ours
  • Contact
vendredi 31 mars 2023
  • Connexion
  • S'enregistrer
Rebelle(s) Mag
  • Accueil
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Société(s)
  • Littéraire(s)
  • Spécial Ukraine
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Qui sommes-nous ?
Pas de résultat
Voir tous les résultats
  • Accueil
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Société(s)
  • Littéraire(s)
  • Spécial Ukraine
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Qui sommes-nous ?
Pas de résultat
Voir tous les résultats
Rebelle(s) Mag
Pas de résultat
Voir tous les résultats

Interview : brAque, l’entretien libre

Jonathan Levy Bencheton Par Jonathan Levy Bencheton
23 décembre 2015
dans Art(s), Les grands entretiens rebelle(s)
1
Partager sur FacebookPartager sur Twitter

Portrait de brAque

brAque est un artiste de House Music Parisien, il fait parti du Label D.KO et a sorti son E.P (3 titres + un remix) « Maraude » cette année. Je suis allé à sa rencontre, chez lui, dans son appartement à Arts et Métiers où il vit et compose afin de tenter de mieux comprendre ce qui fait de lui un artiste parfaitement dans son temps.

 

Rebelles : Pourquoi avoir choisi brAque comme nom de scène?

brAque parce que ça évoque plein de trucs. Ca représente un peu la folie. C’est aussi une race qui me tient particulièrement à coeur parce que c’était mon chien, et puis j’ai toujours vu le succès d’un oeil cynique, Or le chien symbolise le cynisme. Du coup le nom était tout trouvé, ça correspondait pas mal à ma vision des choses.

Rebelles : Comment es-tu venu à la musique?

J’ai eu un synthé très petit vers 5 ans et demi où déjà je plaquais des accords pendant des heures dans ma chambre. Par la suite, j’ai eu un vrai synthé plus pro qui était le JX-305 de Roland, puis j’ai commencé à travailler avec un ordinateur. Mais avant tout c’est en écoutant des disques que je suis venu à la musique. De toute façon j’ai toujours été baigné de musique…

Rebelles : Des artistes qui t’ont influencé particulièrement?

Oui. Il y a eu Michael Jackson déja ça c’est sûr. Après dans le rap français des années 95, il y a eu des groupes comme La cliqua, Expression direkt et en house, c’était les Daft Punk avec l’album Homework et Julien Jabre.

Rebelles : Tu fais partie du label D.KO. Peux-tu nous en parler? Comment s’est faite la rencontre?

D.KO est un jeune label Parisien qu’on voit un peu partout. Ils passent de la bonne musique. Ils ont su garder un esprit festif sans se prendre trop au sérieux, ce qui est appréciable. À la base je faisais régulièrement de la musique avec les grands frères de Ralph et Sandro et ils ont entendu ce que je faisais à un moment donné. À priori ça leur a plu. Par la suite je suis allé à une de leurs soirées aux 6B et le courant est bien passé.

Rebelles : Tu as sorti en vinyl ton premier EP “Maraude” que tu as conçu chez toi de A à Z.

Comment ça s’est fait?

Ca a vraiment fait suite à la soirée du 6B, j’ai entendu ce qu’ils passaient et ça m’a rappelé la musique qu’on entendait quand moi je sortais beaucoup, il y a 15 ans. Ca m’a complètement remis dans l’ambiance de l’époque. Ca a été un peu le déclic. J’avais déjà le morceau “Dîners en Ville” qui plaisait au sein de D.KO et cette soirée m’a inspiré pour faire les titres “Maraude” et “777” dans la foulée. À la base il était prévu que je ne sorte que “Dîners en Ville” sur une compilation, mais au final avec les deux autres titres on a sorti directement l’EP (3 titres + un remix).

Rebelles : La musique que tu as entendue à leurs soirées t’a rappelé la musique que tu pouvais entendre il y a 15 ans?

En fait j’ai retrouvé une ambiance que je n’avais pas ressentie depuis pas mal de temps c’est vrai, dans le sens où les gens étaient là pour faire la fête de façon assez sincère sans se préoccuper de savoir vraiment qui mixait. Je dis pas que toutes les soirées à Paris étaient moroses, mais disons que là ça a été particulièrement remarquable.

Rebelles : Tu bosses sur quel type de matériel aujourd’hui?

Je travaille sur Cubase, c’est un logiciel sur lequel j’ai mes repères. Ca fait déjà pas mal de temps que je suis dessus. Je trouve que c’est comme ça qu’on finit par avoir son propre son. Persister dans une façon de travailler, en y ajoutant des choses exterieures, en gardant le même vecteur, expérimenter les choses en profondeur en les fatiguant, en les mettant à l’épreuve. Je ne change pas de matériel tous les quatres matins pour suivre la mode. Je bosse uniquement avec les instruments de base de mon logiciel, c’est un choix.

Rebelles : Quelles ont été tes sources d’inspiration?

Ma musique ressemble plus à un conglomérat. Elle ressemble à la musique que j’écoute et que j’aime. En quelque sorte j’ai voulu la faire coexister en un seul endroit. On peut y retrouver des samples de Jazz, un peu de salsa parfois, de la funk. On peut retrouver des rythmes assez agressifs, techno, parfois house aussi. Je ne me limite pas au niveau de l’exploration des styles, en revanche je garde ma façon de faire que je ne change pas.

Au bout du compte ça fait 15 ans que je fais de la musique de cette manière, donc il n’y a pas de mystère. On est récompensé à la fin parce qu’on a tenu, c’est quelque part de la résistance. Il y a 15 ans, personne ne voulait plus entendre parler de cette musique là. Aujourd’hui tout le monde en veut. Je fais de la house au sens strict du terme, c’est à dire que je produis ma musique chez moi sans être passé par un studio à Los Angeles! Du coup les sons peuvent sonner un peu brut parfois, mais au final si tu te débrouilles pas trop mal et que tu mixes dans des clubs sympas, ça cogne!

Rebelles : C’est vrai qu’il y pas mal d’aspérités quand on écoute ta musique…

Il y a selon moi eu une sorte de rigorisme sur la perfection du son au point qu’on en est tombé un peu dans le ridicule. C’est devenu le dictat de la perfection ce qui a donné de la musique très aseptisée et je pense que du coup les gens se sont un peu fatigués de ça.

Rebelles : Qu’est ce qui, selon toi, a changé dans la musique avec l’omniprésence d’internet?

Il y a quelques années, le chemin pour sortir un disque tenait du chemin de croix. Aujourd’hui le processus de production est plus simple et rapide. Beaucoup de gens montent leur labels et tous se retrouvent sur facebook.

Du coup le phénomène de Parisianisme n’existe plus. Les soirées qui se passent à Paris sont les mêmes qu’à Bordeaux ou à Marseille. On écoute la même musique, on partage les mêmes liens. Tout s’est globalisé, ce qui n’était pas le cas avant.

Avant on était obligé d’écouter ce que les labels dominants nous donnaient. Aujourd’hui on peut écouter directement sur soundcloud les morceaux de n’importe qui.

Rebelles : Du coup, si tout le monde peut le faire est-ce au prix d’une baisse de qualité?

C’est mathématique, plus il y a de choses qui sortent, plus il y a de choses moyennes aussi! C’est le revers de la médaille effectivement mais je préfère ça plutôt que de manger une soupe qu’on m’a préparée et préchauffée.

Rebelles : Tu es atypique dans ta façon d’aborder la promotion de ta musique. Tu restes assez mystérieux et discret. Pourquoi?

Je ne joue pas le mystère, mais aujourd’hui on est tellement dans l’apparence que quelqu’un qui ne joue pas dessus passe forcément pour mystérieux. Quand les gens viennent me parler ils comprennent très rapidement que je ne suis pas quelqu’un qui joue le ténébreux ou le mystérieux. Par contre ma démarche peut leur paraître suspecte car je ne suis pas aussi engagé que certains. Après ça dépend de ta personnalité, on a tous une manière différente d’aborder la promotion. Personnellement, j’aurais le sentiment de jouer un rôle. Je préfère que ça passe par la musique quitte à ce que ça prenne plus de temps plutôt que d’aller chercher les gens sur internet…

Rebelles : Sans faire de généralité on a le sentiment que pas mal de jeunes artistes se font connaître en faisant un remix puis balancent leur propre compo par la suite. Toi tu fais l’inverse. Tu sors un disque puis récemment tu nous offre un remix pour la première fois “Crystal waters -gypsy Woman”. N’y a t-il pas un paradoxe? Qu’est ce qui t’a poussé à le faire?

Effectivement il y toute une mode du remix à tout va. Il y en a qui ne font que ça. Je trouve que c’est rigolo car c’est une façon de s’approprier une chanson quelque part. Je l’ai vu plus comme un exercice de style. J’avais fait mon disque. Du coup je voulais tenter de faire cohabiter ma façon de travailler avec un énorme tube en essayant de ne pas trop l’abîmer. Même si de toute façon je considère que c’est un sacrilège…

Rebelles : Même quand tu le fais?

Bien sûr mais il faut savoir se faire violence!

Rebelles : Dernière question, quels sont les clubs ou tu t’es produit? Des prochaines dates?

En fait toutes les boîtes dans lesquelles j’ai joué ont fermé ! Non je déconne! (ndlr rires ) C’est bon à savoir si vous voulez m’inviter! Plus sérieusement j’ai fait le Malibu, le Monseigneur, la plage du Glazart, le Mellotron et en Janvier je joue au Batofar avec D.KO.

Rebelles : Merci BrAque

De rien!

Interview par Jonathan LB

Article précédent

REBELLE(S) le bimestriel qui bouscule toute pensée immobile

Article suivant

Les rébellions dans Star Wars VII

Jonathan Levy Bencheton

Jonathan Levy Bencheton

Diplômé d’un master 2 de mathématiques de l’Université Paris IX Dauphine, Jonathan travaille dans le secteur de l’immobilier social. Par ailleurs, il mène en parallèle une carrière de musicien qui l’amène à aborder la chanson française ainsi que la musique à l’image, passé notamment par Universal Music Publishing, il aime interviewer les artistes qui le passionnent.

Article suivant
star wars lego cc leg0fenris web

Les rébellions dans Star Wars VII

Commentaires 1

  1. De Boissieu says:
    Il y a 7 ans

    Top! Tres intéressant!

    Répondre

Laisser un commentaire Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

Rares sont ceux qui méritent qu'on les contredisent
Ernst JüngerAphorismes
On ne s'approprie que ce qu'on a d'abord tenu à distance pour le considérer.
Paul Ricoeur
La vie est jeune. En vieillissant, elle se fait durée, elle se fait temps, elle se fait adieu.
Romain Gary
Il est vain de vouloir libérer la vie des mensonges de l'art.
Georges Bataille
Les bêtes sont des personnes muettes
Un buronnier, vacher de l’Aubrac
Les gens exigent qu'on ait un métier. - Comme si vivre n'en était pas un - et encore le plus difficile !
Emil Cioran
Quand un philosophe me répond, je ne comprends plus ma question.
Pierre Desproges
On ne peut expliquer un paradoxe, non plus qu'un éternuement. D'ailleurs le paradoxe n'est-il pas un éternuement de l'esprit ?
Emil Cioran
Ce que je veux dire, c'est qu'elle avait des yeux où il faisait si bon vivre que je n'ai jamais su où aller depuis.
Romain Gary
On ne peut savoir si l'homme se servira longtemps encore de la parole ou s'il recouvrera petit à petit l'usage du hurlement.
Emil Cioran
Je ne crois pas qu’il soit possible, même à ceux qui ont de grandes familles, de réussir s’ils n’unissent pas à leur talent naturel des qualités simples, solides, laborieuses, et surtout une légitime confiance dans le succès : il n’y a rien de tel en ce monde que de vouloir.
Charles Dickens
Accepter le seul risque raisonnable, celui de se dépasser.
Erri de Luca
L’art est une reconfiguration du champs des possibles
Jean-Louis Bischoff
Le destin de celui qui ne songe qu'à se mettre à couvert, c'est d'être survolé
Ernst JüngerAphorismes
L'homme le plus éclairé est le plus ébloui
Victor Hugo
Précédent
Suivant

Abonnez-vous à notre newsletter

Inscrivez-vous à notre newsletter !

Nous ne spammons pas ! Consultez notre politique de confidentialité pour plus d’informations.

Vérifiez votre boite de réception ou votre répertoire d’indésirables pour confirmer votre abonnement.

Rubrique(s)

  • 3 questions à…
  • Art(s)
  • Cinéma(s)
  • Classique(s)
  • Dossier du mois : Infos, complotisme et vérités alternatives
  • Dossier du mois : L'art peut-il influencer le monde ?
  • Dossier du mois : La foire aux cons : toujours d'actualité
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Edito(s)
  • Geekologie(s)
  • Inclassable(s)
  • L'impertinence poétique
  • Le Mag papier
  • Les gonzoïdes de l'Apocalypse
  • Les grands entretiens rebelle(s)
  • Littéraire(s)
  • Mémoires Démasqués
  • Philo-spirit(s)
  • Politique(s)
  • Rock and Folk et Musique(s)
  • Société(s)
  • Spécial Ukraine
  • Théatre – Spectacle(s)
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Voyage(s)
interviews 1 scaled

Articles récents

  • Brian Wilson des Beach Boys, le Mozart du Rock – Première partie 31 mars 2023
  • Poutine est un nouveau Staline, tout simplement 29 mars 2023
  • Fake news : qui détient la vérité ? 27 mars 2023
  • 1984, le Ministère de la vérité 27 mars 2023
  • Fake news: Trois questions à Jean-Luc Martin Lagardette 27 mars 2023
  • Plate, plate, plate la Terre ! 27 mars 2023
  • Vous en voulez vraiment, des nouvelles vraies ? 27 mars 2023
  • Le courage et la peur, en direct 27 mars 2023
  • Qui est Victor Von Doom? 27 mars 2023
  • Comprendre l’infodémie 27 mars 2023
  • La porte du paradis 27 mars 2023
  • Interview exclusive de Salah Al Hamdani – 1/2 24 mars 2023
  • Interview exclusive de Salah Al Hamdani – 2/2 24 mars 2023
  • Que reste-t-il de nos lectures ? 22 mars 2023
  • Ah ça ira, ça ira… ! 18 mars 2023
  • Le professeur inexistant (philosophie) 17 mars 2023
  • Pasolini, un rebelle au-delà de l’écran 16 mars 2023
  • Final de l’âge d’or des Rolling Stones : It’s Only Rock ‘n’ Roll 15 mars 2023
  • Nous revivrons 12 mars 2023
  • FECRIS, Novopashin encore et zombies ukrainiens 12 mars 2023
  • L’âge d’or des Rolling Stones : Goat’s Head Soup 8 mars 2023
  • Une réflexion sur la liberté et la sécurité autour du roman d’Ira Levin, Un Bonheur insoutenable 7 mars 2023
  • Comment se laisse-t-on séduire par le côté obscur ? 6 mars 2023
  • Un homme heureux 5 mars 2023
  • Accords et à cran, Aurélia Lesbros 5 mars 2023
  • Les bobos… anti-bobo ! 1 mars 2023
  • Peut-on concilier, comme Jésus de Nazareth, la liberté et l’autorité ? 28 février 2023
  • L’âge d’or des Rolling Stones : Exile On Main Street 27 février 2023
  • Que deviennent les opposants à la guerre en Russie ? 26 février 2023
  • Droits des femmes : Simone de Beauvoir avait tellement raison ! 22 février 2023
  • Le temps des féminismes 22 février 2023
  • L’Art d’Accommoder la Vieillesse 22 février 2023
  • Irréfutable essai de successologie 22 février 2023
  • L’âge d’or des Rolling Stones : Sticky Fingers 20 février 2023
  • La retraite à 64 ans ?  Qui va trinquer  ? 18 février 2023
  • Leonid Sevastianov : un Russe pour la paix 18 février 2023
  • Cruel Oncle Vania ! 12 février 2023
  • L’âge d’or des Rolling Stones : Get Yer Ya-Ya’s Out! 11 février 2023
  • Réforme des retraites : faux problème 11 février 2023
  • L’âge d’or des Rolling Stones : Let It Bleed 5 février 2023
  • Pourquoi tant de haine ? 3 février 2023
  • Scientifiques émotifs 29 janvier 2023
  • La camisole chimique menace les Français 29 janvier 2023
  • Affaire Dupont de Ligonnès : la secte qui n’en était pas une 25 janvier 2023
  • Cavalcade amoureuse au Théâtre de la Ville 22 janvier 2023
  • Génocide des Ouïghours : les musulmans ont aussi leurs collabos 20 janvier 2023
  • Perdu en mère 16 janvier 2023
  • Zhanargul Zhumatai : Un entretien dramatique avec une survivante d’un camp d’ethnie kazakhe qui pourrait bientôt “disparaître”. 13 janvier 2023
  • L’âge d’or des Rolling Stones : Beggar’s Banquet 13 janvier 2023
  • Des médiums et des cathos contre Poutine 13 janvier 2023
  • Ombres et lumières 8 janvier 2023
  • Fin du Cycle Disco : 1980 et au-delà… 8 janvier 2023
  • Des Saints, Sinon Rien – Censure d’aujourd’hui 7 janvier 2023
  • La poétique désabusée de « La Maman et la Putain » 6 janvier 2023
  • Réhabiliter Louis Aragon, rue de Bourgogne… 5 janvier 2023
  • Russie : nazis cannibales, Novopashin récidive ! 4 janvier 2023
  • La Douma, les nouvelles lois et le droit de buter de l’Ukrainien 3 janvier 2023
  • Cycle Disco : 1979, deuxième partie 2 janvier 2023
  • J’ai découvert Raël grâce au Figaro ! Une enquête de dingue ! (Ironie) 1 janvier 2023
  • Écouter, sentir… 31 décembre 2022
  • Poutine communiste ou tsariste ? D’Alexandre III à Joseph Staline 26 décembre 2022
  • Cycle Disco : 1979, première partie 26 décembre 2022
  • Chroniques familiales – extraits 25 décembre 2022
  • Coups de coeur au bout du monde – Chili 25 décembre 2022
  • SANS NOTES ! 25 décembre 2022
  • L’Église orthodoxe russe veut une loi contre les idéologies destructrices 18 décembre 2022
  • Que va faire le nouveau ministre de l’Éducation nationale ? 15 décembre 2022
  • Délestages extrêmes 15 décembre 2022
  • Laïcité et république 15 décembre 2022
  • Cycle Disco : 1978 (3ème partie) 12 décembre 2022
  • Un manteau russe ou ukrainien ? 11 décembre 2022
  • Arrêtez de me Weinstiner ! 8 décembre 2022
  • Quartier rouge 8 décembre 2022
  • Prendre la route 8 décembre 2022
  • La Dernière Page 8 décembre 2022
  • La France a du mal avec ses rebelles – 2/2 8 décembre 2022
  • La France a du mal avec ses rebelles – 1/2 8 décembre 2022
  • Fin du cycle Glam Rock : et pour quelques paillettes de plus 3 décembre 2022
  • En Russie, il est de plus en plus dangereux de créer une ONG 1 décembre 2022
  • Faut-il réhabiliter l’anarchie ? 1 décembre 2022
  • Sécurité partout, éducation nulle part 1 décembre 2022
  • Elephant 29 novembre 2022
  • Alain Jouffroy ou le dernier des surréalistes rebelles 29 novembre 2022
  • « Lettres à sa fille » – Calamity Jane 27 novembre 2022
  • En dépit de sa mère ! 27 novembre 2022
  • Le Père Boulier, un prêtre rouge combattant l’antisémitisme 26 novembre 2022
  • Cycle Glam Rock : pour une poignée de paillettes… 26 novembre 2022
  • Koltès à la Bastille 17 novembre 2022
  • L’Ukraine harasse Poutine 13 novembre 2022
  • Enfermé dehors 11 novembre 2022
  • Imagination active et transe chamanique – 3/3 10 novembre 2022
  • Imagination active et transe chamanique – 2/3 10 novembre 2022
  • Imagination active et transe chamanique – 1/3 10 novembre 2022
  • La musique, instrument de réconciliation des peuples 10 novembre 2022
  • Cycle Glam Rock : Roxy Music 7 novembre 2022
  • Nos années 80… Souvenirs, mon amour 5 novembre 2022
  • La loi des séries 5 novembre 2022
  • Les choses, une histoire de la nature morte 5 novembre 2022
  • C’était mieux avant ! 5 novembre 2022
  • Sur la trace des cyclos 4 novembre 2022
  • Un Christ à prix d’or ! 4 novembre 2022
  • Mentions légales site
  • S’abonner à Rebelle(s)
  • L’ours
  • Politique de cookies

© 2023

Pas de résultat
Voir tous les résultats
  • Accueil
  • Qui sommes-nous ?
  • Le Mag Papier
  • Geekologie(s)
  • Littéraire(s)
  • Société(s)
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Art(s)
  • Cinéma(s)
  • Rock and Folk et Musique(s)
  • Théatre – Spectacle(s)
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Edito(s)
  • Inclassable(s)
  • L’impertinence poétique
  • Littéraire(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Voyage(s)
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Contact

© 2023

Bienvenue !

OU

Login to your account below

Mot de passe oublié ? S'inscrire

Create New Account!

OU

Fill the forms bellow to register

*By registering into our website, you agree to the Terms & Conditions and Privacy Policy.
Tous les champs sont obligatoires. Se connecter

Récupérez votre mot de passe

Veuillez saisir votre nom d'utilisateur ou votre email pour réinitialiser votre mot de passe.

Se connecter
Social Media Auto Publish Powered By : XYZScripts.com
RBLs
Gérer le consentement aux cookies
Nous utilisons des cookies pour optimiser notre site web et notre service.
Les cookies fonctionnels Toujours activé
Le stockage ou l’accès technique est strictement nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de permettre l’utilisation d’un service spécifique explicitement demandé par l’abonné ou l’utilisateur, ou dans le seul but d’effectuer la transmission d’une communication sur un réseau de communications électroniques.
Préférences
Le stockage ou l’accès technique est nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de stocker des préférences qui ne sont pas demandées par l’abonné ou l’utilisateur.
Statistiques
Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement à des fins statistiques. Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement dans des finalités statistiques anonymes. En l’absence d’une assignation à comparaître, d’une conformité volontaire de la part de votre fournisseur d’accès à internet ou d’enregistrements supplémentaires provenant d’une tierce partie, les informations stockées ou extraites à cette seule fin ne peuvent généralement pas être utilisées pour vous identifier.
Marketing
Le stockage ou l’accès technique est nécessaire pour créer des profils d’utilisateurs afin d’envoyer des publicités, ou pour suivre l’utilisateur sur un site web ou sur plusieurs sites web ayant des finalités marketing similaires.
Gérer les options Gérer les services Gérer les fournisseurs En savoir plus sur ces finalités
Voir les préférences
{title} {title} {title}
Ce site web utilise des cookies. En continuant à utiliser ce site web, vous consentez à ce que des cookies soient utilisés. Visitez notre Politique de confidentialité et de cookies.
Êtes-vous sûr de vouloir déverrouiller ce poste ?
Unlock left : 0
Êtes-vous sûr de vouloir annuler l'abonnement ?