• S’abonner à Rebelle(s)
  • L’ours
  • Contact
dimanche 28 mai 2023
  • Connexion
  • S'enregistrer
Rebelle(s) Mag
  • Accueil
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Société(s)
  • Littéraire(s)
  • Spécial Ukraine
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Qui sommes-nous ?
Pas de résultat
Voir tous les résultats
  • Accueil
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Société(s)
  • Littéraire(s)
  • Spécial Ukraine
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Qui sommes-nous ?
Pas de résultat
Voir tous les résultats
Rebelle(s) Mag
Pas de résultat
Voir tous les résultats

Que reste-t-il de nos lectures ?

Chapitre 3

contributeurs ponctuels Par contributeurs ponctuels
13 mai 2023
dans Littéraire(s)
0
Partager sur FacebookPartager sur Twitter
photo Eric Desordre
Avoir l’air faux-jeton à ce point-là… – photo Eric Desordre

Dans ma dernière promenade à travers ma mémoire de lecteur, j’avais évoqué Perceval le Gallois, ce héros qui dans ses années d’apprentissage encore mal assurées, n’avait pas su trouver les mots qui auraient apporté le bien autour de lui. Puis j’ai nommé un autre personnage, emblématique lui aussi de ce drame quotidien que peuvent représenter la parole et le silence : le soutier amer et volubile du roman Amerika de Kafka. Lui veut s’exprimer à tout prix, exposer ses doléances, les brimades dont il est victime.

Le héros du roman, Karl Rossmann, est un jeune homme de dix-sept ans que ses parents expédient en Amérique parce qu’il a été séduit par une bonne qui a eu un enfant de lui. Voici encore un garçon très naïf qui, arrivé au port de New-York, s’aperçoit qu’il a oublié son parapluie sur le bateau et retourne à bord, confiant sa valise à une vague connaissance. Ouvrant la première porte, il se retrouve par hasard dans la cabine d’un soutier qui l’invite à s’étendre sur sa couchette et lui confie tous ses tourments et son ressentiment. Il se dit persécuté par le chef-mécanicien Schubal qui le traite de fainéant et de parasite.

Pris facilement d’empathie, Karl, indigné, encourage le soutier à se défendre, et les voilà tous deux dans la cabine du commandant, entourés d’officiers en uniformes sombres intimidants avec leurs médailles. On veut les mettre dehors, mais Karl se met à plaider avec fougue la cause du mécanicien, dont le mérite est mésestimé selon lui par les calomnies de son supérieur. Un caissier brosse un tout autre portrait du soutier : c’est un chicaneur qui passe son temps à ennuyer les autres avec ses éternelles récriminations.

Alors le chauffeur lui-même prend la parole et expose ses griefs. Mais il est bientôt couvert de sueur, il se met à trembler d’émotion, et son discours n’est qu’un « tourbillon confus de toutes ces plaintes mêlées ». Karl est catastrophé de le voir si peu affermi, hors d’état de lutter, planté là, les jambes écartées, la bouche ouverte, cherchant sa respiration…

Effet de ses gesticulations, la ceinture est sortie de son pantalon, et avec elle « un pan de chemise bariolée ». Mais le soutier ne s’en soucie guère, il n’espère plus aucun jugement en sa faveur : que tous voient les nippes qu’il porte sur le dos et qu’on l’emmène !

Ici s’arrête cette autre forme de procès kafkaïen. Karl sait qu’il ne peut plus rien pour son ami d’un jour, rien contre ce bourrelet de chemise rédhibitoire, et le soutier en a conscience aussi.

Cette scène n’est pas sans rappeler nos vieux souvenirs scolaires, cette autre parodie de justice mise en scène avec une ironie féroce par La Fontaine dans la fable « Les Animaux malades de la peste ». Les puissants cherchent un bouc émissaire à sacrifier pour se délivrer du fléau céleste de la peste. Chacun est convié à confesser ses péchés. Tous les Grands (Lion, Renard, Tigre, Ours) sont absous de leurs fautes sanglantes. Mais quand paraît l’Âne, « ce pelé, ce galeux », image du peuple misérable, il s’accuse humblement de tous les maux et, désigné aussitôt comme le coupable idéal, il est condamné sans appel. Ainsi la Justice prétendument aveugle soulève parfois son bandeau pour jauger du coin de l’œil l’allure de l’accusé.

Dans le monde de Kafka où les événements se déroulent toujours avec la logique incohérente et la fantasmagorie des cauchemars, la scène du soutier associe de façon accablante le désordre de l’argumentation, l’agitation du corps et la négligence vestimentaire. Le lecteur conserve pour toujours l’image de cet homme brimé qui réclame justice, trahi par une chemise qui dépasse de sa ceinture.

Ce bout de chemise, c’est le piège cruel et injuste des apparences, la posture calamiteuse, l’image ridicule et dégradante que nous donnons de nous un jour, un instant. Celle de cet amoureux d’une nouvelle de jeunesse de Tchekhov qui, lancé dans une tendre déclaration d’amour, voit son talent lyrique gâché par un terrible et irrépressible hoquet, accident organique qui lui fera perdre à jamais le cœur de sa belle et l’estime du général, son père. C’est le brillant professeur de philosophie qui expose, la braguette ouverte sur un caleçon fleuri, le cours sur Kant qui lui a coûté une nuit blanche. C’est une fiente de pigeon sur l’épaule d’un chef d’Etat, le nez de Cyrano jetant son ombre sur sa verve lyrique, la matière discréditant l’esprit. C’est ce prêtre dont parle Pascal dans ses Pensées qui monte en chaire pour prononcer son sermon mais a une drôle de figure, un visage mal rasé, barbouillé de traces douteuses, et une voix enrouée par surcroît ! « Quelques grandes vérités qu’il annonce », dit Pascal, on peut parier que même le plus grave et dévot des sénateurs ne gardera pas son sérieux en le voyant.

Le pan de chemise bariolée de Kafka vient nous rappeler que nous sommes tous à première vue des objets, des images, et que la vérité de notre être ne se manifeste pas a priori avec une juste clarté.

Céline a traité cette idée avec une tendresse, un lyrisme même qui suspendent un instant son nihilisme burlesque, dans l’épisode africain du Voyage au bout de la nuit. Nous sommes en pleine brousse, dans la faune abjecte des militaires, fonctionnaires et commerçants coloniaux dévorés par l’ennui et la dysenterie. Parmi eux, le sergent Alcide, expert en petits trafics lucratifs. Mais en vérité Alcide s’est résigné à demeurer six ans dans ce trou perdu et malsain pour financer l’éducation de sa nièce orpheline et infirme chez les bonnes sœurs à Bordeaux. Bardamu, le héros du Voyage, le regarde dormir, après qu’il a révélé son secret :

« Il s’endormit tout à coup, à la lueur de la bougie. Je finis par me relever pour bien regarder ses traits à la lumière. Il dormait comme tout le monde. Il avait l’air bien ordinaire. Ça serait pourtant pas si bête s’il y avait quelque chose pour distinguer les bons des méchants. »

Vertige baroque d’un monde où les signes nous abusent, où Othello prend le traître Iago pour l’ami honnête, sa femme Desdémone, aimante et fidèle, pour une catin.

Dans les bandes dessinées au petit format de mon enfance, le monde que l’on offrait aux jeunes lecteurs était plus rassurant : dans Blek, l’espion anglais dissimulé parmi les trappeurs, patriotes luttant pour l’indépendance de l’Amérique, était toujours facilement identifiable, avec sa figure mal rasée, son menton en galoche, son air hypocrite. Les méchants avaient clairement une sale tête. On pourrait, comme Henri Jeanson le fait dire à Gabin dans une réplique fameuse de Pépé le Moko, prendre cela pour de l’honnêteté :

« Avoir l’air faux-jeton à ce point-là, j’te jure que c’est vraiment de la franchise »

Mais dans l’univers incertain et inquiétant de Kafka, semé d’embûches et de dangers sournois, on ne saura jamais si le soutier tout penaud dans son allure débraillée se plaint avec raison, si c’est un opprimé ou un imposteur.

Dans une suite à venir, les lecteurs qui aiment ce vagabondage entre les livres, et parmi les pensées qui nous viennent des livres, entendront parler d’un prince russe, à qui l’on a recommandé comme à Perceval de ne pas parler ; mais il lance tout à coup ses idées et ses bras qui brisent un précieux vase de Chine  – et de cet autre jeune homme qui tombe amoureux du dos d’une inconnue et plonge dans ce dos pour l’embrasser…

Daniel AQUILI

Tags : AmérikaCélineDaniel AquiliKafkaLa Fontainelittérature allemandePépé le MokoVoyage au bout de la nuit
Article précédent

Nietzsche versus Dark Vador

Article suivant

Le Christ s’est arrêté à Eboli

contributeurs ponctuels

contributeurs ponctuels

Divers auteurs qui ponctuellement vont écrire un article pour Rebelle(s), sans pour autant être des contributeurs réguliers.

Article suivant
Le Christ sest arrete a Eboli Francesco Rosi 1979

Le Christ s'est arrêté à Eboli

Laisser un commentaire Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

Rares sont ceux qui méritent qu'on les contredisent
Ernst JüngerAphorismes
On ne s'approprie que ce qu'on a d'abord tenu à distance pour le considérer.
Paul Ricoeur
La vie est jeune. En vieillissant, elle se fait durée, elle se fait temps, elle se fait adieu.
Romain Gary
Il est vain de vouloir libérer la vie des mensonges de l'art.
Georges Bataille
Les bêtes sont des personnes muettes
Un buronnier, vacher de l’Aubrac
Les gens exigent qu'on ait un métier. - Comme si vivre n'en était pas un - et encore le plus difficile !
Emil Cioran
Quand un philosophe me répond, je ne comprends plus ma question.
Pierre Desproges
On ne peut expliquer un paradoxe, non plus qu'un éternuement. D'ailleurs le paradoxe n'est-il pas un éternuement de l'esprit ?
Emil Cioran
Ce que je veux dire, c'est qu'elle avait des yeux où il faisait si bon vivre que je n'ai jamais su où aller depuis.
Romain Gary
On ne peut savoir si l'homme se servira longtemps encore de la parole ou s'il recouvrera petit à petit l'usage du hurlement.
Emil Cioran
Je ne crois pas qu’il soit possible, même à ceux qui ont de grandes familles, de réussir s’ils n’unissent pas à leur talent naturel des qualités simples, solides, laborieuses, et surtout une légitime confiance dans le succès : il n’y a rien de tel en ce monde que de vouloir.
Charles Dickens
Accepter le seul risque raisonnable, celui de se dépasser.
Erri de Luca
L’art est une reconfiguration du champs des possibles
Jean-Louis Bischoff
Le destin de celui qui ne songe qu'à se mettre à couvert, c'est d'être survolé
Ernst JüngerAphorismes
L'homme le plus éclairé est le plus ébloui
Victor Hugo
Précédent
Suivant

Abonnez-vous à notre newsletter

Inscrivez-vous à notre newsletter !

Nous ne spammons pas ! Consultez notre politique de confidentialité pour plus d’informations.

Vérifiez votre boite de réception ou votre répertoire d’indésirables pour confirmer votre abonnement.

Rubrique(s)

  • 3 questions à…
  • Art(s)
  • Cinéma(s)
  • Classique(s)
  • Dossier du mois : Infos, complotisme et vérités alternatives
  • Dossier du mois : L'art peut-il influencer le monde ?
  • Dossier du mois : La foire aux cons : toujours d'actualité
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Edito(s)
  • Geekologie(s)
  • Inclassable(s)
  • L'impertinence poétique
  • Le Mag papier
  • Les gonzoïdes de l'Apocalypse
  • Les grands entretiens rebelle(s)
  • Littéraire(s)
  • Mémoires Démasqués
  • Philo-spirit(s)
  • Politique(s)
  • Rock and Folk et Musique(s)
  • Société(s)
  • Spécial Ukraine
  • Théatre – Spectacle(s)
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Voyage(s)
interviews 1 scaled

Articles récents

  • Ce que “rebelle” inspire à ChatGPT 28 mai 2023
  • Histoire d’un ogre 28 mai 2023
  • De la fée électricité à la “watture” 28 mai 2023
  • Cycle Led Zeppelin : I 21 mai 2023
  • Peut-on opposer réalité et métaphysique ? 20 mai 2023
  • L’heure de la rébellion contre le management a-t-elle sonné ? 20 mai 2023
  • « EL » ou l’anarchisme couronné 20 mai 2023
  • My heart belongs to Daddy 18 mai 2023
  • Ecoles Steiner, le CDJM estime que France 2 a violé ses obligations déontologiques 14 mai 2023
  • Le Christ s’est arrêté à Eboli 13 mai 2023
  • Que reste-t-il de nos lectures ? 13 mai 2023
  • Nietzsche versus Dark Vador 13 mai 2023
  • Brian Wilson des Beach Boys, le Mozart du Rock – Troisième partie et fin 9 mai 2023
  • Pantin 6 mai 2023
  • Kurt Gödel 6 mai 2023
  • Le retour de Dionysos : un refoulé douloureux 6 mai 2023
  • Que reste-t-il de nos lectures ? 6 mai 2023
  • Mémoires Démasqués : chapitre 9 27 avril 2023
  • Toi du monde – 1/2 27 avril 2023
  • Toi du monde – 2/2 27 avril 2023
  • Days of Heaven 27 avril 2023
  • Immersion dans le domaine de la lutte : L’établi 23 avril 2023
  • L’histoire du corps en sciences humaines 23 avril 2023
  • Brian Wilson des Beach Boys, le Mozart du Rock – Deuxième partie 23 avril 2023
  • Taïwan, le non-pays le plus démocratique des pays d’Asie 20 avril 2023
  • Némésis ou la tragédie de la responsabilité 16 avril 2023
  • Boire l’encre 16 avril 2023
  • Aux gnons, citoyens ! 16 avril 2023
  • La solitude 16 avril 2023
  • Louis Nucéra 2 avril 2023
  • Brian Wilson des Beach Boys, le Mozart du Rock – Première partie 31 mars 2023
  • Poutine est un nouveau Staline, tout simplement 29 mars 2023
  • Fake news : qui détient la vérité ? 27 mars 2023
  • 1984, le Ministère de la vérité 27 mars 2023
  • Fake news: Trois questions à Jean-Luc Martin Lagardette 27 mars 2023
  • Plate, plate, plate la Terre ! 27 mars 2023
  • Vous en voulez vraiment, des nouvelles vraies ? 27 mars 2023
  • Le courage et la peur, en direct 27 mars 2023
  • Qui est Victor Von Doom? 27 mars 2023
  • Comprendre l’infodémie 27 mars 2023
  • La porte du paradis 27 mars 2023
  • Interview exclusive de Salah Al Hamdani – 1/2 24 mars 2023
  • Interview exclusive de Salah Al Hamdani – 2/2 24 mars 2023
  • Que reste-t-il de nos lectures ? 22 mars 2023
  • Ah ça ira, ça ira… ! 18 mars 2023
  • Le professeur inexistant (philosophie) 17 mars 2023
  • Pasolini, un rebelle au-delà de l’écran 16 mars 2023
  • Final de l’âge d’or des Rolling Stones : It’s Only Rock ‘n’ Roll 15 mars 2023
  • Nous revivrons 12 mars 2023
  • FECRIS, Novopashin encore et zombies ukrainiens 12 mars 2023
  • L’âge d’or des Rolling Stones : Goat’s Head Soup 8 mars 2023
  • Une réflexion sur la liberté et la sécurité autour du roman d’Ira Levin, Un Bonheur insoutenable 7 mars 2023
  • Comment se laisse-t-on séduire par le côté obscur ? 6 mars 2023
  • Un homme heureux 5 mars 2023
  • Accords et à cran, Aurélia Lesbros 5 mars 2023
  • Les bobos… anti-bobo ! 1 mars 2023
  • Peut-on concilier, comme Jésus de Nazareth, la liberté et l’autorité ? 28 février 2023
  • L’âge d’or des Rolling Stones : Exile On Main Street 27 février 2023
  • Que deviennent les opposants à la guerre en Russie ? 26 février 2023
  • Droits des femmes : Simone de Beauvoir avait tellement raison ! 22 février 2023
  • Le temps des féminismes 22 février 2023
  • L’Art d’Accommoder la Vieillesse 22 février 2023
  • Irréfutable essai de successologie 22 février 2023
  • L’âge d’or des Rolling Stones : Sticky Fingers 20 février 2023
  • La retraite à 64 ans ?  Qui va trinquer  ? 18 février 2023
  • Leonid Sevastianov : un Russe pour la paix 18 février 2023
  • Cruel Oncle Vania ! 12 février 2023
  • L’âge d’or des Rolling Stones : Get Yer Ya-Ya’s Out! 11 février 2023
  • Réforme des retraites : faux problème 11 février 2023
  • L’âge d’or des Rolling Stones : Let It Bleed 5 février 2023
  • Pourquoi tant de haine ? 3 février 2023
  • Scientifiques émotifs 29 janvier 2023
  • La camisole chimique menace les Français 29 janvier 2023
  • Affaire Dupont de Ligonnès : la secte qui n’en était pas une 25 janvier 2023
  • Cavalcade amoureuse au Théâtre de la Ville 22 janvier 2023
  • Génocide des Ouïghours : les musulmans ont aussi leurs collabos 20 janvier 2023
  • Perdu en mère 16 janvier 2023
  • Zhanargul Zhumatai : Un entretien dramatique avec une survivante d’un camp d’ethnie kazakhe qui pourrait bientôt “disparaître”. 13 janvier 2023
  • L’âge d’or des Rolling Stones : Beggar’s Banquet 13 janvier 2023
  • Des médiums et des cathos contre Poutine 13 janvier 2023
  • Ombres et lumières 8 janvier 2023
  • Fin du Cycle Disco : 1980 et au-delà… 8 janvier 2023
  • Des Saints, Sinon Rien – Censure d’aujourd’hui 7 janvier 2023
  • La poétique désabusée de « La Maman et la Putain » 6 janvier 2023
  • Réhabiliter Louis Aragon, rue de Bourgogne… 5 janvier 2023
  • Russie : nazis cannibales, Novopashin récidive ! 4 janvier 2023
  • La Douma, les nouvelles lois et le droit de buter de l’Ukrainien 3 janvier 2023
  • Cycle Disco : 1979, deuxième partie 2 janvier 2023
  • J’ai découvert Raël grâce au Figaro ! Une enquête de dingue ! (Ironie) 1 janvier 2023
  • Écouter, sentir… 31 décembre 2022
  • Poutine communiste ou tsariste ? D’Alexandre III à Joseph Staline 26 décembre 2022
  • Cycle Disco : 1979, première partie 26 décembre 2022
  • Chroniques familiales – extraits 25 décembre 2022
  • Coups de coeur au bout du monde – Chili 25 décembre 2022
  • SANS NOTES ! 25 décembre 2022
  • L’Église orthodoxe russe veut une loi contre les idéologies destructrices 18 décembre 2022
  • Que va faire le nouveau ministre de l’Éducation nationale ? 15 décembre 2022
  • Délestages extrêmes 15 décembre 2022
  • Laïcité et république 15 décembre 2022
  • Cycle Disco : 1978 (3ème partie) 12 décembre 2022
  • Un manteau russe ou ukrainien ? 11 décembre 2022
  • Mentions légales site
  • S’abonner à Rebelle(s)
  • L’ours
  • Politique de cookies

© 2023

Pas de résultat
Voir tous les résultats
  • Accueil
  • Qui sommes-nous ?
  • Le Mag Papier
  • Geekologie(s)
  • Littéraire(s)
  • Société(s)
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Art(s)
  • Cinéma(s)
  • Rock and Folk et Musique(s)
  • Théatre – Spectacle(s)
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Edito(s)
  • Inclassable(s)
  • L’impertinence poétique
  • Littéraire(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Voyage(s)
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Contact

© 2023

Bienvenue !

OU

Login to your account below

Mot de passe oublié ? S'inscrire

Create New Account!

OU

Fill the forms bellow to register

*By registering into our website, you agree to the Terms & Conditions and Privacy Policy.
Tous les champs sont obligatoires. Se connecter

Récupérez votre mot de passe

Veuillez saisir votre nom d'utilisateur ou votre email pour réinitialiser votre mot de passe.

Se connecter
Social Media Auto Publish Powered By : XYZScripts.com
RBLs
Gérer le consentement aux cookies
Nous utilisons des cookies pour optimiser notre site web et notre service.
Les cookies fonctionnels Toujours activé
Le stockage ou l’accès technique est strictement nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de permettre l’utilisation d’un service spécifique explicitement demandé par l’abonné ou l’utilisateur, ou dans le seul but d’effectuer la transmission d’une communication sur un réseau de communications électroniques.
Préférences
Le stockage ou l’accès technique est nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de stocker des préférences qui ne sont pas demandées par l’abonné ou l’utilisateur.
Statistiques
Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement à des fins statistiques. Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement dans des finalités statistiques anonymes. En l’absence d’une assignation à comparaître, d’une conformité volontaire de la part de votre fournisseur d’accès à internet ou d’enregistrements supplémentaires provenant d’une tierce partie, les informations stockées ou extraites à cette seule fin ne peuvent généralement pas être utilisées pour vous identifier.
Marketing
Le stockage ou l’accès technique est nécessaire pour créer des profils d’utilisateurs afin d’envoyer des publicités, ou pour suivre l’utilisateur sur un site web ou sur plusieurs sites web ayant des finalités marketing similaires.
Gérer les options Gérer les services Gérer les fournisseurs En savoir plus sur ces finalités
Voir les préférences
{title} {title} {title}
Ce site web utilise des cookies. En continuant à utiliser ce site web, vous consentez à ce que des cookies soient utilisés. Visitez notre Politique de confidentialité et de cookies.
Êtes-vous sûr de vouloir déverrouiller ce poste ?
Unlock left : 0
Êtes-vous sûr de vouloir annuler l'abonnement ?