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Poèmes du grand poète Ukrainien Taras CHEVTCHENKO

(XIX ème siècle)

Martine Konorski Par Martine Konorski
20 mars 2022
dans Spécial Ukraine, L'impertinence poétique
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Taras Chevtchenko sur fond de drapeau ukrainienTaras Hryhorovytch Chevtchenko (Тарас Григорьевич Шевченко) (1814 -1861) est un poète, peintre, ethnographe et humaniste ukrainien.

Né dans une famille de paysans serfs, il est orphelin à l’âge de douze ans. En 1829, il devient serviteur chez un seigneur qui l’envoie à l’Université de Vilnius suivre les cours du peintre Jan Rustem. En 1831, il poursuit son apprentissage durant 4 ans en compagnie du peintre Shiriaev à Saint-Pétersbourg.

En 1838, Taras Chevtchenko s’inscrit à l’Académie impériale des beaux-arts de Saint-Pétersbourg et y fait ses études sous la direction de Karl Briullov. En 1840 “Kobzar” (Le Barde), son premier recueil composé de huit poèmes romantiques, est publié à Saint-Pétersbourg. Pour illustrer son poème “Kateryna” écrit en 1838-1839, Chevtchenko peint, en été 1842, le tableau éponyme qui reste de nos jours une des images emblématiques de la peinture ukrainienne. Auteur de poèmes considérés comme politiquement subversifs il sera exilé en 1850. Ce qui ne l’empêchera pas de créer des aquarelles et dessins et d’écrire de nombreuses nouvelles en russe. Il sera libéré de cet exil militaire en 1857 et surveillé par la police jusqu’à sa mort.

Il est considéré comme le plus grand poète romantique de langue ukrainienne. Figure emblématique dans l’histoire de l’Ukraine. Sa vie et son œuvre font de lui une véritable icône de la culture de l’Ukraine et de la diaspora ukrainienne au cours des XIXe et XXe siècles.

 (Source : Babelio)

Il est la personnalité qui compte le plus de statues à son effigie dans le monde, juste derrière Jésus-Christ. Il est pourtant tout à fait inconnu du grand public en dehors de l’Ukraine et de sa diaspora. Taras Chevtchenko est le peintre et poète qui a prophétisé la liberté de l’Ukraine contre l’empire russe au XIXe siècle.
(Source : France culture (https://www.franceculture.fr)

Testament
Quand je serai mort, mettez-moi

Dans le tertre qui sert de tombe

Au milieu de la plaine immense,

Dans mon Ukraine bien-aimée,

Pour que je voie les champs sans fin,

Le Dniepr et ses rives abruptes,

Et que je l’entende mugir.

Lorsque le Dniepr emportera

Vers la mer bleue, loin de l’Ukraine,

Le sang de l’ennemi, alors

J’abandonnerai les collines

Et j’abandonnerai les champs,

Jusqu’au ciel je m’envolerai

Pour prier Dieu. Mais si longtemps

Que cela n’aura pas eu lieu

Je ne veux pas connaître Dieu.

Vous, enterrez-moi, levez-vous,

Brisez enfin, brisez vos chaînes,

La liberté, arrosez-la

Avec le sang de l’ennemi.

Plus tard dans la grande famille,

La famille libre et nouvelle,

N’oubliez pas de m’évoquer

Avec des mots doux et paisibles.

(Pereiaslov, le 25 décembre 1845)

 ______________________________

Je ne vais pas mal, Dieu merci

Je ne vais pas mal, Dieu merci,

Mes yeux y voient encore un peu,

Le cœur attend. Il me fait mal,

Le cœur pleure et ne s’endort pas,

Ainsi qu’un enfant mal nourri.

Tu attends, sans doute, mon cœur,

Des temps durs ; n’attends rien de bon.

Pas la liberté désirée.

Elle dort. Le tsar Nicolas

L’a mise en sommeil et, crois-moi,

Cette chétive liberté

Pour la réveiller tout d’abord,

Il faut nous mettre tous ensemble

À tremper la tête de hache,

À tous aiguiser son tranchant,

Ensuite seulement nous mettre

À la réveiller. Autrement,

La pauvre, elle devra dormir

Et jusqu’au Jugement dernier.

Tous ce que pourront les seigneurs

Ils le feront pour la bercer.

Ils en élèveront des temples !

En élèveront des palais !

Ils aimeront leur tsar ivrogne

Et le glorifieront ainsi

Que son régime byzantin –

C’est cela qui nous attendrait.

(Saint-Pétersbourg, 1858)

_______________________________

Oh ! Vous les hommes

Oh ! vous les hommes, vous les pauvres hommes,

Qu’avez-vous donc à faire avec des tsars ?

Qu’avez-vous donc à faire avec des piqueurs ?

Vous êtes des hommes et pas des chiens !

C’est la nuit, le verglas, il bruine,

Il neige, il fait froid. La Néva

Passe en silence sous le pont,

Porte un fin glaçon quelque part.

Moi dans la nuit, je vais aussi,

Je marche et je tousse en marchant.

Et je vois : comme des agneaux

Vont des fillettes négligées ;

Derrière elles, courbé, boitant,

Marche un vieillard et l’on dirait

Qu’il conduit à la bergerie

Un bétail qui n’est pas à lui.

Où se trouve ce monde-ci ?

Existe-t-il une justice ?

On pousse, nues et affamées,

Ces bâtardes vers la Tsarine

Lui rendre les derniers devoirs,

On les pousse comme un troupeau.

Y aura-t-il un jugement ?

Y aura-t-il un châtiment ?

Pour les tsars, pour les fils des tsars ?

Un jugement sur cette terre ?

La vérité régnera-t-elle

En ce monde, parmi les hommes ?

Il faut que cela soit, sinon

Le soleil arrêtant sa course

Brûlera la terre souillée

 (Saint-Pétersbourg, 3 novembre 1860)

_____________________________________

Ça m’est bien égal

Que je vive en Ukraine ou non,

Après tout, ça m’est bien égal.

Que l’on se souvienne de moi,

Que l’on oublie mon existence,

Moi dans la neige à l’étranger,

Après tout, ça m’est bien égal.

J’ai grandi dans la servitude

Et c’était chez des étrangers,

En esclave je mourrai

Sans voir les larmes de mes proches.

Dans ma vie ne restera pas

La moindre trace, pas de signe

Dans notre valeureuse Ukraine

Dont la terre n’est pas à nous.

Père et fils m’auront oublié ;

Le père ne lui dira pas :

« Prie, mon fils, prie Dieu pour l’Ukraine. »

On l’avait tourmenté jadis,

Martyrisé jusqu’à la mort.

Ça m’est bien égal si son fils

Fait ou ne fait pas ses prières.

Mais cela ne m’est pas égal

Que par des hommes faux, méchants,

Notre Ukraine soit endormie

Et qu’après l’avoir dépouillée

Ils la réveillent par le feu.

Non ! Cela ne m’est pas égal.

(Saint-Pétersbourg, en prison, 1847)

Ces poèmes de Taras Chevtchenko sont issus de son recueil “Kobzar“. Ils ont été écrits en Ukrainien et traduits en 1964 par Eugène Guillevic, à partir d’une transcription du Russe.

Taras Chevtchenko, figure adulée de la nation ukrainienne

Tags : poèmespoésieTaras Chevtchenkoukraine
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Martine-Gabrielle KONORSKI est de nationalité française et suisse. Elle est auteure de poésie et musicienne. Ses derniers livres : Adesso (Black Herald Press), Instant de Terres (L’Atelier Du Grand Tétras), Et si c’était là-bas (livre d’artiste Les Cahiers du Museur-Coll. A côté), Bandes d’Artistes (livre d’artiste-Lieux Dits), Bethani suivi de Le bouillon de la langue (Le Nouvel Athanor), Une lumière s’accorde (Le Nouvel Athanor), Je te vois pâle … au loin (Le Nouvel Athanor- Prix Poésie Cap 2020), Sutures des Saisons (Caractères). Ses textes sont aussi régulièrement présents en revues. Martine-Gabrielle KONORSKI réalise également des créations au théâtre : soirée autour de Bethani au Théâtre Les Déchargeurs (Paris). Lectures musicales pour percussions et voix au Théâtre du Nord-Ouest (Paris). Accords, dialogue entre ses textes et la musique de Federico Mompou au Théâtre Les Déchargeurs. Par ailleurs, elle est administrateure de L’Union des Poètes & Cie, membre du comité de rédaction de la revue Les Carnets d’Eucharis, a été présidente du jury du concours « Faites des mots en prison » organisé par le Ministère de la justice. Après des études d’anglais, de droit et de sciences politiques, elle a mené une carrière internationale dans la communication en France et aux Etats-Unis. Elle est Chevalier dans l’Ordre national du mérite.

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