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Accueil » Le punk : épiphanie et eschatologie

Le punk : épiphanie et eschatologie

Bertrand Pavlik Par Bertrand Pavlik
20 mars 2022
dans Rock and Folk et Musique(s)
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Jamie Reid — God Save the Queen – 1977 –

Pythagore puis Platon avaient défini l’importance de la musique dans l’harmonie de l’âme avec celles du Cosmos, du monde et de la Cité. Il en résulte que, pour Platon, la musique peut être source de désordre et, pour la musique punk, on peut se dire que ce dernier n’avait pas tort. Ce serait une erreur car, comme l’a déclaré le chanteur des Sex Pistols, Johnny Rotten « le punk a mis de l’ordre dans le chaos ». Remarque intéressante, quand on la met en parallèle avec la devise maçonnique « Ordo ab chao ».

Même si le punk est comme la Franc-Maçonnerie une sous-culture, avec son monde souterrain, ses secrets, ses rites et son approche ésotérique du monde, il ne faut pas les confondre. En revanche, tous les deux sont nés dans un monde en crise en quête de sens et en recherche de repères dans des sociétés à leurs crépuscules. C’est en cela qu’ils ont mis de l’Ordre dans le Chaos. Pourtant, la lumière va jaillir de ces ténèbres, brutalement, véritable cri de rage dans une société sclérosée en décomposition, celle du début des seventies, qui traverse une grave crise économique et sociale avec les chocs pétroliers, la défaite américaine au Vietnam, la fin du Summer of love avec ses spiritualités alternatives etc …. .

Quoi de plus normal dans un monde en plein marasme pour l’esprit humain que de chercher la lumière ?

Cet esprit va se matérialiser dans la culture, se réifier, au sens hégélien du terme dans la musique, les arts graphiques, le design, la mode et un peu, la littérature et le cinéma. Ce fiat lux va se matérialiser dans la Babylone moderne du monde, New York, qui est totalement en faillite au début des années 70. Cette pauvreté va en faire sa richesse artistique et culturelle. Des quartiers entiers comme Downtown, Harlem, le Bronx sont composés d’immeubles quasiment insalubres avec des loyers très peu chers. Cela va attirer de tous les coins des Etats-Unis, tous les artistes déclassés ou trop originaux, les gays, les blacks, les latinos, les femmes trop indépendantes, bref tous ceux que la société bien lisse et bien-pensante américaine considère comme des marginaux. New York va rassembler tout ce qui est épars pour répandre la lumière. Cette étincelle culturelle va faire flamber le monde.

Imaginez qu’entre 1973 et 1977, New York va être le berceau du Disco, de la musique contemporaine avec Steve Reich et Philip Glass, du renouveau du Jazz et de la musique latino, mais aussi du punk avec Patti Smith, les Ramones, Blondie, les Talking Heads, Television, les Heartbreakers, Richard Hell et les Vodoids, pour ne citer que les plus connus, enfants des précurseurs New York Dolls, Velvet Undreground et Lou Reed, Stooges et Iggy Pop, et MC5. Tous ces groupes punks new yorkais, se produisent uniquement dans trois endroits, le CBGB, le Max Kansas City et le Romeo, mais ils vont être les catalyseurs d’un nombre importants de vocations artistiques. Le punk, cri de révolte dans la nuit, va constituer une véritable épiphanie, c’est à dire une révélation pour toute une génération, dont un anglais de passage Malcolm McLaren.

Quand il revient à Londres, totalement converti, Malcolm McLaren, compagnon et associé de la styliste Vivienne Westwood, va transformer leur boutique de fringues et accessoires, SEX, en lieu de naissance du punk anglais. C’est dans cette boutique que Malcolm McLaren va recruter les Sex Pistols, boy’s band du punk anglais. Malcolm McLaren, élevé au biberon du situationnisme avec son ami, le designer Jamie Reid, va utiliser les Sex Pistols, pour tenter de faire exploser la société anglaise à coups de provocations symboliques. Le Royaume Uni, particulièrement appauvri par la décolonisation mais aussi la crise économique mondiale, amoindri par des infrastructures obsolètes, subit une grave crise économique et sociale. En plus de cette situation délétère, la société reste sclérosée avec une classe dominante qui contrôle tout, se réserve le gâteau en ne laissant aucune place pour les autres catégories sociales. L’ascenseur social n’existe pas dans ce monde, particulièrement pour les jeunes non favorisés, surtout s’ils sont issus du lumpenprolétariat, comme les quatre membres des Sex Pistols. C’est une génération vide de tout, une génération perdue. Bref, “there is no future for them in England’s dreaming” comme le décrit si bien la chanson God Save The Queen des Sex Pistols et qui fonde ce travail.

L’énergie de cette jeunesse totalement abandonnée à son triste sort va être la rage que le punk va canaliser, à travers la musique mais également d’autres domaines, comme le design, les arts graphiques et la mode, à coups de provocations symboliques, notamment contre la monarchie. Les concerts des Sex Pistols, peu nombreux car très vite censurés, vont constituer une véritable épiphanie pour leur public. Toutes les personnes qui assistent à leurs concerts sont sous le choc de leur violence rageuse mais totalement maîtrisée. Elles y ont une révélation, celle de découvrir ce qu’elles veulent être, comme si les Sex Pistols leur chantaient « Prenez place ». Et, elles veulent prendre leur place dans cette société car elles ont pris conscience de leur véritable être et que leur véritable malheur est de ne pas être à leur juste place, comme l’a si justement analysé Schopenhauer.

La rébellion punk serait-elle finalement de se connaître soi-même pour trouver sa véritable place dans le monde ?

Cette épiphanie va aboutir à la création de groupes comme le Clash, les Damned, les Cure, Joy Division, les Buzzcocks, Generation X avec Billy Idol, Siouxsie and The Banshees, X-Ray-Spex, les Pretenders, les futurs Smiths et Pogues, mais aussi de graphistes, de designers comme Conrad, etc … , comme les concerts des punks américains au CBGB seront une révélation pour le public qui y assiste. Il en sera de même pour toute l’Europe, y compris l’Europe de l’Est. Ce monde est donc mauvais, ce qui amènera certains, comme Neil Marcus dans son ouvrage « Lisptick Traces : une histoire secrète du XXème siècle », à voir en Johnny Rotten un gnostique, puisque pour les gnostiques, le monde actuel, créé par un faux dieu, le Démiurge, est mauvais.

C’est bien beau de vouloir trouver sa place mais dans quel monde ? Le leur est à bout de souffle, en fin de course. Le punk a une vision eschatologique, à savoir que le monde est arrivé au bout de son histoire. Comment trouver alors sa place dans un monde qui meurt ? En passant, on peut comprendre que leurs révélations du déclin du Royaume Uni ou de la fin du rêve américain soient considérées comme des actes de rébellion. Les punks se diviseront sur leur vision eschatologique. Pour les uns, plus proches de l’eschatologie religieuse, le monde est fini, décadent et pourri et il faut faire avec. Pour les autres, plus proche de l’eschatologie marxiste, un monde meilleur va succéder à celui-ci. Cependant, même si les fondements sont différents, les réponses des punks sont les mêmes :

le DIY, Do It Yourself, « fais-le toi-même », tes fringues, ton groupe, ton maquillage, etc … en récupérant et en recyclant les déchets, les détritus, les fripes, les objets, mais également en auto-produisant ses disques, en créant ses propres labels pour le faire ; le véganisme ou le végétarisme ; l’écologie ; le féminisme : le punk est le premier mouvement culturel où la femme va être l’égale de l’homme, notamment dans les groupes musicaux, ne se contenant plus d’être simplement une chanteuse sirupeuse mais chantant fort sa colère, jouant de tous les instruments, étant le leader, comme dans X-Ray-Spex, les Pretenders, les Adverts, Penetration ou carrément féminin comme les Slits ; l’absence de discrimination sexuelle, nombre de punks étant gays ou même transgenres comme Wayne County ; l’anti-racisme ; le militantisme politique, notamment pour ceux qui veulent un monde meilleur comme le Clash en Angleterre et les Dead Kennedys aux Etats-Unis.

Leur vision eschatologique du monde est renforcée par la proximité du punk, anglais surtout avec le reggae, comme un rapprochement entre l’Orient et l’Occident, mais surtout entre deux mondes exclus de la société britannique : les jeunes prolos blancs et noirs anglais, ce qui ne plaira pas à l’establishment britannique. Le punk va avoir une vision plus spirituelle encore avec le reggae, nourri par le rastafarisme, ce dernier ayant été revitalisé par des penseurs défenseurs de la négritude – surtout Marcus Gravey – tous initiés de la Franc-Maçonnerie Noire Nord-Américaine Prince Hall. Même si ce sera le sujet d’une autre planche, on peut d’ores et déjà révéler que beaucoup de termes et de concepts de la religion rastafari, dont son eschatologie, sont empruntés ou communs avec les hauts-grades maçonniques, sans nul doute sur l’influence de Prince Hall.

Le punk n’est pas que musique…

Le punk, c’est également arts graphiques, design, mode, mais littérature et cinéma à un moindre degré. Il a donné le groupe français Bazooka, le peintre Robert Combas, les stylistes Vivienne Westwood, et de Castelbajac, les écrivains Maurice G. Dantec et Virginie Despentes, et bien d’autres. Le critère essentiel du punk est la liberté. Libre d’être qui on est, libre de le devenir, libre de créer. Cela même, sans expérience, sans savoir, juste libre, en dehors de toute uniformité. Cela a sans doute été l’extrême provocation du punk dans une société figée comme celles des années 70. Puis le punk, comme la plupart des mouvements rocks, a été repris par le business qui l’a uniformisé en l’industrialisant et en le « marketant ». C’est un mouvement récurrent ; comme le dénonce Annie Le Brun dans son ouvrage « Ce qui n’a pas de prix ». L’illusion d’une liberté sans limites est finie. Les grands capitalistes comme Bernard Arnault et François Pinault ont mis la main sur le marché de l’art pour en faire un placement financier et nous imposer leurs goûts. En nous imposant leurs artistes, pour la plupart sans talents, si ce n’est celui d’avoir le sens du business, ils sont certains de faire fructifier leurs nouveaux placements. Il en est de même en musique. Malcolm McLaren, en bon situationniste, pensait que l’art pourrait domestiquer l’argent mais c’est l’argent qui a domestiqué l’art. Les métaux sont rentrés dans le Temple. Cependant, il existe des villages d’irréductibles gaulois, comme le punk américain, ou bien des communautés punks semblables à celles jadis des hippies, comme en Bretagne, ou dans les ZAD, qui continuent à appliquer ces principes punks. Pour tenter de sauver le monde, les punks d’aujourd’hui semblent avoir abandonné le « No Future » pour un « Yes Future ».

Il y a toujours une lumière qui brille dans la nuit.

Playlist:

1 – Funky Reggae Party par Bob Marley

2 – Pretty vacant par les Sex Pistols”

3 – Gloria par Patti Smith

4 – Roadrunner par The Modern Lovers

5 – Jet Boys par New York Dolls

6 – Blitzkrieg Pop par The Ramones

7 – Music For 18 Musicians par Steve Reich

8 – Knee Play 1 par Philip Glass, opéra “Einstein On The beach”

9 – New Rose par The Damned

10 – Sex & Drug & Rock & Roll par Ian Dury

11 -God Save The Queen par The Sex Pistols

12 – (I can’t get no) Satisfaction par DEVO

13 – Something Better Change par The Stranglers

14 –I Wanna Be Me par The Sex Pistols

15 – Love Will Tear Us Apart par Joy Division

16 – Betsy Party par Starshooter

17 – Edith Nylon par Edith Nylon

18 – Diamond Dogs par David Bowie

19 – Anarchy In The Uk par The Sex Pistols

20– White Riot par The Clash

21 – Oh Bondage Up Yours par X-Ray-Spex

22– I heard It Through The Grapevine par The Slits

23- Two Sevens Clash par Culture

24 – Jah War par The Ruts

25 – Police & Thieves par The Clash

26 – One Drop par PIL (Public Image Limited)

27 – Blank Generation par Richard Hell

28–Always The Sun par The Stranglers

Tags : Bertrand PavlikJean-Charles de CastelbajacJohnny RottenMalcolm McLarenmouvement PunkPoguesRobert CombasSex PistolsStoogesVivienne Westwood
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Bertrand Pavlik

Bertrand Pavlik

Avocat, Conseiller du 6ème arrondissement de Paris pendant près de 20 ans, chroniqueur sur Sud Radio, chargé de cours à l’Université Paris 1 Panthéon Sorbonne, Bertand Pavlik a également été sept fois champion de France de Football américain.

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