• S’abonner à Rebelle(s)
  • L’ours
  • Contact
jeudi 9 février 2023
  • Connexion
  • S'enregistrer
Rebelle(s) Mag
  • Accueil
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Société(s)
  • Littéraire(s)
  • Spécial Ukraine
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Qui sommes-nous ?
Pas de résultat
Voir tous les résultats
  • Accueil
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Société(s)
  • Littéraire(s)
  • Spécial Ukraine
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Qui sommes-nous ?
Pas de résultat
Voir tous les résultats
Rebelle(s) Mag
Pas de résultat
Voir tous les résultats

«Ce n’est pas du Zola mais on pourrait y croire»

À la ligne – Feuillets d’usine, de Joseph Ponthus, ou quand la littérature sauve... momentanément

Eric Desordre Par Eric Desordre
15 février 2022
dans Dossier du mois : L'art peut-il influencer le monde ?, Littéraire(s)
0
Partager sur FacebookPartager sur Twitter
A la ligne – Feuillets d’usine, de Joseph Ponthus, La Table Ronde, 2019, 18 euros. Poche : Folio, 2020, 7,50 euros –

Récit existentiel d’une expérience destructrice du corps, découverte du monde de l’usine par un travailleur social qui, jusque-là, encadrait une jeunesse ne rêvant pas d’être encadrée, A la ligne est un livre magnifique. On le lit d’une traite, comme un roman passionnant. Ce n’est pas un roman, contrairement à ce qu’indique le texte en quatrième de couverture. Pourtant bien imprimé au-dessous du titre et voulu comme tel par l’auteur Joseph Ponthus, ce sont des feuillets, composant une chronique quasi quotidienne du travail ouvrier. Sa poésie puissamment évocatrice vous laisse assommé par la révélation de la souffrance et les hoquets de drôlerie.

Joseph Ponthus, éducateur, ne trouve pas de boulot dans son métier. Il a besoin de sous pour vivre, il embauche dans l’industrie agro-alimentaire. Il embauche « à la ligne », dans l’usine. Ce sera une usine de poissons à Lorient, puis un abattoir dans le Morbihan. C’est du brutal.

Ce qu’on lit, c’est la description d’une condition ouvrière qu’on avait oubliée au milieu des années 80. Depuis cette époque, les forçats du salariat ont surtout été exploités dans le tertiaire, centres d’appels, salles de marché, open space à cloisons de verre et organisations à plafond du même matériau. Retrouvant les bienfaits du panoptique des frères Bentham, les superviseurs y sont omniprésents, distribuant via les processus informatisés directives et consignes dans un délire régulateur et monitorant. L’œil qui voit tout est déjà au-dessus de nos têtes.

Pour les usines, le capitalisme avait mis ses espoirs de profit dans les robots. Jamais en grève mais souvent en panne ; toujours d’accord mais rarement enthousiaste, le robot s’avéra imparfait. Finalement tout comme nous. Après de nombreux tâtonnements, le manager dû réintroduire de vraies jambes et de vrais bras dans le ballet de la production et, prolongeant ceux-ci, de vraies mains dans le cambouis. Un savant équilibre entre robotisation et présence humaine s’avéra plus efficace pour assurer durablement la productivité.

On croyait qu’avec les délocalisations, toutes nos usines avaient foutu le camp en Asie en général et en Chine en particulier, donnant du boulot, des salaires et des troubles musculo-squelettiques aux prolétaires-de-tous-les-pays-unissez-vous mais qui préfèrent rouler en BMW plutôt que chanter les lendemains qui chantent. En fait, des usines, il en reste encore dans notre vieux pays. N’ayant pas la chance d’être intérimaires de l’industrie agro-alimentaire, on est étonnés d’apprendre, innocents que nous sommes, qu’il existe – à Lorient et ailleurs – des lieux où des gueux sidérés se font exploiter de la belle façon.

C’est dans cet univers industriel bien actuel avec des morceaux de misère dedans que notre guide Joseph Ponthus constate, non pas la mort de la classe ouvrière, mais celle de sa conscience de classe. Corollaires : plus de combat social, plus de rapport de forces générateur de partage de la valeur ajoutée, plus de recherche même douloureuse de l’équité. Retour au XIXème siècle.

« Ce n’est pas du Zola mais on pourrait y croire » – la formation littéraire de l’auteur le sauve. En égouttant du tofu, il pratique le sarcasme du lettré, l’indignation du rebelle, l’auto-ironie du tendre. Ca l’aide à tenir. Le regard distancié est un puissant antidote à la douleur morale, à défaut d’un anti-inflammatoire apaisant les douleurs articulaires. Mais comment faire comprendre, ressentir, la nouvelle condition ouvrière ? Joseph Ponthus cite avec un à-propos saisissant et une justesse confondante – ça sert donc, la littérature ! – les auteurs qu’il connait et qu’il aime. Tour à tour convoqués pour éclairer les situations vécues, Apollinaire, Dumas, La Bruyère ou Trenet se succèdent, mais aussi les vedettes populaires dont les chansons, les sketches ou l’évocation des exploits aident à tenir la cadence : le Johnny et la Sylvie, Julien Doré, Fernand Raynaud, Zidane… Marcel (Proust, pas Hamon) a même droit à quelques considérations bien senties. Citer l’Odyssée dans une usine de poissons peut éventuellement le faire, mais le Vicomte de Bragelonne, c’est infiniment élégant. Nous apprenons aux dernières pages que Pontus de Tyard, membre de la Pléiade, ami de Ronsard et du Bellay, est un ancêtre de Joseph Ponthus. Il arrive donc que bon sang ne sache mentir ; fort justement comme souligné, « Qu’incessamment en toute humilité / Ma langue honore et mon esprit contemple ».

Ponthus nous raconte avec une verve poignante la séparation des individus sur la chaîne de production, à cause ou plutôt grâce aux horaires décalés, sur des postes semi-automatisés. Suffisamment autonomes pour être quasi-seuls toute la journée – quitte à courir partout ; suffisamment dépendants de machines défaillantes pour ne pas pouvoir s’octroyer par instants les petits relâchements de l’esprit et du corps. Elles sont loin, les lignes souvent peu automatisées d’antan, qui offraient des espaces de liberté mesurés mais réels. Pas le rêve, mais une zone de confort qu’on préservait avec l’expérience du geste, l’entraide des collègues, la bienveillance de certains agents de maîtrise. Ils n’étaient pas encore passés par les formations à la gestion industrielle, du juste à temps au lean management.

Résultat de ces chouettes innovations, le nouveau serf est trop crevé pour réfléchir, pour échanger, pour s’organiser, dans l’incapacité de seulement songer à lutter. Quant à se plaindre… Si l’intérimaire l’ouvre, l’agence ne lui proposera pas de réembauche. Un rêve de congressiste à Davos. Il n’y a donc pas que chez Apple en Chine, ou chez Amazon partout dans le monde qu’on bosse dur pour pas un rond. Un libéralisme comme on l’aime, avec des sandwichs néerlandais* juteux et des petits noirs bien serrés.

Un staccato d’angoisse – Vais-je être embauché ? Vais-je assurer sur la ligne de production ? Vais-je terminer ma journée sans me casser le dos définitivement ? Vais-je être réembauché ? – comme si vous y étiez. En fait, c’est lui qui y est. C’est ça qui est bien avec la littérature, on n’a pas besoin d’y être ; il suffit d’avoir un écrivain bien placé, capable de cuire du bulot à la tonne et d’écrire un témoignage bouleversant.

Ce livre est un grand livre. D’une densité poétique inattendue dans un récit d’expérience ouvrière ; introspection d’un homme qui sait réfléchir, même si le rattrapage du retard accumulé sur le planning de décorticage des crabes ou de nettoyage de l’abattoir des bovins lui laisse bien peu de temps pour le fignolage des phrases. Il écrit en arrivant chez lui, en ayant oublié, parce qu’il est trop fatigué, la moitié de ce qu’il avait en tête d’écrire. Il fait court, il va « à la ligne ». Et, peut-être aussi pour cette raison, c’est splendide.

La débauche / Quel joli mot / Qu’on n’utilise plus trop sinon au sens figuré / Mais comment comprendre / Dans son corps / Viscéralement / Ce qu’est la débauche / Et ce besoin de se lâcher se vider se doucher pour se laver des écailles de poissons mais l’effort que ça coûte pour aller à la douche quand tu es enfin assis dans le jardin après huit heures de ligne

Dans ce journal mélangeant expressionisme poétique et réalisme gore, on en apprend un rayon sur les variétés de crevettes et les techniques d’équarrissage des vaches. Une vache, c’est lourd, quand bien même carcasse pendue au croc d’un rail d’abattoir. Re-re-triées, les crevettes qui ont chacune une destination spécifique ont pour noms Coaxial, Ishida, Multivac, Arbor, Bizerba. Bizarre, on dirait de la tringlerie informatique ou des termes d’ingénierie climatique.

Vu le livre que je referme à regret – j’aurais bien aimé lire plus longtemps les souffrances et les joies de Ponthus, quelle indécence chez le lecteur ! – tous ces textes qu’il n’a pas écrits parce qu’il les a oubliés, il va les retrouver plus tard, c’est sûr. Sûr qu’on sera là pour les lire.

PS Quand ces lignes ont parus initialement dans Rebelle(s), le magazine papier, Joseph Ponthus était encore de ce monde. Il est mort en février 2021 des suites d’un cancer, à 42 ans. Si la littérature peut sauver de l’épuisement et du désespoir, elle ne peut pas réparer l’usure du corps. On a la chance d’être encore là, mais on ne lira pas les lignes oubliées de Joseph Ponthus.

*Le « sandwich néerlandais » est une méthode d’optimisation fiscale basée sur des accords d’imposition entre les états. Les entreprises ayant des activités en France installent leurs sièges sociaux aux Pays-Bas et y remontent leurs profits, d’où ces derniers repartent ensuite vers des holdings de contrôle situées dans les Antilles Néerlandaises, paradis fiscal. Le taux d’imposition y est (beaucoup) plus bas qu’en France. Les profits réalisés chez nous étant déjà imposés au paradis ne peuvent pas être imposés par le fisc français. Grâce à ce met prisé des financiers, le gain final est supérieur au quart des bénéfices.

Tags : classe ouvrièreéditions Folioéditions La Table RondeEric Desordreexpérience ouvrièreindustrie agro-alimentaireJoseph Ponthusl'Odysséelutte des classes
Article précédent

John Lee Hooker – Boogie-Woogie Anyhow

Article suivant

Foutez la Paix à Orelsan !

Eric Desordre

Eric Desordre

Poète, photographe, Éric Desordre est né à Toulouse. Publié principalement aux éditions Unicité dirigées par François Mocaer, ses textes paraissent aussi régulièrement dans des revues littéraires de haut lignage poétique, entre autres : Arpa, Voix d'encre, Triages, Les Cahiers du Sens, Thauma, La Grappe. Au sein du comité de rédaction du magazine Rebelle(s), il est un guetteur d'inaperçu ayant le goût de décrire l'inobservé. Il se consacre à l'activité de « gazetier de la réflexion décalée », sans souci apparent de l’actualité.

Article suivant
Orelsan lodeur de lessence

Foutez la Paix à Orelsan !

Laisser un commentaire Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

Rares sont ceux qui méritent qu'on les contredisent
Ernst JüngerAphorismes
On ne s'approprie que ce qu'on a d'abord tenu à distance pour le considérer.
Paul Ricoeur
La vie est jeune. En vieillissant, elle se fait durée, elle se fait temps, elle se fait adieu.
Romain Gary
Il est vain de vouloir libérer la vie des mensonges de l'art.
Georges Bataille
Les bêtes sont des personnes muettes
Un buronnier, vacher de l’Aubrac
Les gens exigent qu'on ait un métier. - Comme si vivre n'en était pas un - et encore le plus difficile !
Emil Cioran
Quand un philosophe me répond, je ne comprends plus ma question.
Pierre Desproges
On ne peut expliquer un paradoxe, non plus qu'un éternuement. D'ailleurs le paradoxe n'est-il pas un éternuement de l'esprit ?
Emil Cioran
Ce que je veux dire, c'est qu'elle avait des yeux où il faisait si bon vivre que je n'ai jamais su où aller depuis.
Romain Gary
On ne peut savoir si l'homme se servira longtemps encore de la parole ou s'il recouvrera petit à petit l'usage du hurlement.
Emil Cioran
Je ne crois pas qu’il soit possible, même à ceux qui ont de grandes familles, de réussir s’ils n’unissent pas à leur talent naturel des qualités simples, solides, laborieuses, et surtout une légitime confiance dans le succès : il n’y a rien de tel en ce monde que de vouloir.
Charles Dickens
Accepter le seul risque raisonnable, celui de se dépasser.
Erri de Luca
L’art est une reconfiguration du champs des possibles
Jean-Louis Bischoff
Le destin de celui qui ne songe qu'à se mettre à couvert, c'est d'être survolé
Ernst JüngerAphorismes
L'homme le plus éclairé est le plus ébloui
Victor Hugo
Précédent
Suivant

Rubrique(s)

  • 3 questions à…
  • Art(s)
  • Cinéma(s)
  • Classique(s)
  • Dossier du mois : L'art peut-il influencer le monde ?
  • Dossier du mois : La foire aux cons : toujours d'actualité
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Edito(s)
  • Geekologie(s)
  • Inclassable(s)
  • L'impertinence poétique
  • Le Mag papier
  • Les gonzoïdes de l'Apocalypse
  • Les grands entretiens rebelle(s)
  • Littéraire(s)
  • Mémoires Démasqués
  • Philo-spirit(s)
  • Politique(s)
  • Rock and Folk et Musique(s)
  • Société(s)
  • Spécial Ukraine
  • Théatre – Spectacle(s)
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Voyage(s)
interviews 1 scaled

Articles récents

  • L’âge d’or des Rolling Stones : Let It Bleed 5 février 2023
  • Pourquoi tant de haine ? 3 février 2023
  • Scientifiques émotifs 29 janvier 2023
  • La camisole chimique menace les Français 29 janvier 2023
  • Affaire Dupont de Ligonnès : la secte qui n’en était pas une 25 janvier 2023
  • Cavalcade amoureuse au Théâtre de la Ville 22 janvier 2023
  • Génocide des Ouïghours : les musulmans ont aussi leurs collabos 20 janvier 2023
  • Perdu en mère 16 janvier 2023
  • Zhanargul Zhumatai : Un entretien dramatique avec une survivante d’un camp d’ethnie kazakhe qui pourrait bientôt “disparaître”. 13 janvier 2023
  • L’âge d’or des Rolling Stones : Beggar’s Banquet 13 janvier 2023
  • Des médiums et des cathos contre Poutine 13 janvier 2023
  • Ombres et lumières 8 janvier 2023
  • Fin du Cycle Disco : 1980 et au-delà… 8 janvier 2023
  • Des Saints, Sinon Rien – Censure d’aujourd’hui 7 janvier 2023
  • La poétique désabusée de « La Maman et la Putain » 6 janvier 2023
  • Réhabiliter Louis Aragon, rue de Bourgogne… 5 janvier 2023
  • Russie : nazis cannibales, Novopashin récidive ! 4 janvier 2023
  • La Douma, les nouvelles lois et le droit de buter de l’Ukrainien 3 janvier 2023
  • Cycle Disco : 1979, deuxième partie 2 janvier 2023
  • J’ai découvert Raël grâce au Figaro ! Une enquête de dingue ! (Ironie) 1 janvier 2023
  • Écouter, sentir… 31 décembre 2022
  • Poutine communiste ou tsariste ? D’Alexandre III à Joseph Staline 26 décembre 2022
  • Cycle Disco : 1979, première partie 26 décembre 2022
  • Chroniques familiales – extraits 25 décembre 2022
  • Coups de coeur au bout du monde – Chili 25 décembre 2022
  • SANS NOTES ! 25 décembre 2022
  • L’Église orthodoxe russe veut une loi contre les idéologies destructrices 18 décembre 2022
  • Que va faire le nouveau ministre de l’Éducation nationale ? 15 décembre 2022
  • Délestages extrêmes 15 décembre 2022
  • Laïcité et république 15 décembre 2022
  • Cycle Disco : 1978 (3ème partie) 12 décembre 2022
  • Un manteau russe ou ukrainien ? 11 décembre 2022
  • Arrêtez de me Weinstiner ! 8 décembre 2022
  • Quartier rouge 8 décembre 2022
  • Prendre la route 8 décembre 2022
  • La Dernière Page 8 décembre 2022
  • La France a du mal avec ses rebelles – 2/2 8 décembre 2022
  • La France a du mal avec ses rebelles – 1/2 8 décembre 2022
  • Fin du cycle Glam Rock : et pour quelques paillettes de plus 3 décembre 2022
  • En Russie, il est de plus en plus dangereux de créer une ONG 1 décembre 2022
  • Faut-il réhabiliter l’anarchie ? 1 décembre 2022
  • Sécurité partout, éducation nulle part 1 décembre 2022
  • Elephant 29 novembre 2022
  • Alain Jouffroy ou le dernier des surréalistes rebelles 29 novembre 2022
  • « Lettres à sa fille » – Calamity Jane 27 novembre 2022
  • En dépit de sa mère ! 27 novembre 2022
  • Le Père Boulier, un prêtre rouge combattant l’antisémitisme 26 novembre 2022
  • Cycle Glam Rock : pour une poignée de paillettes… 26 novembre 2022
  • Koltès à la Bastille 17 novembre 2022
  • L’Ukraine harasse Poutine 13 novembre 2022
  • Enfermé dehors 11 novembre 2022
  • Imagination active et transe chamanique – 3/3 10 novembre 2022
  • Imagination active et transe chamanique – 2/3 10 novembre 2022
  • Imagination active et transe chamanique – 1/3 10 novembre 2022
  • La musique, instrument de réconciliation des peuples 10 novembre 2022
  • Cycle Glam Rock : Roxy Music 7 novembre 2022
  • Nos années 80… Souvenirs, mon amour 5 novembre 2022
  • La loi des séries 5 novembre 2022
  • Les choses, une histoire de la nature morte 5 novembre 2022
  • C’était mieux avant ! 5 novembre 2022
  • Sur la trace des cyclos 4 novembre 2022
  • Un Christ à prix d’or ! 4 novembre 2022
  • Poutine est un Staline qui ne s’ignore pas 4 novembre 2022
  • Ma rencontre avec Jung 30 octobre 2022
  • Les différentes régions du ciel 30 octobre 2022
  • Du désordre amoureux au renoncement au monde 30 octobre 2022
  • L’homme qui tua Liberty Valance 30 octobre 2022
  • L’homme et le divin 30 octobre 2022
  • Écosophie 30 octobre 2022
  • L’écosophie de Michel Maffesoli et le corps 30 octobre 2022
  • L’âme-son (hameçon) du rock n’ roll 30 octobre 2022
  • Pour Alexandre Novopashin les Ukrainiens sont un ramassis de nazis satanistes et sectaires 25 octobre 2022
  • Ma millième note 23 octobre 2022
  • Grande démission : le travail a perdu son sens 23 octobre 2022
  • Russie : Non, le Patriarche Kirill n’a pas changé 21 octobre 2022
  • Cycle Glam Rock : Lou Reed, partie II 20 octobre 2022
  • Cycle Glam Rock : Lou Reed, partie I 16 octobre 2022
  • Altered carbon – Richard K. MORGAN 16 octobre 2022
  • Cycle Glam Rock : La Genèse, partie II 10 octobre 2022
  • La radicalité est une exigence de liberté 9 octobre 2022
  • Nouvelles sorcières, nouveaux inquisiteurs ? 9 octobre 2022
  • Orthographe, sexe et cinéma 7 octobre 2022
  • Le col de Tichka 7 octobre 2022
  • Cycle Glam Rock : La Genèse, partie I 7 octobre 2022
  • La légalisation de l’euthanasie est-elle une boite de Pandore ? 7 octobre 2022
  • La guerre à sept ans 2 octobre 2022
  • À Corps Perdu 2 octobre 2022
  • De la nécessité de croire 2 octobre 2022
  • De Goya à Rushdie 1 octobre 2022
  • Écouter, sentir… 1 octobre 2022
  • Rêve d’une poésie indépendante des partis au pouvoir… 25 septembre 2022
  • Coriolan 25 septembre 2022
  • Le dernier homme 25 septembre 2022
  • L’improbable métamorphose du monde 24 septembre 2022
  • Dérive séductrice en Écosse 18 septembre 2022
  • Du coquin et du sauvage ! 18 septembre 2022
  • L’économie : une religion inconsciente? 18 septembre 2022
  • L’ensorcellement du monde 18 septembre 2022
  • On ne peut vivre qu’à Paris 11 septembre 2022
  • 2015, retour vers le futur… 10 septembre 2022
  • Cycle Glam Rock : Slade 10 septembre 2022
  • Mentions légales site
  • S’abonner à Rebelle(s)
  • L’ours
  • Politique de cookies

© 2023

Pas de résultat
Voir tous les résultats
  • Accueil
  • Qui sommes-nous ?
  • Le Mag Papier
  • Geekologie(s)
  • Littéraire(s)
  • Société(s)
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Art(s)
  • Cinéma(s)
  • Rock and Folk et Musique(s)
  • Théatre – Spectacle(s)
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Edito(s)
  • Inclassable(s)
  • L’impertinence poétique
  • Littéraire(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Voyage(s)
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Contact

© 2023

Bienvenue !

OU

Login to your account below

Mot de passe oublié ? S'inscrire

Create New Account!

OU

Fill the forms bellow to register

*By registering into our website, you agree to the Terms & Conditions and Privacy Policy.
Tous les champs sont obligatoires. Se connecter

Récupérez votre mot de passe

Veuillez saisir votre nom d'utilisateur ou votre email pour réinitialiser votre mot de passe.

Se connecter
Social Media Auto Publish Powered By : XYZScripts.com
RBLs
Gérer le consentement aux cookies
Nous utilisons des cookies pour optimiser notre site web et notre service.
Les cookies fonctionnels Toujours activé
Le stockage ou l’accès technique est strictement nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de permettre l’utilisation d’un service spécifique explicitement demandé par l’abonné ou l’utilisateur, ou dans le seul but d’effectuer la transmission d’une communication sur un réseau de communications électroniques.
Préférences
Le stockage ou l’accès technique est nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de stocker des préférences qui ne sont pas demandées par l’abonné ou l’utilisateur.
Statistiques
Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement à des fins statistiques. Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement dans des finalités statistiques anonymes. En l’absence d’une assignation à comparaître, d’une conformité volontaire de la part de votre fournisseur d’accès à internet ou d’enregistrements supplémentaires provenant d’une tierce partie, les informations stockées ou extraites à cette seule fin ne peuvent généralement pas être utilisées pour vous identifier.
Marketing
Le stockage ou l’accès technique est nécessaire pour créer des profils d’utilisateurs afin d’envoyer des publicités, ou pour suivre l’utilisateur sur un site web ou sur plusieurs sites web ayant des finalités marketing similaires.
Gérer les options Gérer les services Gérer les fournisseurs En savoir plus sur ces finalités
Voir les préférences
{title} {title} {title}
Ce site web utilise des cookies. En continuant à utiliser ce site web, vous consentez à ce que des cookies soient utilisés. Visitez notre Politique de confidentialité et de cookies.
Êtes-vous sûr de vouloir déverrouiller ce poste ?
Unlock left : 0
Êtes-vous sûr de vouloir annuler l'abonnement ?