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Accueil » All you Need Is Love

All you Need Is Love

Comment va ce fucking world ?

Bertrand Pavlik Par Bertrand Pavlik
15 février 2022
dans Dossier du mois : L'art peut-il influencer le monde ?, Rock and Folk et Musique(s)
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2017 “Summer of Love” – San Francisco, 50ème anniversaire © Frank Schulenburg – CC Wikimedia –

Comment va ce fucking world ? Question plus que casse-gueule et qui appelle des réponses bien pontifiantes ou lénifiantes, selon que vous soyez croyants ou marxistes – c’est peut-être un pléonasme d’ailleurs. Elles sont toutes destinées à s’écrouler face au vaste chamboule-tout de l’épreuve des faits postérieurs aux propos de tous ces donneurs de leçons.

C’est le bordel et on est mal barré

Bon, on va faire court. Tout le monde dit, écrit que le monde ne va pas bien. Certains ont même créé une théorie de l’effondrement des civilisations en oubliant que, tout simplement, la société évolue et progresse. Bref, comme pour les espèces, on peut appliquer la théorie de l’évolution darwinienne aux sociétés. L’immobilisme signifie en ce cas la mort, comme cela a été le cas pour le bloc communiste de l’Est. Au-delà de la société, ou par-delà, d’autres « experts » auto-proclamés arguent que c’est l’environnement de notre planète qui ne va pas bien et que Dame Nature se meurt. Il y aurait une urgence climatique et nous subirions une extinction massive de la faune et de la flore. En résumé, c’est le bordel et on est mal barrés.

Ce qui est inquiétant, il est vrai, c’est le fait que ce constat ne soit plus avancé uniquement par des fakes prophètes comme tel pseudo-écolo qui n’hésitait pas à déranger la faune et la flore locale pour ses émissions sponsorisées par Rhône-Poulenc ou notre Lord Bidon qui n’a de commun avec Lord Byron que sa chemise blanche ouverte qui ne sera jamais tâchée de son sang. Dorénavant, le relai est pris par un nombre important de scientifiques qui ne cessent de nous mettre en garde quant à nos habitudes de vie dangereuses pour l’équilibre et la santé de la planète.

Dégage, eschatologie de mes deux !

Oui, tout cela est angoissant, mais pas nouveau, les millénaristes ayant toujours existé, depuis l’an mil !

Soyons fous et un peu témoins de Jehovah pour repousser sans arrêt la fin du monde annoncée. Soyons gnostiques, acceptons que ce monde ne soit pas parfait puisque créé par un Démiurge qui n’est pas le Vrai Dieu ! Les civilisations évoluent et changent, des espèces disparaissent, d’autres apparaissent, etc…. le cycle, toujours le cycle, éternelle souris qui ne cesse de tourner dans sa roue, comme celle de « Tous les Hommes Sont Mortels » de Simone de Beauvoir. Je n’ai pas de réponse à tous ces constats et à toutes ces questions. J’ai juste une intuition, celle du musicien. Cette intuition me permettra de rendre hommage à Georges Steiner qui vient de nous quitter et pour qui la musique permettait de ressentir ce que le langage ne pouvait exprimer.

Les scarabées poussent la sphère terrestre

Après tout, ma chronique n’est-elle pas musicale ? Après tout, le monde n’est-il pas né d’un Big Bang, c’est à dire d’un Big Son ? Revenons à l’essence des Sixties, à celle du Summer Of Love, dont nous sommes les enfants aujourd’hui. Les enfants oui, mais les anges déchus, errant dans les limbes sans fin, parce que fruits des idées avortées des sixties ! L’esprit du Summer of Love des sixties a été galvaudé. L’album Sergent Pepper’s Lonely Hearts Club Band symbolise parfaitement cet esprit. Pourquoi ? Parce que cet album est celui qui représente le mieux l’état d’esprit de l’époque « Une exclamation de joie, une découverte de la joie et de ce que cela signifie d’être en vie », selon Allen Ginsberg. Cet album semble corroborer l’idée selon laquelle les choses étaient en train de s’améliorer « Getting better », des trous étaient réparés « Fixed Holes », l’amour serait toujours là à 64 ans « When I’m 64 », et le groupe promettait de nous brancher « Turn You On ».

Il y avait indéniablement une vibration. La solution que préconisent les Beatles « change ta tête » … « libère ton esprit » et l’importance de l’amour comme moteur du changement « All You Need Is love » qui n’est pas dans l’album, sont, il me semble, à la base de la philosophie qui sous tend Sergent Pepper, un album directement inspiré par la culture de la drogue, la métaphysique et le flower power. Oui, pour la première fois, en 1967, on pouvait penser que les choses allaient mieux, que le monde allait mieux, que la société allait mieux « It’s Getting Better » :

« I’ve got to admit it’s getting better/ A little better all the time/I have to admit it(s getting better /It’s getting better since you’ve been mine ».L’individu trouvait sa place dans la société, pas seul mais avec « With A Little Help From My Friends » et pour trouver quoi ? L’amour car « All We Need Is Love », sorte de paraphrase de l’Evangile. Reprenant l’Ancien Testament, Jésus disait « Tu aimeras ton prochain comme toi-même. ». Levinas en déduisait qu’on retrouvait son visage dans celui de l’autre et que, par conséquent, nous avions une responsabilité à l’égard de cet autre.

Soyons Antigone

Il n’était pas exclu dans l’album des Beatles que les cœurs solitaires aient une mauvaise surprise à l’issue du spectacle. Le rideau est tombé et nous subissons cette mauvaise surprise qu’est l’état de santé visiblement délabré du monde. L’esprit du Summer Of Love s’est tellement dilué que nous avons fini par n’en retenir qu ‘un ultra-individualisme exacerbé qu’illustre parfaitement l’ultra-libéralisme d’aujourd’hui.  Tel est mon bon plaisir disait La Dame à La Licorne, qui était celui du savoir. Aujourd’hui, c’est le plaisir de son nombril. Nous ne marchons qu’en regardant notre nombril. Il est certain qu’en marchant ainsi, sans faire attention à ce qui nous entoure, nous ne pouvons que finir par nous cogner dans un mur.

A l’heure de cet ultra-individualisme, où tout est fait pour satisfaire nos seuls plaisirs égoïstes, uniquement centrés sur soi et sur nos égos, l’autre ne compte plus. L’homme est vraiment devenu la mesure de toutes choses. Protagoras a gagné et Socrate a perdu. L’homme ne mesure le monde qu’à la mesure de ses envies et de ses profits. En ce sens, Thatcher, Reagan, Blair, et Macron, avec vingt ans de retard, sont ces enfants dévoyés des sixties. Ils sont les bardes de cet ultralibéralisme, fils dévoyé du Summer of Love. Bernard Lavilliers a parfaitement résumé l’état de santé du monde dans sa chanson « Faits Divers » :

« Comment va le Monde ? / Il est rouge sang/Et à mon avis, il l’est pour longtemps/ Comment va la vie ?/ Il y a des endroits/ Elle vaut dix dollars/ Combien je te dois ?/Comment va l’amour ?/ Il joue les absents / Demande aux vautours de gagner du temps … ».

Soyons des Antigone – ultime hommage à Georges Steiner – et résistons avec l’amour à la loi d’airain de l’ultralibéralisme.

Entendons à nouveau l’Harmonie des Sphères

Ce qui tue le monde actuel, selon mon humble avis, c’est le manque d’amour entre nous tous. Il faut aimer l’autre comme soi-même.  L’autre, ce sont les autres hommes mais également la Nature, les animaux, etc …. . Il faut aimer ce qui est autre que soi ! Il faut sortir de son égo. Aimer l’autre, c’est savoir l’entendre. Apprenons à entendre humblement à nouveau la Musique des Sphères, cette harmonie céleste, pour transcender le Un et retrouver le Tout . Mon constat, sans doute naïf, est le même que celui des Beatles. Il faut retrouver cet amour qui est absent du monde. Ce monde est malade par manque d’amour. Sans amour rien n’est et ne sera possible !

All We Need Is Love :

« Love, love, love
Love, love, love
Love, love, love

There’s nothing you can do that can’t be done
Nothing you can sing that can’t be sung Nothing you can say,
but you can learn how to play the game
It’s easy
Nothing you can make that can’t be made
No one you can save that can’t be saved
Nothing you can do, but you can learn how to be you in time


It’s easy
All you need is love
All you need is love
All you need is love

(Love is all you need)

(Love is all you need). »

Tags : Allen GinsbergBernard LavilliersBertrand PavlikFlower PowerGeorges SteinerSummer of LoveThe Beatles
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Bertrand Pavlik

Bertrand Pavlik

Avocat, Conseiller du 6ème arrondissement de Paris pendant près de 20 ans, chroniqueur sur Sud Radio, chargé de cours à l’Université Paris 1 Panthéon Sorbonne, Bertand Pavlik a également été sept fois champion de France de Football américain.

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