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Quelques considérations au poil !

Martine Konorski Par Martine Konorski
15 décembre 2021
dans Société(s)
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Craig Mc Kay

Le poil ou les poils ? sujet tabou, dérisoire, incongru, personnel, philosophique, éthique, culturel, sociologique, cinématographique… Que dit le poil de nous ? Sans prétendre à l’exhaustivité et pour donner envie d’approfondir le sujet, nous vous livrons ces quelques considérations sur un sujet sérieux qui prête souvent à sourire. Pourquoi un peu partout dans le monde, le visage des hommes devient-il barbu, pourquoi les femmes s’épilent-elles et certaines décident-elles de laisser faire la nature…pourquoi ce désir de vouloir se transformer ? Essayons d’y voir un peu plus clair.

Être pogonophile ou pogonophobe ? Telle est la question

Les poils nous en avons sur tout le corps, plus ou moins. On les aime ou on les déteste sur son propre corps ou sur celui des autres. Alors commençons par regarder ce qui se passe du côté de la partie la plus visible : le visage. Car aujourd’hui, on peut vraiment se poser la question de savoir s’il faut-être pogonophile pour être tendance ? En d’autres termes faut-il aimer la barbe ? Voilà ce que se demandent les hommes … et aussi les femmes qui se sentiraient plus en confiance avec un homme à barbe qu’avec un homme glabre, d’après des études récentes. La question serait-elle donc tranchée ?

En effet, être pogonophobe ne semblerait pas de mise. Ne pas aimer la barbe n’est donc plus d’actualité. Balayée l’imagerie ringarde des profs barbus qualifiés de gauchos, des cocos poilus, des motards ou des hippies des années 70 et des hipsters velus ou des artistes de tous poils… Porter la barbe est désormais « plus un phénomène de mode qu’idéologique »[1]. La barbe a donc cessé d’être l’attribut contestataire des rebelles, pour devenir au contraire le marqueur social notamment des actifs propres sur eux et connectés ou des bourgeois bohèmes citadins (les Bobos !). On peut lire qu’elle est « devenue incontournable, comparée au maquillage féminin, elle peut sublimer le visage des hommes »[2]. Cette mode qui semble partie pour durer concerne en effet tous les milieux socio-professionnels. « Même dans les entreprises elle est acceptée à condition d’être bien taillée et maîtrisée ».[3] Au-delà, la barbe apparaît désormais comme un gage de sérieux, de respectabilité, de virilité revisitée en somme. C’est ainsi que la mode de la barbe s’est imposée dans le monde entier. Et ce pour le plus grand bonheur des nouvelles marques cosmétiques en ligne (« Ma belle barbe, Barbe N blues »…)[4] et des salons de barbier (les « barber shops ») qui fleurissent à tous les coins de rue . « Le barbier de Séville » n’en demandait pas tant !

Pourquoi porter la barbe ?

A y regarder de plus près certains historiens nous disent que la barbe n’a jamais vraiment cessé d’être à la mode et qu’elle était considérée comme un symbole divin d’autorité ou de sagesse en fonction des civilisations. D’ailleurs les « représentants » mythiques des 3 grandes religions monothéistes, Moise, Jésus, Allah, sont tous portraiturés avec la barbe et, aux siècles passés, nombre de dirigeants, peintres, écrivains, musiciens, comédiens et, créateurs de tous poils étaient le plus souvent barbus.

Aujourd’hui, il semblerait que plusieurs raisons[5] poussent les hommes à porter la barbe, qu’elle soit de trois jours ou foisonnante, puisque l’on choisit désormais sa forme de barbe comme sa coiffure:

– Les hommes auraient ainsi l’air plus mûrs et plus sages, plus virils, s’inscrivant peut-être sans le savoir dans la lignée des Grecs qui portaient déjà la barbe comme signe de sagesse.

– La barbe conférerait une personnalité plus affirmée, plus forte et refléterait aussi le tempérament de l’homme. Une barbe mal dessinée ou mal taillée serait signe de laisser aller, donnerait une image négligée, alors qu’une barbe bien entretenue montrerait un homme fiable, qui prend soin de lui.

– La barbe aide donc à se donner un style informel mais soigné, si tant est qu’elle soit traitée comme un accessoire… et non comme un garde-manger !

– La barbe est aussi une aide pour séduire, pour plaire aux femmes, en donnant un air plus sûr, plus expérimenté. Selon certaines études, 81% des femmes de moins de 35 ans trouvent les hommes avec barbe plus sexy ! Les femmes pensent même que les hommes à barbe pourraient devenir des pères plus attentionnés. D’ailleurs on découvre que « le hashtag # BearDad est apparu et rassemble les pères barbus du monde entier »[6]. Ne pas rire !!

-Enfin, la barbe permet de cacher certains défauts et de valoriser certains traits du visage…. Tout en tenant chaud lorsqu’il fait froid.

– Et puis la barbe serait bien utile car elle arrêterait 95% des rayons U.V et protégerait ainsi du soleil et du vieillissement de la peau.[7]

– Elle éloignerait aussi les moustiques et serait un filtre contre les pollens et les allergies saisonnières.[8]

– Mais ce n’est pas tout, caresser sa barbe permettrait de mieux réfléchir et rendrait plus patient![9]

En un mot, Molière avait peut-être déjà vu juste qui faisait dire à Arnolphe dans l’École des Femmes : « du côté de la barbe est la toute puissance »… Insupportable diraient les féministes d’aujourd’hui.[10]

Les poils, une histoire vieille comme le monde ? Que sait-on ?

Au-delà des attributs qu’elle semble revêtir, la barbe n’a pas qu’une charge symbolique. Des études ont été menées et font découvrir avec étonnement tout ce que l’on peut trouver dans une barbe. Ainsi peut-on lire : « une étude affirme même qu’on retrouve dans la barbe des colonies de bactéries très proches de celles qu’on trouve dans nos waters … autant de saleté que sur les téléphones ou les poignées de porte »[11]. Mais que l’on se rassure puisque l’on sait que notre corps est composé de bactéries. Une étude suisse a même été menée comparant la barbe au pelage d’un chien… qui fait comprendre pourquoi les chiens se lèchent ![12]

Lorsque l’on se tourne du côté du sexe, la tendance est inverse. Influencé sans doute par la pub et la « porn-culture » le goût dominant s’affirme pour des physiques lisses et uniformes, synonymes de beauté. Ainsi, nombreux sont ceux qui rasent totalement leur toison génitale. Chez les femmes surtout, le poil n’a plus la côte… à part la barbe de leur amoureux !

« A l’heure de l’épilation définitive, du maillot intégral pour les femmes ou de l’élagage très poussé du sexe pour les hommes, on se demande bien si les poils ont encore leur place sur nos corps ».[13] Mais apparemment cette tendance concernerait surtout les jeunes. Les trentenaires et les quadras étant moins radicaux. Quant aux plus de 50 ans, pour eux « le sans poils relèverait d’une érotique pédophile peu appréciée. Un sexe poilu est un sexe assumé donc désirable »[14]. Rappelons-nous du succès du film Emmanuelle…

Malgré tout, même si garder ses poils réduirait le risque d’avoir certaines maladies, 1 femme sur 2 a déjà refusé de faire l’amour parce qu’elle n’était pas épilée.

Ce qui est clair c’est que de tout temps l’être humain a agi sur son corps pour transformer ce cadeau de la nature. Qu’il le lave, l’orne, le parfume, le coiffe, l’épile, le tatoue…

Alors quel avenir pour le poil ? Si l’on en croit le professeur d’ethnologie C. Bromberger[15], « il est plus probable que nous nous dirigions vers une société hygiéniste, aseptisée où le poil n’aura plus sa place. Dans les films de science-fiction ou les bandes dessinées l’homme du futur est plutôt glabre » que barbu et poilu. Beurk. Les poils c’est sale ! Même si c’est ce que pensent certains, ce mouvement semble pour l’instant être contrebalancé par une sorte de retour à la nature, avec le come-back de la barbe et même le refus de certaines femmes, dont des célébrités, d’obtempérer au diktat du sans-poils. Les voilà qui s’exposent « nature », poilues et débordant de créativité, avec les cheveux et les poils des aisselles teints de toutes les couleurs. Why not ? Alors que le marché de l’épilation féminine représentait déjà en 2014, en France, 163 millions d’Euros.[16]

Quant aux plus jeunes, ils sont la cible privilégiée du marketing capillaire. « Les ados capillo-centrés »[17], garçons comme filles, passent des heures dans la salle de bains, consomment nombre de produits pour travailler leur coiffure et maîtriser leurs mèches rebelles. « Justin Bieber a même vendu sa mèche aux enchères pour 29 000 euros ».[18]

De l’homme de Cro-Magnon à la poupée Barbie, la barbe, les cheveux, les poils sur le corps sont bien une histoire vieille comme le monde. Serait-ce un marqueur religieux, un accessoire de mode, un attribut de la virilité, une façon de se cacher ou de se conformer aux standards de beauté en vigueur ? Peut-être bien tout cela à la fois. En tout cas, comme l’explique le professeur de philosophie E.Fiat, alors que nous ne pouvons pas changer notre corps, « nos toisons et tignasses se laissent transformer sans récalcitrer… Nos poils seraient le lieu privilégié de notre puissance métamorphique ».[19] Il paraît en tout cas difficile de prédire si notre avenir terrestre sera celui de l’homme lisse et bionique, celui des femmes à barbes de toutes les couleurs ou de l’homme des cavernes cosmétisé de la tête aux pieds. Finalement, avec son film « La belle et la bête », Jean Cocteau avait déjà ouvert la voie.

Martine Konorski

[1] Madame Figaro-2/09/2016

[2] Avantages- 5/05/2021.

[3] Madame Figaro-2/09/2016

[4] Madame Figaro-2/09/2016

[5] Site Sympa : 10 raisons pour lesquelles la mode de la barbe s’est imposée dans le monde entier

[6] Ibid

[7] Neonmag : 5/11/2021

[8] Santé Magazine : 8/9/ 2021

[9] Site Sympa -10 raisons pour lesquelles la mode de la barbe s’est imposée dans le monde entier

[10] Madame Figaro-2/09/2016

[11] Neonmag – 5/11/2021

[12] Ibid

[13] Santé Magazine – 8/9/ 2021

[14] Ibid

[15] Madame Figaro-2/09/2016

[16] Site Hello Jam 30/04/2020

[17] Le Monde 16/08/2013 et France Culture 30/03/2020

[18] Ibid

[19] France Culture-12/11/2021

Tags : Martine Konorskipogonophiliepogonophobie
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Martine Konorski

Martine-Gabrielle KONORSKI est de nationalité française et suisse. Elle est auteure de poésie et musicienne. Ses derniers livres : Adesso (Black Herald Press), Instant de Terres (L’Atelier Du Grand Tétras), Et si c’était là-bas (livre d’artiste Les Cahiers du Museur-Coll. A côté), Bandes d’Artistes (livre d’artiste-Lieux Dits), Bethani suivi de Le bouillon de la langue (Le Nouvel Athanor), Une lumière s’accorde (Le Nouvel Athanor), Je te vois pâle … au loin (Le Nouvel Athanor- Prix Poésie Cap 2020), Sutures des Saisons (Caractères). Ses textes sont aussi régulièrement présents en revues. Martine-Gabrielle KONORSKI réalise également des créations au théâtre : soirée autour de Bethani au Théâtre Les Déchargeurs (Paris). Lectures musicales pour percussions et voix au Théâtre du Nord-Ouest (Paris). Accords, dialogue entre ses textes et la musique de Federico Mompou au Théâtre Les Déchargeurs. Par ailleurs, elle est administrateure de L’Union des Poètes & Cie, membre du comité de rédaction de la revue Les Carnets d’Eucharis, a été présidente du jury du concours « Faites des mots en prison » organisé par le Ministère de la justice. Après des études d’anglais, de droit et de sciences politiques, elle a mené une carrière internationale dans la communication en France et aux Etats-Unis. Elle est Chevalier dans l’Ordre national du mérite.

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