• S’abonner à Rebelle(s)
  • L’ours
  • Contact
vendredi 31 mars 2023
  • Connexion
  • S'enregistrer
Rebelle(s) Mag
  • Accueil
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Société(s)
  • Littéraire(s)
  • Spécial Ukraine
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Qui sommes-nous ?
Pas de résultat
Voir tous les résultats
  • Accueil
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Société(s)
  • Littéraire(s)
  • Spécial Ukraine
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Qui sommes-nous ?
Pas de résultat
Voir tous les résultats
Rebelle(s) Mag
Pas de résultat
Voir tous les résultats

Ni puzzle, ni Cut-up, l’énigmatique Christian Ganachaud ou le christianisme rebelle…

Jean-Luc Maxence Par Jean-Luc Maxence
1 mars 2021
dans Littéraire(s)
0
Partager sur FacebookPartager sur Twitter

Interview exclusive par Jean-Luc Maxence

Septembre-Octobre 2019

RBL : Votre dernier roman Le chant de la merveille du monde qui vient de paraître chez notre ami Pierre-Guillaume de Roux, est un monstre de grand talent, sans intrigue classique, s’appuyant sur une écriture superbe et exceptionnelle, « à l’interface d’un versant chrétien et d’un versant nihiliste » écrivez-vous p. 26. Vous, l’aliéné « crucifié », vous êtes à mes yeux un « réel mystique ». Je suis fasciné quand vous démembrez le soleil et sniffez des rais d’éblouissement. Après une quinzaine de titres parus, où vous situez-vous, Christian Ganachaud ?

CG : Comme vous le constatez, je suis « cadavérique comme un enfant du tiers-monde, ou un rescapé d’un camp » (p. 31). Je voudrais que la postérité me situe du côté des écrivains chrétiens et rebelles, proche de Bernanos, Bloy, Charles Péguy même ! Je suis (je me cite) un incendie à moi tout seul, mon livre est hyperréaliste. De New York à Bénarès, la route est la même et je suis « un convulsionnaire tranquille », incurable, « l’exemple vivant de la mort dépassée » (p. 41). J’avoue même, plus avant, que mon roman est écrit par un autiste qui déflore les saintes !

RBL : Dans votre livre, vous écrivez toujours à la limite de la grossièreté voulue, dans une zone louche entre Réel et Imaginaire, dans l’inconfort absolu après dix ans d’un silence asilaire, comme vous me le précisez dans votre dédicace amicale. Et cela me bouleverse, bouleverse la part du psychanalyste jungien que j’ai été durant des années, à l’écoute des toxicomanes, au Centre DIDRO, notamment quand vous écrivez : « La plus grande prostituée toxicomane de la clinique m’a payé mon crucifix en ivoire datant de la fin du XIXe siècle ». Et puis, plus avant, vous allez jusqu’à lâcher ce cri : « Je veux quelqu’un qui m’aide et non qui m’engloutisse ! ». En cela vous êtes dans un état de bête traquée, tenté sans cesse par l’idée du suicide. Vous nommez plusieurs fois un « désert de lumière » qui échappe à toute analyse, et vous criez à la face des vivants que nous sommes : « Je suis romancier, je suis catholique, c’est là qu’est le conflit ! ». Mais votre méthode d’écriture, le fameux C u t-u p cher à notre ami commun Patrice Delbourg, n’incite pas à « publier quoi que ce soit qui n’ait pas été vérifié et retouché » (p. 89). Oui, votre dernier livre est une tour de Babel de Rimbaud intégral, admirant Mathieu Bénézet « le plus grand poète contemporain » selon vous. Peut-on vous croire quand vous affirmez : « je respire à la surface des lueurs noyées » ?

CG : J’exprime de cette façon mes souffrances entremêlées de mutilation et de destruction. Et j’ajoute, désabusé : « une maison de fous est un bel endroit pour écrire ». C’est cela même que j’appelle : « mon désert de lumière ».

RBL : Quand vous nous dites (p. 85) : « Je n’ai cessé par périodes depuis l’âge de 15 ans de percevoir autour de moi Jésus-Christ et la Sainte Vierge et je ne m’en suis jamais caché à personne et tout Paris, au temps où j’étais libre, connaissait les visions mystiques que j’avais », êtes-vous dans le réel ou dans l’imaginaire ?

CG : Je vous réponds : « Mon travail est sans cesse interrompu par les cris, les demandes, les plaintes, les potins et autres délires de mes potes les dingues ». Ma formule : « j’écris l’interdit par un silence gazé » (p. 97) est une façon de vous répondre. Et, de même, mon énigmatique Journal.

RBL : Dans votre roman, j’ai relevé en vrac que vous découvrez « une neige éblouissante au sommet des ténèbres de la pensée », que vous traversez l’Apocalypse, sans faire de bruit, que vous aimez la poésie en tant que vibrations mortelles, que vous êtes « né mort »… Avez-vous des enfants ?

CG : J’ai quatre enfants et je me suis marié trois fois ! J’ai fait la manche, j’ai dormi sur les trottoirs, et dans les couloirs de métro.

RBL : Vous allez jusqu’à écrire, Christian Ganachaud, que vous êtes « couvert de la poussière des anachorètes », et que notre éditeur commun Pierre Guillaume de Roux est votre éditeur préféré depuis le directeur de La Différence ! Je n’en suis pas étonné. En dernière instance, vous êtes un « anarchiste mystique », et détaché, comme lui, de tout, sauf de l’héritage de son père, Dominique de Roux, « figure légendaire de l’édition », qui lui sert d’armure. Vous avez, vous aussi, semble-t-il, un père omniprésent rivé à l’âme. Et vous relevez d’ailleurs avec provocation que la Presse a dit de PGDR qu’il était « l’éditeur du diable » ! Cela vous émerveille, vous séduit.

Quand vous en appelez à Paul Cézanne, à Jim Morrisson, à Luc Dietrich, à Marie-Madeleine Davy, au soufi du coin, « à un catholicisme post-Auschwitz », au communard Bernard Noël pour une préface, à Allen Ginsberg, à Van Gogh bien sûr, vous tenez en échec « les psys, à l’intellect simiesque, qui se veulent les chamans urbains », ces psys, mes frères ennemis, « qui croient maîtriser l’histoire en cernant et nommant la folie, et ainsi résoudre l’énigme, mais c’est l’erreur qui fait le génie, et la question sans réponse qui fait l’homme » (p. 73).
Votre Chant de la merveille du monde, Christian Ganachaud, est une provocation réussie et fait de vous un des nôtres au royaume des rebelles ! Dont acte pour l’éternité. Prenons date, ensemble.

Tags : Christian Ganachaudcritique littéraireEditions Pierre Guillaume de RouxinterviewJean-Luc Maxence
Article précédent

The Dead Don’t Die – Mais nous, rassurez-vous, nous ne manquerons pas de mourir

Article suivant

Stanley Clarke – Interview exclusive de la légende de la basse

Jean-Luc Maxence

Jean-Luc Maxence

Poète, critique, journaliste et essayiste (René Guénon, Jean Grosjean ou Carl Gustav Jung), Jean-Luc Maxence (né en 1946) a dirigé au plan thérapeutique une association nationale de prévention des toxicomanies (le Centre DIDRO) et fut le président de la délégation Française de l’A.P.E (Association Européenne de Psychanalyse). Il co-dirige, avec Danny-Marc, son épouse, à Paris, les éditions Le Nouvel Athanor et la revue LES CAHIERS DU SENS (30 numéros parus en trente ans). Il a créé le bimestriel REBELLE(S). Son œuvre poétique faisait écrire à Pierre Seghers : "J’aime cette rage écrite, contenue, ce masque arraché".

Article suivant
Screenshot 2021 03 01 BAT Rebelles Num20 pdf Stanley Clarke

Stanley Clarke - Interview exclusive de la légende de la basse

Laisser un commentaire Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

Rares sont ceux qui méritent qu'on les contredisent
Ernst JüngerAphorismes
On ne s'approprie que ce qu'on a d'abord tenu à distance pour le considérer.
Paul Ricoeur
La vie est jeune. En vieillissant, elle se fait durée, elle se fait temps, elle se fait adieu.
Romain Gary
Il est vain de vouloir libérer la vie des mensonges de l'art.
Georges Bataille
Les bêtes sont des personnes muettes
Un buronnier, vacher de l’Aubrac
Les gens exigent qu'on ait un métier. - Comme si vivre n'en était pas un - et encore le plus difficile !
Emil Cioran
Quand un philosophe me répond, je ne comprends plus ma question.
Pierre Desproges
On ne peut expliquer un paradoxe, non plus qu'un éternuement. D'ailleurs le paradoxe n'est-il pas un éternuement de l'esprit ?
Emil Cioran
Ce que je veux dire, c'est qu'elle avait des yeux où il faisait si bon vivre que je n'ai jamais su où aller depuis.
Romain Gary
On ne peut savoir si l'homme se servira longtemps encore de la parole ou s'il recouvrera petit à petit l'usage du hurlement.
Emil Cioran
Je ne crois pas qu’il soit possible, même à ceux qui ont de grandes familles, de réussir s’ils n’unissent pas à leur talent naturel des qualités simples, solides, laborieuses, et surtout une légitime confiance dans le succès : il n’y a rien de tel en ce monde que de vouloir.
Charles Dickens
Accepter le seul risque raisonnable, celui de se dépasser.
Erri de Luca
L’art est une reconfiguration du champs des possibles
Jean-Louis Bischoff
Le destin de celui qui ne songe qu'à se mettre à couvert, c'est d'être survolé
Ernst JüngerAphorismes
L'homme le plus éclairé est le plus ébloui
Victor Hugo
Précédent
Suivant

Abonnez-vous à notre newsletter

Inscrivez-vous à notre newsletter !

Nous ne spammons pas ! Consultez notre politique de confidentialité pour plus d’informations.

Vérifiez votre boite de réception ou votre répertoire d’indésirables pour confirmer votre abonnement.

Rubrique(s)

  • 3 questions à…
  • Art(s)
  • Cinéma(s)
  • Classique(s)
  • Dossier du mois : Infos, complotisme et vérités alternatives
  • Dossier du mois : L'art peut-il influencer le monde ?
  • Dossier du mois : La foire aux cons : toujours d'actualité
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Edito(s)
  • Geekologie(s)
  • Inclassable(s)
  • L'impertinence poétique
  • Le Mag papier
  • Les gonzoïdes de l'Apocalypse
  • Les grands entretiens rebelle(s)
  • Littéraire(s)
  • Mémoires Démasqués
  • Philo-spirit(s)
  • Politique(s)
  • Rock and Folk et Musique(s)
  • Société(s)
  • Spécial Ukraine
  • Théatre – Spectacle(s)
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Voyage(s)
interviews 1 scaled

Articles récents

  • Brian Wilson des Beach Boys, le Mozart du Rock – Première partie 31 mars 2023
  • Poutine est un nouveau Staline, tout simplement 29 mars 2023
  • Fake news : qui détient la vérité ? 27 mars 2023
  • 1984, le Ministère de la vérité 27 mars 2023
  • Fake news: Trois questions à Jean-Luc Martin Lagardette 27 mars 2023
  • Plate, plate, plate la Terre ! 27 mars 2023
  • Vous en voulez vraiment, des nouvelles vraies ? 27 mars 2023
  • Le courage et la peur, en direct 27 mars 2023
  • Qui est Victor Von Doom? 27 mars 2023
  • Comprendre l’infodémie 27 mars 2023
  • La porte du paradis 27 mars 2023
  • Interview exclusive de Salah Al Hamdani – 1/2 24 mars 2023
  • Interview exclusive de Salah Al Hamdani – 2/2 24 mars 2023
  • Que reste-t-il de nos lectures ? 22 mars 2023
  • Ah ça ira, ça ira… ! 18 mars 2023
  • Le professeur inexistant (philosophie) 17 mars 2023
  • Pasolini, un rebelle au-delà de l’écran 16 mars 2023
  • Final de l’âge d’or des Rolling Stones : It’s Only Rock ‘n’ Roll 15 mars 2023
  • Nous revivrons 12 mars 2023
  • FECRIS, Novopashin encore et zombies ukrainiens 12 mars 2023
  • L’âge d’or des Rolling Stones : Goat’s Head Soup 8 mars 2023
  • Une réflexion sur la liberté et la sécurité autour du roman d’Ira Levin, Un Bonheur insoutenable 7 mars 2023
  • Comment se laisse-t-on séduire par le côté obscur ? 6 mars 2023
  • Un homme heureux 5 mars 2023
  • Accords et à cran, Aurélia Lesbros 5 mars 2023
  • Les bobos… anti-bobo ! 1 mars 2023
  • Peut-on concilier, comme Jésus de Nazareth, la liberté et l’autorité ? 28 février 2023
  • L’âge d’or des Rolling Stones : Exile On Main Street 27 février 2023
  • Que deviennent les opposants à la guerre en Russie ? 26 février 2023
  • Droits des femmes : Simone de Beauvoir avait tellement raison ! 22 février 2023
  • Le temps des féminismes 22 février 2023
  • L’Art d’Accommoder la Vieillesse 22 février 2023
  • Irréfutable essai de successologie 22 février 2023
  • L’âge d’or des Rolling Stones : Sticky Fingers 20 février 2023
  • La retraite à 64 ans ?  Qui va trinquer  ? 18 février 2023
  • Leonid Sevastianov : un Russe pour la paix 18 février 2023
  • Cruel Oncle Vania ! 12 février 2023
  • L’âge d’or des Rolling Stones : Get Yer Ya-Ya’s Out! 11 février 2023
  • Réforme des retraites : faux problème 11 février 2023
  • L’âge d’or des Rolling Stones : Let It Bleed 5 février 2023
  • Pourquoi tant de haine ? 3 février 2023
  • Scientifiques émotifs 29 janvier 2023
  • La camisole chimique menace les Français 29 janvier 2023
  • Affaire Dupont de Ligonnès : la secte qui n’en était pas une 25 janvier 2023
  • Cavalcade amoureuse au Théâtre de la Ville 22 janvier 2023
  • Génocide des Ouïghours : les musulmans ont aussi leurs collabos 20 janvier 2023
  • Perdu en mère 16 janvier 2023
  • Zhanargul Zhumatai : Un entretien dramatique avec une survivante d’un camp d’ethnie kazakhe qui pourrait bientôt “disparaître”. 13 janvier 2023
  • L’âge d’or des Rolling Stones : Beggar’s Banquet 13 janvier 2023
  • Des médiums et des cathos contre Poutine 13 janvier 2023
  • Ombres et lumières 8 janvier 2023
  • Fin du Cycle Disco : 1980 et au-delà… 8 janvier 2023
  • Des Saints, Sinon Rien – Censure d’aujourd’hui 7 janvier 2023
  • La poétique désabusée de « La Maman et la Putain » 6 janvier 2023
  • Réhabiliter Louis Aragon, rue de Bourgogne… 5 janvier 2023
  • Russie : nazis cannibales, Novopashin récidive ! 4 janvier 2023
  • La Douma, les nouvelles lois et le droit de buter de l’Ukrainien 3 janvier 2023
  • Cycle Disco : 1979, deuxième partie 2 janvier 2023
  • J’ai découvert Raël grâce au Figaro ! Une enquête de dingue ! (Ironie) 1 janvier 2023
  • Écouter, sentir… 31 décembre 2022
  • Poutine communiste ou tsariste ? D’Alexandre III à Joseph Staline 26 décembre 2022
  • Cycle Disco : 1979, première partie 26 décembre 2022
  • Chroniques familiales – extraits 25 décembre 2022
  • Coups de coeur au bout du monde – Chili 25 décembre 2022
  • SANS NOTES ! 25 décembre 2022
  • L’Église orthodoxe russe veut une loi contre les idéologies destructrices 18 décembre 2022
  • Que va faire le nouveau ministre de l’Éducation nationale ? 15 décembre 2022
  • Délestages extrêmes 15 décembre 2022
  • Laïcité et république 15 décembre 2022
  • Cycle Disco : 1978 (3ème partie) 12 décembre 2022
  • Un manteau russe ou ukrainien ? 11 décembre 2022
  • Arrêtez de me Weinstiner ! 8 décembre 2022
  • Quartier rouge 8 décembre 2022
  • Prendre la route 8 décembre 2022
  • La Dernière Page 8 décembre 2022
  • La France a du mal avec ses rebelles – 2/2 8 décembre 2022
  • La France a du mal avec ses rebelles – 1/2 8 décembre 2022
  • Fin du cycle Glam Rock : et pour quelques paillettes de plus 3 décembre 2022
  • En Russie, il est de plus en plus dangereux de créer une ONG 1 décembre 2022
  • Faut-il réhabiliter l’anarchie ? 1 décembre 2022
  • Sécurité partout, éducation nulle part 1 décembre 2022
  • Elephant 29 novembre 2022
  • Alain Jouffroy ou le dernier des surréalistes rebelles 29 novembre 2022
  • « Lettres à sa fille » – Calamity Jane 27 novembre 2022
  • En dépit de sa mère ! 27 novembre 2022
  • Le Père Boulier, un prêtre rouge combattant l’antisémitisme 26 novembre 2022
  • Cycle Glam Rock : pour une poignée de paillettes… 26 novembre 2022
  • Koltès à la Bastille 17 novembre 2022
  • L’Ukraine harasse Poutine 13 novembre 2022
  • Enfermé dehors 11 novembre 2022
  • Imagination active et transe chamanique – 3/3 10 novembre 2022
  • Imagination active et transe chamanique – 2/3 10 novembre 2022
  • Imagination active et transe chamanique – 1/3 10 novembre 2022
  • La musique, instrument de réconciliation des peuples 10 novembre 2022
  • Cycle Glam Rock : Roxy Music 7 novembre 2022
  • Nos années 80… Souvenirs, mon amour 5 novembre 2022
  • La loi des séries 5 novembre 2022
  • Les choses, une histoire de la nature morte 5 novembre 2022
  • C’était mieux avant ! 5 novembre 2022
  • Sur la trace des cyclos 4 novembre 2022
  • Un Christ à prix d’or ! 4 novembre 2022
  • Mentions légales site
  • S’abonner à Rebelle(s)
  • L’ours
  • Politique de cookies

© 2023

Pas de résultat
Voir tous les résultats
  • Accueil
  • Qui sommes-nous ?
  • Le Mag Papier
  • Geekologie(s)
  • Littéraire(s)
  • Société(s)
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Art(s)
  • Cinéma(s)
  • Rock and Folk et Musique(s)
  • Théatre – Spectacle(s)
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Edito(s)
  • Inclassable(s)
  • L’impertinence poétique
  • Littéraire(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Voyage(s)
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Contact

© 2023

Bienvenue !

OU

Login to your account below

Mot de passe oublié ? S'inscrire

Create New Account!

OU

Fill the forms bellow to register

*By registering into our website, you agree to the Terms & Conditions and Privacy Policy.
Tous les champs sont obligatoires. Se connecter

Récupérez votre mot de passe

Veuillez saisir votre nom d'utilisateur ou votre email pour réinitialiser votre mot de passe.

Se connecter
Social Media Auto Publish Powered By : XYZScripts.com
RBLs
Gérer le consentement aux cookies
Nous utilisons des cookies pour optimiser notre site web et notre service.
Les cookies fonctionnels Toujours activé
Le stockage ou l’accès technique est strictement nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de permettre l’utilisation d’un service spécifique explicitement demandé par l’abonné ou l’utilisateur, ou dans le seul but d’effectuer la transmission d’une communication sur un réseau de communications électroniques.
Préférences
Le stockage ou l’accès technique est nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de stocker des préférences qui ne sont pas demandées par l’abonné ou l’utilisateur.
Statistiques
Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement à des fins statistiques. Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement dans des finalités statistiques anonymes. En l’absence d’une assignation à comparaître, d’une conformité volontaire de la part de votre fournisseur d’accès à internet ou d’enregistrements supplémentaires provenant d’une tierce partie, les informations stockées ou extraites à cette seule fin ne peuvent généralement pas être utilisées pour vous identifier.
Marketing
Le stockage ou l’accès technique est nécessaire pour créer des profils d’utilisateurs afin d’envoyer des publicités, ou pour suivre l’utilisateur sur un site web ou sur plusieurs sites web ayant des finalités marketing similaires.
Gérer les options Gérer les services Gérer les fournisseurs En savoir plus sur ces finalités
Voir les préférences
{title} {title} {title}
Ce site web utilise des cookies. En continuant à utiliser ce site web, vous consentez à ce que des cookies soient utilisés. Visitez notre Politique de confidentialité et de cookies.
Êtes-vous sûr de vouloir déverrouiller ce poste ?
Unlock left : 0
Êtes-vous sûr de vouloir annuler l'abonnement ?