• S’abonner à Rebelle(s)
  • L’ours
  • Contact
jeudi 28 septembre 2023
  • Connexion
  • S'enregistrer
Rebelle(s) Mag
  • Accueil
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Société(s)
  • Littéraire(s)
  • Spécial Ukraine
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Qui sommes-nous ?
Pas de résultat
Voir tous les résultats
  • Accueil
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Société(s)
  • Littéraire(s)
  • Spécial Ukraine
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Qui sommes-nous ?
Pas de résultat
Voir tous les résultats
Rebelle(s) Mag
Pas de résultat
Voir tous les résultats

La Couleur de l’argent

Eric Desordre Par Eric Desordre
23 juin 2018
dans Art(s), Cinéma(s)
1
Partager sur FacebookPartager sur Twitter
La couleur de l’argent Martin Scorsese, 1986, Touchstone Pictures

L’histoire commence dans une salle de billard de Chicago où l’ancien grand joueur devenu représentant en alcools « Fast » Eddie Felson, alias Paul Newman, flashe sur un prodige immature qui lui rappelle ses propres années de gloire ; il y a bien longtemps. Vingt-cinq ans après les péripéties de l’Arnaqueur « The Hustler », remarquable film de Robert Rossen avec le même personnage déjà interprété par Newman, un « Fast » Eddie régénéré reprend du service en décidant de former le jeunot Vincent « Vince » Lauria à l’arnaque au billard. Manipulateur et retors, il arrive aisément à convaincre Vince de devenir son élève et de laisser tomber son boulot de vendeur de jouets dans un supermarché. On peut comprendre…

Voici donc partis sur la route pour six semaines Eddie Felson-Paul Newman et Vince Lauria-Tom Cruise, accompagnés de Carmen-Mary Elizabeth Mastrantonio, la petite amie de Vince. Eddie dit à Carmen : « Tu es le repos du guerrier ; je suis le prof d’arnaque ». La Cadillac blanche est le quatrième personnage. C’est, dans l’imaginaire américain, la « Rolls », la voiture du mec arrivé ; celui qui boit du whisky pur malt et sait en parler, a les tempes grises et le costard trois-pièces de bon faiseur. La « Caddy » dans laquelle « Fast » Eddie trimballait jusque-là ses caisses de liqueur haut de gamme d’un bar à l’autre devient alors le vrai home-sweet-home du trio en vadrouille vers Atlantic City, terme programmé de leur périple.

Ils commencent par écumer les salles sordides où se rassemblent des mecs louches dont on comprend rapidement qu’il vaut mieux savoir courir quand on les fréquente. Ils s’attaquent ensuite à de plus prestigieuses, en l’occurrence simplement peuplées de joueurs honnêtes – on appellerait cela des braves types dans notre jargon – des pères de famille (il n’y a pas de mères de famille, ni beaucoup de femmes) reconnaissant le beau jeu, rendant hommage à meilleur qu’eux et se faisant plumer sans avoir rien à y redire.

Peut-on exister sans fric ? Comment le peut-on, en plus, dans ce pays où on lui voue un culte comme nulle part ailleurs : l’Amérique ? Le Graal là-bas, c’est le dollar. Le plus grand succès de la presse magazine, c’est Fortune. La meilleure vente de l’année, c’est le numéro spécial de Forbes, où sont répertoriés et classés les nababs les plus riches du monde. Ce film, « la Couleur de l’argent », se fout de l’argent comme d’une guigne. L’argent qui passe de main en main, dont on voit la couleur et qu’on peut palper à l’instar des personnages du film, dont on sent la matière au creux de la paume, dont on entend le froissement entre les doigts lorsque les billets sont posés sur le bord du billard ; sur la bande de bois sombre qui encadre et surplombe de quelques centimètres le tapis de feutre vert.

Eddie et Vince poursuivent une quête. Pas la richesse. De fait, ils sont sans arrêt à se lancer des enveloppes pleines de billets à la figure, lors de leurs accès de fureur l’un envers l’autre – l’apprentissage est difficile pour le professeur autant que pour l’élève – montrant bien par là que l’argent n’est pas le moteur de l’action ; d’autant plus qu’ils se donnent bien du mal pour le gagner, cet argent qu’ensuite ils se jettent, pleins de rage et de mépris. Leur motivation, ce n’est pas non plus la gloire ou même la notoriété ; ils restent bien modestes dans ces villes tristes et miteuses avec leurs académies de billard hantées par de pauvres types à la ramasse, sapés comme l’as de pique. Galerie de portraits pathétiques d’une Amérique urbaine parsemée de loquedus, se réchauffant aux braseros brûlant dans des bidons troués aux coins des rues. Ce n’est pas James Bond au Casino Royale.

Nos héros ne sont même pas intéressés par la victoire, du moins telle qu’on l’entend généralement. Vince doit passer par une étape de débourrage ; il est un pur-sang ruant dans les barrières. Mais Eddie ne lui apprend pas à gagner ; ça, Vince sait faire ; il lui apprend à perdre. Vince doit apprendre à perdre pour ferrer les gogos. Et gagner ensuite, quand les enjeux ont monté suffisamment pour ratisser le bon, voire le très bon joueur qui n’a pas vu venir le samouraï, qui l’a confondu avec un paysan ou un bouffon quelconque.

Qu’est-ce donc qui les fait avancer, ces deux là ? En vérité, leur acmé existentielle, c’est la perfection. Ce sont des rônins, des samouraïs sans maître. Des Musashi* recherchant en permanence le geste parfait, le coup à trois bandes qui amènera la boule dans le trou aimantant l’esprit. Le corollaire de la perfection, c’est le pouvoir. La domination. La jouissance venant du secret empire sur l’autre joueur, celui se croyant fort mais n’étant qu’une proie inconsciente. La victime découvrira trop tard, stupéfaite, que la silhouette falote de l’autre côté de la table est de l’acier tranchant.

Contrairement à ce qu’on lit ici ou là à propos de « la Couleur de l’argent », le film n’est pas la relation d’une transmission. Car « Fast » Eddie ne parvient pas à enseigner à Vince qu’au grand tournoi d’Atlantic City, on ne filoute pas, on ne filoute plus. Qu’il s’agit d’un tournoi, qu’il s’agit d’Honneur. Que la droiture y est donc de mise. Vince a péniblement appris à perdre pour mieux gagner et continue à ânonner sa leçon. Croyant rendre hommage à son maître, perdant volontairement contre lui à une encablure de la finale pour un paquet de pognon, il ne fait qu’humilier Eddie. Ce dernier abandonne ensuite le tournoi, ne voulant pas cautionner une faute de goût, une trahison de l’esprit. On ne reproduit pas au Grand Tournoi ce qu’on s’est contraint à « réussir » dans des salles miteuses. La transmission est ratée. L’éducation à refaire. Le savoir-faire ne peut se substituer au savoir-être.

Pour Vince – il ne comprend rien ; comment comprendre ? – l’humiliation inconsciente de son aîné est la marque d’une transmission réussie. L’élève a dépassé le maître ! Il est maintenant prêt pour tous les exploits, tous les meurtres. Sur son constat d’échec et toute honte bue, Eddie vit quant à lui une renaissance. Il se retrouve tel qu’en ses jeunes années et repart pour un tour dans le délire du jeu. L’image finale du film est un arrêt sur image. Celle d’Eddie cognant dans les boules, extatique et ressuscité.

Face à Paul Newman et en dépit d’un sourire « Gibbs » exaspérant, Tom Cruise tient la route. S’il n’est pas écrasé par la classe magnétique sidérante de Newman, c’est qu’il doit bien y avoir un peu de talent là-dedans, sous le brushing très 80’s du bébé américain élevé aux corn-flakes et au lait enrichi. Finalement, il doit falloir être bon pour être aussi pénible. Mary Elizabeth Mastrantonio femme de tête à la ville et à l’écran le montre brillamment pour une de ses premières apparitions marquantes, en Carmen amante-mère sexy et dominatrice susurrant à l’oreille de Vince-Tom Cruise : « Vincent, you win one more game… you’re gonna be humping your fist for a long time ». A noter l’apparition en jeune fripouille redoutable (« hustler ») du déjà formidable acteur Forest Whitaker. C’est bien le grand cinéma américain : seconds rôles parfaits en personnages hantant les salles glauques. Bref un casting impeccable.

La Couleur de l’argent n’est peut-être pas le tout meilleur de Scorsese qui n’a pas tourné que des chefs-d’oeuvre (tout n’est pas dans sa filmographie de la même eau que Taxi Driver ou Raging Bull), mais c’est un très bon film. Malgré une médiocre bande son originale rassemblant des tubes (justement) oubliés des années 80, le film est vu avec plaisir. Le scénario est solide. Scorsese cadre en virtuose des plans époustouflants. Il vous fera apprécier le billard estampillé U.S. même si vous ne connaissiez rien et ne comprendrez jamais quoi que ce soit à ce jeu étrange qu’est le « nine-ball ». Comprendre n’a en l’espèce aucune importance.

Eric Desordre

*Musashi Miyamoto : le D’Artagnan, le Lagardère japonais. Personnage réel du dix-septième siècle, escrimeur quasi-divin, il tua en duel des dizaines d’adversaires avant de devenir un philosophe zen de la guerre dont les traités font encore référence aujourd’hui.

Tags : argentbillard américainfilm américainfilm de Martin ScorseseMary Elizabeth Mastrantonionine ballsPaul NewmanTom Cruise
Article précédent

Marvin Parks, du métro à la notoriété

Article suivant

Sur l’écriture – Charles Bukowski

Eric Desordre

Eric Desordre

Poète, photographe, Éric Desordre est né à Toulouse. Publié principalement aux éditions Unicité dirigées par François Mocaer, ses textes paraissent aussi régulièrement dans des revues littéraires de haut lignage poétique, entre autres : Arpa, Voix d'encre, Triages, Les Cahiers du Sens, Thauma, La Grappe. Au sein du comité de rédaction du magazine Rebelle(s), il est un guetteur d'inaperçu ayant le goût de décrire l'inobservé. Il se consacre à l'activité de « gazetier de la réflexion décalée », sans souci apparent de l’actualité.

Article suivant
1edc bukowski ecriture

Sur l’écriture - Charles Bukowski

Commentaires 1

  1. Michel ALLIBERT says:
    Il y a 5 ans

    Bonjour
    J’ai écrit tout le mal que je pensais sur la rengaine ringarde des psychanalystes ou autres contre la psychiatrie. Il faut virer les rédac-chefs. Il a fallu que j’arrive aux chroniques de lecture pour découvrir les trois magnifiques articles de Eric Désordre qui à eux seuls me réconcilient avec le thème choisi pour ce numéro. Splendide, ou plutôt tout simplement normal de modération, de pondération, de respect de la chose commentée. Que ce soit sur les docs de Depardon ou sur le N&B US Shoc corridor (1963). Mais surtout d’Edouard Zarifian, “Les jardiniers de la Folie” qui nous retrace les voies déjà anciennes (1994) de la psychiatrie, sa volonté d’aide à la personne en souffrance.
    J’avais déjà apprécié des articles précédents du même auteur. Je ne peux que lui dire tout le respect que j’ai pour ses productions. Et m’interroger sur son absence de l'”ours”.
    Heureusement qu’il sauve ce numéro. Michel ALLIBERT

    Répondre

Laisser un commentaire Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

Rares sont ceux qui méritent qu'on les contredisent
Ernst JüngerAphorismes
On ne s'approprie que ce qu'on a d'abord tenu à distance pour le considérer.
Paul Ricoeur
La vie est jeune. En vieillissant, elle se fait durée, elle se fait temps, elle se fait adieu.
Romain Gary
Il est vain de vouloir libérer la vie des mensonges de l'art.
Georges Bataille
Les bêtes sont des personnes muettes
Un buronnier, vacher de l’Aubrac
Les gens exigent qu'on ait un métier. - Comme si vivre n'en était pas un - et encore le plus difficile !
Emil Cioran
Quand un philosophe me répond, je ne comprends plus ma question.
Pierre Desproges
On ne peut expliquer un paradoxe, non plus qu'un éternuement. D'ailleurs le paradoxe n'est-il pas un éternuement de l'esprit ?
Emil Cioran
Ce que je veux dire, c'est qu'elle avait des yeux où il faisait si bon vivre que je n'ai jamais su où aller depuis.
Romain Gary
On ne peut savoir si l'homme se servira longtemps encore de la parole ou s'il recouvrera petit à petit l'usage du hurlement.
Emil Cioran
Je ne crois pas qu’il soit possible, même à ceux qui ont de grandes familles, de réussir s’ils n’unissent pas à leur talent naturel des qualités simples, solides, laborieuses, et surtout une légitime confiance dans le succès : il n’y a rien de tel en ce monde que de vouloir.
Charles Dickens
Accepter le seul risque raisonnable, celui de se dépasser.
Erri de Luca
L’art est une reconfiguration du champs des possibles
Jean-Louis Bischoff
Le destin de celui qui ne songe qu'à se mettre à couvert, c'est d'être survolé
Ernst JüngerAphorismes
L'homme le plus éclairé est le plus ébloui
Victor Hugo
Précédent
Suivant

Abonnez-vous à notre newsletter

Inscrivez-vous à notre newsletter !

Nous ne spammons pas ! Consultez notre politique de confidentialité pour plus d’informations.

Vérifiez votre boite de réception ou votre répertoire d’indésirables pour confirmer votre abonnement.

Rubrique(s)

  • 3 questions à…
  • Art(s)
  • Cinéma(s)
  • Classique(s)
  • Dossier du mois : Infos, complotisme et vérités alternatives
  • Dossier du mois : L'art peut-il influencer le monde ?
  • Dossier du mois : La foire aux cons : toujours d'actualité
  • Dossier du mois : Le monde d'aujourd'hui est-il le même ?
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Edito(s)
  • Geekologie(s)
  • Inclassable(s)
  • L'impertinence poétique
  • Le Mag papier
  • Les gonzoïdes de l'Apocalypse
  • Les grands entretiens rebelle(s)
  • Littéraire(s)
  • Mémoires Démasqués
  • Philo-spirit(s)
  • Politique(s)
  • Rock and Folk et Musique(s)
  • Société(s)
  • Spécial Ukraine
  • Théatre – Spectacle(s)
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Voyage(s)
interviews 1 scaled

Articles récents

  • Le tâtonnement comme art de diriger 22 septembre 2023
  • Stan Laurel 22 septembre 2023
  • Baisers volés 22 septembre 2023
  • Fleetwood Mac, deuxième partie 19 septembre 2023
  • Le gardien d’éternités 10 septembre 2023
  • Agrume solaire 1 septembre 2023
  • Chroniques de la rage ordinaire 1 septembre 2023
  • Les herbes sèches 1 septembre 2023
  • Fleetwood Mac, première partie 27 août 2023
  • Clapotis des accents 24 août 2023
  • Les algues vertes 24 août 2023
  • Kigali, le 18 juin 2187 – Lettre à ma mère – Du racisme 6 août 2023
  • L’album Back In Black de AC/DC 5 août 2023
  • Liberté de religion : la France épinglée par les Etats-Unis 29 juillet 2023
  • The Clash – Rock The Casbah 24 juillet 2023
  • La Maison de la Parole 24 juillet 2023
  • Le monde d’aujourd’hui est-il le même? 15 juillet 2023
  • Un Tintin ordonné 15 juillet 2023
  • Les nouveaux rats 15 juillet 2023
  • Mads in France 15 juillet 2023
  • Louis Aragon était-il pédophile ? 15 juillet 2023
  • De la kétamine pour traiter les « sortants de sectes » 15 juillet 2023
  • L’homme augmenté est un homme diminué 15 juillet 2023
  • Le « Prométhée moderne » 15 juillet 2023
  • On achève bien les poètes 15 juillet 2023
  • Imitation of Life 15 juillet 2023
  • Transmutation 15 juillet 2023
  • Les Scouts : une façon d’être au monde 15 juillet 2023
  • Quand le fric disparaît, la ploutocratie triomphe 15 juillet 2023
  • Physical Graffiti – Led Zeppelin 14 juillet 2023
  • Welfare au théâtre 14 juillet 2023
  • Sous l’étonnant pavé, la plage ! 14 juillet 2023
  • Se passer de fric ? 9 juillet 2023
  • Quelques expériences 9 juillet 2023
  • Cycle Led Zeppelin : Houses Of The Holy 9 juillet 2023
  • Le journal fou d’une infirmière 9 juillet 2023
  • Le feu aux poudres 2 juillet 2023
  • Paris est fièr(e) 2 juillet 2023
  • Kenneth White 28 juin 2023
  • La poésie caribéenne partagée II 20 juin 2023
  • Que reste-t-il de nos lectures ? (chap.5) 20 juin 2023
  • Cycle Led Zeppelin : IV 17 juin 2023
  • Choisissez ! 13 juin 2023
  • Les gourous de la santé naturelle 13 juin 2023
  • Que reste-t-il de nos lectures ? (chap.4) 13 juin 2023
  • Cycle Led Zeppelin : III 10 juin 2023
  • La poésie caribéenne partagée 9 juin 2023
  • Sonia Backes – mensonges et autres vérités 7 juin 2023
  • Guerre en Ukraine : Savva Toutounov, l’un des plus extrémistes des orthodoxes russes est français 4 juin 2023
  • Cycle Led Zeppelin : II 3 juin 2023
  • La trilogie Bill Douglas 1 juin 2023
  • Le but, c’est le chemin.   1 juin 2023
  • Ernst Jünger 1 juin 2023
  • Ce que “rebelle” inspire à ChatGPT 28 mai 2023
  • Histoire d’un ogre 28 mai 2023
  • De la fée électricité à la “watture” 28 mai 2023
  • Cycle Led Zeppelin : I 21 mai 2023
  • Peut-on opposer réalité et métaphysique ? 20 mai 2023
  • L’heure de la rébellion contre le management a-t-elle sonné ? 20 mai 2023
  • « EL » ou l’anarchisme couronné 20 mai 2023
  • My heart belongs to Daddy 18 mai 2023
  • Ecoles Steiner, le CDJM estime que France 2 a violé ses obligations déontologiques 14 mai 2023
  • Le Christ s’est arrêté à Eboli 13 mai 2023
  • Que reste-t-il de nos lectures ? 13 mai 2023
  • Nietzsche versus Dark Vador 13 mai 2023
  • Brian Wilson des Beach Boys, le Mozart du Rock – Troisième partie et fin 9 mai 2023
  • Pantin 6 mai 2023
  • Kurt Gödel 6 mai 2023
  • Le retour de Dionysos : un refoulé douloureux 6 mai 2023
  • Que reste-t-il de nos lectures ? 6 mai 2023
  • Mémoires Démasqués : chapitre 9 27 avril 2023
  • Toi du monde – 2/2 27 avril 2023
  • Days of Heaven 27 avril 2023
  • Toi du monde – 1/2 27 avril 2023
  • Immersion dans le domaine de la lutte : L’établi 23 avril 2023
  • L’histoire du corps en sciences humaines 23 avril 2023
  • Brian Wilson des Beach Boys, le Mozart du Rock – Deuxième partie 23 avril 2023
  • Taïwan, le non-pays le plus démocratique des pays d’Asie 20 avril 2023
  • Némésis ou la tragédie de la responsabilité 16 avril 2023
  • Boire l’encre 16 avril 2023
  • Aux gnons, citoyens ! 16 avril 2023
  • La solitude 16 avril 2023
  • Louis Nucéra 2 avril 2023
  • Brian Wilson des Beach Boys, le Mozart du Rock – Première partie 31 mars 2023
  • Poutine est un nouveau Staline, tout simplement 29 mars 2023
  • Fake news : qui détient la vérité ? 27 mars 2023
  • 1984, le Ministère de la vérité 27 mars 2023
  • Fake news: Trois questions à Jean-Luc Martin Lagardette 27 mars 2023
  • Plate, plate, plate la Terre ! 27 mars 2023
  • Vous en voulez vraiment, des nouvelles vraies ? 27 mars 2023
  • Le courage et la peur, en direct 27 mars 2023
  • Qui est Victor Von Doom? 27 mars 2023
  • Comprendre l’infodémie 27 mars 2023
  • La porte du paradis 27 mars 2023
  • Interview exclusive de Salah Al Hamdani – 1/2 24 mars 2023
  • Interview exclusive de Salah Al Hamdani – 2/2 24 mars 2023
  • Que reste-t-il de nos lectures ? 22 mars 2023
  • Ah ça ira, ça ira… ! 18 mars 2023
  • Le professeur inexistant (philosophie) 17 mars 2023
  • Pasolini, un rebelle au-delà de l’écran 16 mars 2023
  • Final de l’âge d’or des Rolling Stones : It’s Only Rock ‘n’ Roll 15 mars 2023
  • Nous revivrons 12 mars 2023
  • FECRIS, Novopashin encore et zombies ukrainiens 12 mars 2023
  • L’âge d’or des Rolling Stones : Goat’s Head Soup 8 mars 2023
  • Une réflexion sur la liberté et la sécurité autour du roman d’Ira Levin, Un Bonheur insoutenable 7 mars 2023
  • Comment se laisse-t-on séduire par le côté obscur ? 6 mars 2023
  • Un homme heureux 5 mars 2023
  • Accords et à cran, Aurélia Lesbros 5 mars 2023
  • Les bobos… anti-bobo ! 1 mars 2023
  • Peut-on concilier, comme Jésus de Nazareth, la liberté et l’autorité ? 28 février 2023
  • L’âge d’or des Rolling Stones : Exile On Main Street 27 février 2023
  • Que deviennent les opposants à la guerre en Russie ? 26 février 2023
  • Droits des femmes : Simone de Beauvoir avait tellement raison ! 22 février 2023
  • Le temps des féminismes 22 février 2023
  • L’Art d’Accommoder la Vieillesse 22 février 2023
  • Irréfutable essai de successologie 22 février 2023
  • L’âge d’or des Rolling Stones : Sticky Fingers 20 février 2023
  • La retraite à 64 ans ?  Qui va trinquer  ? 18 février 2023
  • Leonid Sevastianov : un Russe pour la paix 18 février 2023
  • Cruel Oncle Vania ! 12 février 2023
  • L’âge d’or des Rolling Stones : Get Yer Ya-Ya’s Out! 11 février 2023
  • Réforme des retraites : faux problème 11 février 2023
  • L’âge d’or des Rolling Stones : Let It Bleed 5 février 2023
  • Pourquoi tant de haine ? 3 février 2023
  • Scientifiques émotifs 29 janvier 2023
  • La camisole chimique menace les Français 29 janvier 2023
  • Affaire Dupont de Ligonnès : la secte qui n’en était pas une 25 janvier 2023
  • Cavalcade amoureuse au Théâtre de la Ville 22 janvier 2023
  • Génocide des Ouïghours : les musulmans ont aussi leurs collabos 20 janvier 2023
  • Perdu en mère 16 janvier 2023
  • Zhanargul Zhumatai : Un entretien dramatique avec une survivante d’un camp d’ethnie kazakhe qui pourrait bientôt “disparaître”. 13 janvier 2023
  • L’âge d’or des Rolling Stones : Beggar’s Banquet 13 janvier 2023
  • Des médiums et des cathos contre Poutine 13 janvier 2023
  • Ombres et lumières 8 janvier 2023
  • Fin du Cycle Disco : 1980 et au-delà… 8 janvier 2023
  • Des Saints, Sinon Rien – Censure d’aujourd’hui 7 janvier 2023
  • La poétique désabusée de « La Maman et la Putain » 6 janvier 2023
  • Réhabiliter Louis Aragon, rue de Bourgogne… 5 janvier 2023
  • Russie : nazis cannibales, Novopashin récidive ! 4 janvier 2023
  • La Douma, les nouvelles lois et le droit de buter de l’Ukrainien 3 janvier 2023
  • Mentions légales site
  • S’abonner à Rebelle(s)
  • L’ours
  • Politique de cookies

© 2023

Pas de résultat
Voir tous les résultats
  • Accueil
  • Qui sommes-nous ?
  • Le Mag Papier
  • Geekologie(s)
  • Littéraire(s)
  • Société(s)
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Art(s)
  • Cinéma(s)
  • Rock and Folk et Musique(s)
  • Théatre – Spectacle(s)
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Edito(s)
  • Inclassable(s)
  • L’impertinence poétique
  • Littéraire(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Voyage(s)
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Contact

© 2023

Bienvenue !

OU

Login to your account below

Mot de passe oublié ? S'inscrire

Create New Account!

OU

Fill the forms bellow to register

*By registering into our website, you agree to the Terms & Conditions and Privacy Policy.
Tous les champs sont obligatoires. Se connecter

Récupérez votre mot de passe

Veuillez saisir votre nom d'utilisateur ou votre email pour réinitialiser votre mot de passe.

Se connecter
Social Media Auto Publish Powered By : XYZScripts.com
RBLs
Gérer le consentement aux cookies
Nous utilisons des cookies pour optimiser notre site web et notre service.
Les cookies fonctionnels Toujours activé
Le stockage ou l’accès technique est strictement nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de permettre l’utilisation d’un service spécifique explicitement demandé par l’abonné ou l’utilisateur, ou dans le seul but d’effectuer la transmission d’une communication sur un réseau de communications électroniques.
Préférences
Le stockage ou l’accès technique est nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de stocker des préférences qui ne sont pas demandées par l’abonné ou la personne utilisant le service.
Statistiques
Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement à des fins statistiques. Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement dans des finalités statistiques anonymes. En l’absence d’une assignation à comparaître, d’une conformité volontaire de la part de votre fournisseur d’accès à internet ou d’enregistrements supplémentaires provenant d’une tierce partie, les informations stockées ou extraites à cette seule fin ne peuvent généralement pas être utilisées pour vous identifier.
Marketing
Le stockage ou l’accès technique est nécessaire pour créer des profils d’utilisateurs afin d’envoyer des publicités, ou pour suivre l’utilisateur sur un site web ou sur plusieurs sites web ayant des finalités marketing similaires.
Gérer les options Gérer les services Gérer les fournisseurs En savoir plus sur ces finalités
Voir les préférences
{title} {title} {title}
Ce site web utilise des cookies. En continuant à utiliser ce site web, vous consentez à ce que des cookies soient utilisés. Visitez notre Politique de confidentialité et de cookies.
Êtes-vous sûr de vouloir déverrouiller ce poste ?
Unlock left : 0
Êtes-vous sûr de vouloir annuler l'abonnement ?