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Accueil » Interview Massimo Introvigne : de la loi “séparatisme”

Interview Massimo Introvigne : de la loi “séparatisme”

Rédaction Par Rédaction
6 février 2021
dans Les grands entretiens rebelle(s), Philo-spirit(s), Société(s), Tribune(s) Libre(s)
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Massimo Introvigne est sociologue des religions. Avocat et professeur, il a écrit plus d’une centaine d’ouvrages sur les nouveaux mouvements religieux, les sectes, l’islam et la radicalisation, l’Église catholique et les mouvements sataniques, et occupé plusieurs fonctions officielles liés à la défense de la liberté de conscience et de religion, tant auprès du gouvernement italien qu’auprès d’institutions internationales. En octobre 2020, il co-écrivait avec d’autres universitaires un livre blanc sur le projet de loi sur le séparatisme (comme on l’appelait à ce moment-là) intitulé « Séparatisme », religions et « sectes », questions de liberté religieuse. Plus récemment, avec le président de Human Rights Without Frontiers Willy Fautre, et le professeur de droit Frédéric-Jérôme Pansier, il co-écrivait le livre blanc Laïcité, comment la préserver, dans lequel une étude minutieuse de la laïcité était développée, et de nombreuses pistes pour améliorer le projet de Loi confortant le respect des principes de la République proposées.

Rebelle(s) : Vous avez participé à la publication de deux livres blancs sur le projet de Loi confortant le respect des principes de la république. Qu’est-ce qui vous a motivé à travailler sur le sujet ?

Massimo Introvigne : Je suis avant tout un spécialiste des nouveaux mouvements religieux et j’ai suivi les controverses françaises sur le sujet des sectes pendant les 25 dernières années, y compris en instaurant un dialogue avec la MIVILUDES quand j’étais, en 2011, le Représentant de l’OSCE (Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe) pour la lutte contre le racisme, la xénophobie et la discrimination religieuse. Je me suis aussi intéressé au terrorisme et à la radicalisation en milieu islamique, sur lesquels j’ai publié plusieurs livres, et j’ai été aussi l’un des membres de la « Commission pour un Islam italien » du Ministère de l’Intérieur italien. Ce sont donc des questions du plus grand intérêt pour moi, et encore une fois ce qui se fait en France est observé avec attention à l’échelle internationale.

R : Dans le livre blanc intitulé “La laïcité, comment la préserver”, vous soutenez que la loi de 1905 pourrait être modernisée pour correspondre à la réalité d’aujourd’hui. Pouvez-vous nous dire comment elle pourrait être modifiée, et ce qui d’après vous motiverait ce changement ?

Il faut, par exemple, limiter le pouvoir des préfets lorsqu’ils décident quels groupes peuvent s’inscrire dans la loi de 1905 et bénéficier de ses avantages. Il faut éviter les jugements de valeur sur les croyances et les modalités d’expression des rites, adopter des critères non restrictifs et non discriminatoires

M.I. : J’ai partagé certaines inquiétudes avec plusieurs collègues français et européens au sujet du projet de loi et des dangers possibles pour la liberté religieuse. Mais cela ne signifie pas que je suis en principe hostile à l’idée d’une révision du système français des associations cultuelles. Tout d’abord, ayant travaillé moi-même à l’idée d’un « Islam italien » avec nos autorités (dans une commission où la moitié des membres étaient d’ailleurs musulmans), je suis sensible à la lutte contre des dérives extrémistes dans l’Islam français – dérives qui existent aussi dans d’autres pays européens – à condition, bien entendu, de ne pas diaboliser l’Islam dans son ensemble.

De plus, j’ai étudié pendant des décennies la laïcité française, sujet tout à fait fascinant. Elle ne conviendrait pas aux États-Unis ou à l’Italie, mais en France c’est une tradition qui s’est établie, et qui a été acceptée comme règle du jeu par les joueurs principaux, y compris les grandes églises. Je ne propose pas d’abandonner ce modèle, ni le système de la loi de 1905. Ce que je propose est de le moderniser. Tous savent que ces modèles ont été créés à partir d’une notion de religion qui avait comme modèle les religions judéo-chrétiennes. La situation du pluralisme religieux en 2021 n’est pas celle de 1905. La notion même de religion a évolué.

Toucher aux lois sur les religions n’est pas quelque chose que les États démocratiques font tous les ans. C’est délicat, mais c’est aussi une grande occasion. Si l’on veut vraiment que des associations musulmanes et d’autres utilisent la loi de 1905 plutôt que la loi de 1901, il faut rendre la première attractive. Il faut, par exemple, limiter le pouvoir des préfets lorsqu’ils décident quels groupes peuvent s’inscrire dans la loi de 1905 et bénéficier de ses avantages. Il faut éviter les jugements de valeur sur les croyances et les modalités d’expression des rites (la notion de « rite » aussi à bien évolué dans les sciences humaines depuis 1905), adopter des critères non restrictifs et non discriminatoires, donc respectueux de la diversité religieuse, et écouter la manière dont une religion se définit elle-même et gère ses spécificités.

R : Avant que le projet de loi ne soit connu dans ses détails, et avant qu’il ne soit soumis au Conseil d’État, vous aviez co-écrit un livre blanc de mise en garde. Quels étaient les risques que vous et vos co-auteurs aviez identifiés, et pensez-vous que le Conseil d’État, dans son avis du 7 décembre, y a correctement répondu ?

M.I. : Oui, sur plusieurs points précis, nos préoccupations étaient les mêmes que celles qui ressortent de l’avis du Conseil d’État. Nous demandions d’élargir l’éventail des cas dans lesquels l’enseignement à domicile resterait possible. La littérature sur ce phénomène montre que dans la plupart des cas, les familles qui préfèrent l’enseignement à domicile ne sont nullement « extrémistes », et que les familles musulmanes que l’on pourrait appeler « radicalisées » en représentent un pourcentage très faible.

Nous critiquions une approche sécuritaire et policière appliquée à la religion en général. Surtout, nous étions absolument contraires à l’introduction d’une possibilité de dissolution administrative rapide d’associations religieuses qui, sans avoir incité à la haine ou à la violence, auraient été accusées d’agissements contraires à la « dignité humaine » où d’avoir exercé des « pressions psychologiques » sur leurs membres. Évidemment, tout le monde a à cœur la dignité humaine. Mais, comme le fait remarquer dans ses ouvrages de référence le sociologue allemand Hans Joas, des notions comme « dignité humaine » ou « droits humains » sont aujourd’hui soumises à plusieurs interprétations conflictuelles.

Aux États-Unis le Secrétaire d’État Pompeo avait même nommé une commission de scientifiques pour donner au gouvernement des éclaircissements sur ce que veut dire aujourd’hui la notion de « droits humains », initiative critiquée mais qui montre en tout cas que la notion est loin d’être consensuelle. Le droit à l’avortement ou le droit des personnes de même sexe au mariage font-ils partie des droits humains ? Si la réponse est oui, un hôpital catholique qui refuse l’avortement ou des églises qui ne célèbrent que des mariages entre un homme et une femme nient-elles la dignité humaine des femmes et des homosexuels ? Si la réponse est encore oui, qu’en-est-il de leur liberté religieuse ? En leur refusant le sacerdoce, l’Église catholique viole-t-elle la dignité humaine des femmes ?

Notre idée n’était pas d’apporter des réponses à ces questions difficiles mais de montrer qu’admettre une dissolution administrative d’associations religieuses sur la base de la notion floue et difficile à cerner de la dignité humaine était dangereux. Même problème pour les « pressions psychologiques », une notion qui cache la théorie disant que certains mouvements religieux pratiqueraient le « lavage de cerveau », une notion rejetée comme non scientifique par une très grande majorité de ceux qui étudient les religions contemporaines – et que la minorité qui l’accepte a bien du mal à définir. Ici encore, on aurait donné à l’autorité administrative la possibilité de dissoudre des associations religieuses sur la base d’une notion vague et controversée.

R : Quels sont les dangers que vous avez pu identifier dans cette loi à l’heure actuelle ?

M.I. : Heureusement, après l’intervention du Conseil d’État le gouvernement a supprimé les dispositions les plus critiquables. Mais il est toujours possible que ces dispositions sorties par la porte rentrent par la fenêtre au Parlement sous forme d’amendements.

De plus, ce qui est dangereux est un discours public, dans une matière éminemment délicate comme la religion, où l’on a parfois l’impression que l’on dit n’importe quoi et l’on ne tient pas compte du risque d’offenser des communautés religieuses entières. Récemment la Ministre Déléguée Marlène Schiappa a accusé les « évangéliques » venant des États-Unis de demander aux femmes des certificats de virginité avant le mariage. C’est un phénomène bien connu dans certains milieux islamiques, mais tout à fait inconnu chez les protestants évangéliques. Il n’y a pas de certificats de virginité chez les évangéliques, et il serait bien que les personnes du gouvernement qui s’expriment sur le sujet des religions soient mieux informées, voire mieux formées. De notre côté, nous faisons notre possible pour les aider dans cette tâche.

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