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Sonia Backes – mensonges et autres vérités

Michaël Sens Par Michaël Sens
7 juin 2023
dans Politique(s)
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Sonia Backès
Sonia Backès

A trop écrire sur les fous de Dieu en Russie, ou les fous de Vladimir, on en oublierait presque qu’ici aussi, dans notre belle France démocratique, nous avons aussi notre lot de politiciens pas très recommandables. Des politiciens de peu, pour ainsi dire. Qui donc sera la cible de notre plume aujourd’hui ?

Elle s’appelle Sonia, Backes de son grand nom, elle nous vient de Nouvelle-Calédonie, mais n’est pas Kanak pour deux sous (un bon woke nous dirait qu’elle est une Caldoche bien colonialiste, mais je ne suis pas un bon woke…). Elle est secrétaire d’État à la Citoyenneté, au ministère de l’Intérieur. C’est Sébastien Lecornu, notre actuel ministre des Armées, qui l’a ramenée dans le giron de la macronie, après l’avoir rencontrée lorsqu’il était ministre des Outre-mer dans le gouvernement Castex. Bonne pioche ?

Un transfuge à double tranchant

Eh bien, disons qu’elle a quelques avantages. D’abord, c’est un transfuge. Elle qui lors des élections de 2017, s’était refusée à appeler à choisir entre Macron et Marine Le Pen, a finalement quitté le giron des LR pour se joindre à Emmanuel Macron. C’est un retournement de veste, mais aussi une prise de choix. Ensuite, il y a la question importante de la Nouvelle-Calédonie. Sonia Backes est la présidente de la Province Sud, la province la plus peuplée, la plus riche et la plus « loyaliste » (comprendre « anti-indépendantiste ») de Nouvelle-Calédonie. Et pour faire rempart aux velléités kanaks de s’émanciper de la tutelle française, Backes semble un atout intéressant. Et puis on dit qu’elle est combattante, qu’elle ne craint pas de monter au front. Elle fera un bon remplacement pour Marlène Schiappa, la précédente tenante du titre.

Autant de qualités que je trouve personnellement très discutables : les transfuges ont prouvé leur capacité à trahir, sa place dans l’anti-indépendantisme néo-calédonien en font un personnage très clivant, et son attitude combattante font qu’elle ne s’embarrasse pas de la vérité, un « atout » à double tranchant, comme nous allons le voir. Mais je ne suis pas dans les petits papiers d’Emmanuel Macron, et je n’ai pas mon mot à dire quand il s’agit de choisir les membres de son gouvernement.

Dès le début de son arrivée au ministère ça commence mal. Elle choisit comme conseiller spécial son ami Brieuc Frogier, qui avait soutenu Eric Zemmour aux élections. Faut dire que Sonia Backes, sur beaucoup de questions, ferait passer Gérald Darmanin pour un homme de gauche. Ça fait tache et la polémique fait que Brieuc doit démissionner après seulement quelques jours en poste.

Sonia Backes la cumularde

Puis il y a la question du cumul des mandats. La règle qu’Emmanuel Macron avait adoptée pour tous ses ministres était celle du non-cumul des mandats, notamment avec les mandats exécutifs locaux. Edouard Philippe en arrivant au gouvernement avait dû quitter la mairie du Havre. Darmanin la mairie de Tourcoing. Même Lecornu a dû finalement quitter la tête de la collectivité départementale de l’Eure. Mais pas Backes. Elle garde la tête de la Province Sud, et pour une raison inconnue de nous, Emmanuel Macron se refuse à lui appliquer la règle. Au-delà du problème d’éthique posé par les règles à application variable, d’autres questions se posent : une très pragmatique, c’est qui paye pour les voyages nombreux de la ministre entre Nouméa et la Capitale, afin qu’elle puisse assurer ses deux mandats à la fois ? Que ce soit la Province Sud ou le ministère de l’Intérieur, ce sont des contribuables qui supportent le coût supplémentaire induit par ce cumul. Logée dans des appartements somptueux Place Beauvaux, dotée d’un chauffeur particulier et d’une équipe de sécurité, la secrétaire d’Etat coûte déjà cher. Mais il semblerait que le contribuable doive aussi payer pour de longs, récurrents, nombreux et coûteux voyages qui en fait ne font que limiter le temps que la ministre déléguée a pour s’occuper de sa fonction.

Sonia Backes non indépendantistes tweet

L’autre problème du cumul, c’est la question calédonienne. Clivante avais-je dit ? Eh bien, certaines scènes sont parlantes. Le 13 avril, le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin reçoit une délégation indépendantiste de Nouvelle-Calédonie Place Beauvau. Le but est de trouver des terrains d’entente, des moyens d’avancer en prenant en compte les revendications des indépendantistes, de ne pas rejeter en bloc leurs idées et leurs buts, de leur faire savoir qu’on est prêt à changer d’avis parfois, afin d’arriver à un consensus. Pourtant, au même moment, Sonia Backes est avec la délégation non-indépendantiste (loyaliste) et Aurore Bergé, la Présidente des macronistes à l’Assemblée nationale, et donne des garanties de la part du parti de la majorité en faveur des positions non-indépendantistes, complètement à rebours de la volonté de dialogue et d’ouverture du gouvernement. Les Kanaks apprécieront.

#Supermytho

Puis il y a la Scientologie. La secrétaire d’État ayant hérité dans son portefeuille de la Miviludes (Mission Interministerielle de Vigilance et de Lutte contre les Dérives Sectaires), elle se répand dès l’automne 2022 dans les médias, avec force détails, sur son enfance dont une partie se serait passée au sein de l’Église de Scientologie, dont sa mère fut une fidèle sa vie durant, avant de décéder en juillet 2022. Elle s’en serait « échappée » alors qu’elle n’avait que 13 ans, dans une histoire rocambolesque d’auto-stop pour rejoindre la Nouvelle-Calédonie (bon j’en rajoute un peu, la partie auto-stop ne concernerait que sa « fuite » du siège anglais de l’Église de Scientologie). Sauf que le 19 avril, le journal Le Monde met en doute l’histoire religieuse de la secrétaire d’État. Extrait : « Le retour de Sonia Backès en Nouvelle-Calédonie pour rejoindre son père fut-il seulement motivé par une volonté de fuir la Scientologie ? Des échanges de messages avec sa mère permettent d’en douter. Ainsi, le 10 juillet 2022, quelques jours après sa nomination au gouvernement, Sonia Backès lui écrit, par texto : « Hello, Je voulais aussi te dire un truc. Dans mon portefeuille j’ai “la lutte contre les dérives sectaires”. Il est donc probable que Mediapart s’empare du fait que tu es scientologue. Je suis en train de voir comment traiter le sujet pour que ça ne soit pas explosif. Mais je vais sans doute devoir dire que je suis partie de chez toi à cause de ça. Et que je refuse que tu abordes le sujet avec moi… » Réponse maternelle : « Il vaudrait mieux que tu dises la vérité à savoir que tu vis en Calédonie par choix et que tu n’abordes pas de problèmes religieux quel qu’il soit avec nous. » La « vérité », Catherine, la mère de Sonia Backès, décédée le 23 juillet 2022, n’est plus là pour la dire. »

Le journaliste du Monde revient aussi sur les déclarations de Backès prétendant qu’elle aurait coupé les Ponts avec sa mère pendant 5 ans après avoir rejoint son père en Nouvelle Calédonie pour fuir la Scientologie, en mars 1990. « Plusieurs documents, dont Le Monde a pu prendre connaissance, nuancent, néanmoins, le récit de la secrétaire d’Etat. A-t-elle vraiment été en rupture totale avec sa mère pendant cinq ans, comme elle l’a répété ? Des photos de vacances, prises entre 1990 et 1993, lorsqu’elle avait entre 14 et 17 ans, montrent qu’elle a continué de voir sa mère pendant cette période. Sur une image de l’hiver 1990, on la voit avec sa mère et son demi-frère, tous en tenue de ski – son frère a alors 3 ans. Sur une autre, elle pose avec le même frère, pour les 40 ans de leur mère, en 1991. Une autre encore, en 1992, les montre tous les trois au bord d’une piscine à Nouméa. » Bref, l’histoire de Backès est bidon, et destinée à émouvoir les journaux et à éviter un amalgame médiatique entre les croyances de sa mère et les siennes.

Un peu plus tard, dans une interview donnée à « Réel média », récemment créé par Bernard de la Villardière, à l’audience assez confidentielle, Sonia doit mettre de l’eau dans son vin, et son récit change : elle n’a plus « coupé les ponts avec sa mère pendant 5 ans », mais à la demande de son père, Sonia aurait « quelques années plus tard (…) repassé quelques jours par-ci par-là avec [sa] mère, mais sans jamais recréer de liens réels ». Pourtant, le journaliste du Monde ne parle pas de « quelques années plus tard » mais bien de photos chaque année depuis 1990 (donc l’année de son départ), montrant Sonia et sa mère en vacances.

Bon, elle n’a pas menti sur toute la ligne, sa mère était bien scientologue. Mais s’il n’y avait que les scientologues… Il y a aussi les musulmans.

L’Aïd lui fait s’emmêler les pinceaux

A la mi-mai, des policiers contactent par email des chefs d’établissements scolaires de l’académie de Toulouse afin de mesurer l’absentéisme scolaire le jour de l’Aïd-El-Fitr (célébration de la fin du Ramadan), qui a eu lieu cette année le 21 avril. La démarche fait scandale, certains accusant les policiers de pratiquer un fichage des musulmans, d’autres reprochant la stigmatisation de l’Islam et de ses pratiquants dans cette initiative malheureuse. Il semble que les noms des élèves n’étaient cependant pas demandés, mais le Ministère de l’Intérieur reconnait cependant une maladresse avant de tenter de se justifier.

Rapidement, c’est Sonia Backes qui est chargée de répondre aux accusations : « Le ministère de l’Intérieur et des Outre-mer étudie régulièrement l’impact de certaines fêtes religieuses sur le fonctionnement des services publics, et notamment au sein de la sphère scolaire. C’est dans ce cadre qu’une évaluation du taux d’absentéisme constaté à l’occasion de la fête de l’Aïd el- Fitr a pu être demandée, dans certaines académies, aux chefs d’établissement. » Sonia Backes semblait donc reconnaitre que les directives venaient du Ministère de l’Intérieur.

Mais le lendemain, son cabinet change de version, et finalement les questions ne seraient pas nées d’une «demande du ministère de l’Intérieur», mais d’une initiative « autonome », « maladroite » et « malheureuse d’un responsable du renseignement qui fait ses recherches ». Et le cabinet d’ajouter qu’il « ne sait pas non plus où, quand ni comment ce type de demandes auraient été formulées dans le passé ».

Et juste après, la Ministre répond aux questions des députés avec une troisième version, mélange pas très savant des deux précédentes : « Oui, il y a un suivi sur tout le territoire national du déroulement général des fêtes de religieuses dans la sphère publique. Et il y a un suivi pour toutes les fêtes religieuses, grandes messes catholiques, processions et célébrations pour la communauté juive […]. Et ne pas suivre l’impact de ces fêtes religieuses serait une faute des services de renseignement. D’ailleurs, ce suivi a été fait également dans les précédents quinquennats, quelle que soit la majorité et c’est bien normal. Donc oui, la demande a peut-être été formulée de manière maladroite mais non, demander des informations générales sur l’impact des fêtes religieuses ne signifie pas de quelconques intentions agressives à l’égard d’une quelconque religion. »

Bon, on a quand du mal à croire que toutes les fêtes religieuses fassent l’objet du même traitement, d’autant plus que pour la plupart des fêtes catholiques, elles sont fériées et donc personne ne va à l’école ces jours-là, et qu’on n’a jamais entendu parler d’une telle demande pour les fêtes hindouistes, sikhs, et surtout pas juives. Quoi qu’il en soit, au-delà de la polémique, ce qui est à noter ici, c’est l’intégrité somme toute défaillante qui permet de changer les versions au gré des jours, voire des heures.

Les hommes (et femmes) politiques doivent mentir ?

Pour conclure en forme de citations multiples, je suis un peu comme Tocqueville qui disait « Je n’aime pas l’idée d’être protégé par ces bergers qui ne sont pas de meilleurs animaux que nous, et qui bien souvent en sont de pires. » Je n’ai pas non plus envie de me résigner à la description de Camus de « la société politique contemporaine : une machine à désespérer les hommes. » Ni à celle de mon plus contemporain chanteur Orelsan qui chanta le plus simplement du monde : « Les hommes politiques doivent mentir sinon tu voterais pas pour eux. »

Alors Saint Macron, faites quelque chose, suivez le conseil avisé de Georges Bernard Shaw : « Les hommes politiques et les couches doivent être changés souvent… et pour les mêmes raisons. », si vous ne voulez pas passer à la postérité comme le patron de ceux qui n’auraient jamais dû gouverner.

Tags : islamMiviludesNouvelle-CalédonieScientologieSonia Backès
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Michaël Sens est le pseudonyme d'un auteur à la célébrité modérée, chroniqueur dans plusieurs magazines, adepte pour Rebelle(s) de l'écriture pamphlétaire modérée, un style créé ad hoc, grand pourfendeur de pas grand chose, grand promoteur de la raison quand elle n'est pas d'Etat, et amoureux des libertés publiques.

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