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Scientifiques émotifs

La transition écologique : un diagnostic partagé, pas les solutions

contributeurs ponctuels Par contributeurs ponctuels
29 janvier 2023
dans Société(s)
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Scientifiques émotifs
Un représentant du continent de plastique – consulat de San Sebastian ©Eric Desordre

Il n’y a plus grand monde aujourd’hui pour nier le réchauffement climatique et ses conséquences déjà dramatiques. Globalement le diagnostic est partagé, le GIEC ayant fait le job, apportant à chaque nouveau rapport des éléments supplémentaires. A ce diagnostic partagé porté à l’échelle de la planète, les solutions proposées sont diverses, parfois contradictoires, et on peut en débattre tant les combinaisons des possibles sont nombreuses et marquées par l’incertitude affectant les relations internationales. Comme dans le cas de la Covid, on est en droit d’attendre beaucoup des scientifiques dans l’aide à la décision pour les pouvoirs politiques. La métropole toulousaine accueille ainsi nombre de scientifiques de haut niveau qui ont publié récemment une tribune1 consacrée aux modalités de la relance post-pandémie intitulée « Il est temps de ne pas reprendre ».

Les lieux communs ne font pas une politique

On est tout d’abord alléché par l’ambition du papier qui nous enjoint de « limiter, avec tous les moyens possibles, l’immense crise sociale et géopolitique qui s’annonce ». Bien sur, Bruno Latour est invoqué, pour un « inventaire de ce à quoi nous tenons et de ce que nous voulons au contraire arrêter. » Là, on a le sentiment qu’un grand débat s’annonce, qu’un mouvement d’ampleur a été initié s’appuyant sur la rationalité.

Pourtant, quelques lignes plus loin, nous est donnée une liste de solutions présentées comme des vérités, ne donnant lieu à aucun débat, brillant par l’absence de tout argument scientifique. Bref, des solutions locales à un problème international, une liste de lieux communs.

Au final, cette docte assemblée se donne des objectifs « simples » : « Imposons une refondation institutionnelle, écologique et citoyenne qui offre enfin l’occasion à toutes et à tous de s’épanouir (…) » sans que jamais on voit en quoi peut constituer cette refondation institutionnelle, sans qu’on comprenne si c’est à l’échelle internationale ou de Castelnaudary. Et surtout, alors que la démocratie est totalement absente du raisonnement, s’épanouir apparaît au final comme la valeur politique essentielle défendue.

Arguant de leur statut de scientifiques, les signataires voudraient faire croire que leurs convictions politiques ont valeur de vérité. Moralement auto-surélevés, ils oublient qu’être scientifique ne rime pas avec bienfaiteur de l’humanité, qu’affirmer de façon non contradictoire être porteur de bons sentiments ne préjuge pas de l’efficience écologique et constitue une attitude pour le moins douteuse au plan scientifique. Werner von Braun était un excellent scientifique grâce à qui il est devenu possible de bombarder et d’incendier des populations civiles londoniennes. Il ne manque pas de scientifiques de haut niveau devenus piètres politiciens, pas nécessairement bien intentionnés.

Enfin, les scientifiques ne sont reconnus comme tels – individuellement – que dans leur spécialité. Alors que, dans une tribune de juillet 2021 publiée par Libération, ces mêmes scientifiques de l’Atecopol récidivent : «J’ai peur et je voudrais que tout le monde prenne conscience de ce qui nous attend si nous continuons ainsi» ?2 peut-on lire dans cette nouvelle tribune.

La distribution de mauvais points n’est qu’un préalable

On aurait pu en rester là, mais en décembre 2022 est publié sous le timbre Atecopol un article intitulé « Pourquoi faut-il mettre Total Energies hors d’état de nuire ? »3 , signé des mêmes auteurs que la tribune dans Libération. Là, on se dit qu’avec un tel sujet, plus question d’en rester aux alertes, généralités et autres utopies. On est dans le dur cette fois et une rhétorique de grande puissance salvatrice autant qu’injonctive va sûrement être développée.

Et ça commence fort puisque, selon les auteurs, «  l’évolution historique du capitalisme nous a conduits à la situation présente où l’activité d’entreprises privées peut décider du sort de l’humanité toute entière. Total Energies illustre malheureusement cette situation. ». S’ensuit un discours visant à mettre en évidence que Total produit une politique d’offre et ne fait pas que répondre à la demande, passant sous silence par la même occasion les plastiques, les engrais de synthèse, détergents et autres médicaments, etc. Et puis Total fait du greenwashing en affirmant qu’il a un meilleur plan que d’arrêter l’ouverture de nouvelles exploitations, en pratiquant l’escroquerie à la comptabilité carbone, etc. Sur ce plan, c’est vrai mais cela met-il « en péril l’habitabilité du monde ? ». Voilà pour le constat.

A la question de savoir s’il existe des pistes d’amélioration, les auteurs nous délivrent un message d’espoir : oui, on peut agir localement en nationalisant Total puis, quand l’État en aura pris le contrôle, on lui intimera d’arrêter d’exploiter de nouveaux gisements, contribuant ainsi à respecter les accords de Paris grâce à un déclin annuel de production. Et puis on pourra supprimer « les utilisations du pétrole qui ne sont pas utiles « pour vivre » et qui ne sont en aucun cas des « besoins » au sens strict, comme rouler en SUV, faire des croisières ou du tourisme à l’autre bout du monde, développer des casques de réalité virtuelle, etc. »

Toujours selon les auteurs, pour parvenir à ce montage, on a besoin de toute la pression des citoyens et citoyennes « mise en œuvre envers l’État et/ou Total Energies pour stopper l’ouverture de ces gisements ». «La nationalisation ne garantit pas que les bonnes décisions soient prises, car il faut également que l’État agisse pour le bien commun ce qui n’est, pour l’instant, pas évident. »

Autres representants du continent de plastique ©Eric Desordre
Autres représentants du continent de plastique – consulat du Guilvinec ©Eric Desordre

Le monde est complexe, les solutions compliquées

Pour répondre à cet article, on est tenté de suivre la piste naturelle de la critique point par point, et on ne manque pas d’arguments, alors allons-y. Qu’on le veuille ou non, la demande d’énergies fossiles est bien là, et pour quelques décennies encore. Mettre fin, d’initiative nationale, à de nouvelles extractions, c’est se tirer une balle dans le pied. On y perd en souveraineté en laissant la place aux autres majors beaucoup moins scrupuleuses avec le risque de devoir s’approvisionner au prix fort. Une nationalisation, avant même de produire d’éventuels effets bénéfiques, coûtera cher au contribuable en indemnisation des actionnaires. Faut-il aussi – double peine – que l’État s’endette plus encore, n’a-t-on pas de meilleur usage de nos impôts ? Et qui va contrôler que l’État agit pour le bien commun ? Total, multinationale dont le siège est en France, doit déjà aujourd’hui respecter la réglementation française ou encore les règles de l’OMC. La nationalisation n’amènera rien sur ce plan. Total pratique le greenwashing, le lobbying sans scrupule, d’accord, mais ses formidables moyens financiers issus de l’exploitation pétrolière pourront à l’avenir être orientés vers les énergies durables, ce que la compagnie a déjà bien commencé à faire car, en matière d’appréciation des risques et de prospective, Total n’a pas beaucoup de leçons à recevoir.

Le pathos mobilise t-il efficacement ?

Plutôt que de développer une critique point par point, une autre lecture de cet article est possible, s’appuyant sur une catégorisation des émotions telle que la développe Pierre Rosanvallon4 ; nous nous plaçons ainsi sur le même terrain que nos scientifiques émotifs. Les émotions d’intellection tout d’abord, très utilisées dans l’article, destinées à rendre le monde plus lisible en proposant des solutions simples aux questions complexes, un anti Edgard Morin en quelque sorte. Partant de constats sur le capitalisme mondial, on passe aux quelques compagnies pétrolières pouvant « mettre en péril l’habitabilité du monde » et enfin entretenir l’illusion que nationaliser Total va changer quoi que ce soit. L’émotion d’intellection s’accompagne ici d’une forme de localisme. Pierre Rosanvallon distingue ensuite les émotions d’action auxquelles il associe le dégagisme, qui caractérise aussi la nationalisation dans le sens de l’éviction des actionnaires privés au « profit » du peuple, représenté par l’État dont on se sera assuré qu’il œuvre pour le bien commun. Et enfin, les émotions de position qui consistent à jouer sur le sentiment d’abandon, d’invisibilité en émulant le ressentiment. C’est le seul intérêt dans l’article d’incriminer ceux qui roulent en SUV, font des croisières ou du tourisme à l’autre bout du monde, développent des casques virtuels, etc. Il y a ceux qui peuvent le faire (les boucs émissaires) et ceux qui ne peuvent pas (les victimes). C’est encore à la pression plutôt que la participation citoyenne qu’il est fait appel, pour y mélanger les émotions d’action et de position.

Cette trilogie d’émotions caractérisent pour Pierre Rosanvallon le populisme. Au fond, c’est bien comme cela qu’est tourné l’article qui ne peut convaincre celui qui en ferait une lecture scientifique mais qui, beaucoup plus certainement, vise à exploiter l’aura du scientifique adressée au vulgum pecus.

Alors que la tribune de 2021 « Il est temps de ne pas reprendre» en référait à plusieurs reprises à Bruno Latour, on pourrait y ajouter une citation du même Bruno Latour à propos des écologistes dont on s’étonne qu’elle n’ait pas été reprise par le collectif de scientifiques : « C’est quelque chose d’extraordinaire, le manque d’élaboration intellectuelle dont ils font preuve. Quand les communistes travaillaient les questions, ils le faisaient sur tous les points : philosophie, droit, histoire des sciences, science. Pas toujours de la bonne façon mais enfin ! On ne peut pas dire que cela a été le cas avec les écologistes qui ignorent même les fondateurs de leur propre domaine »5.

Si Bruno Latour réussissait – lui seul – à faire dialoguer des disciplines qui s’ignorent, nos scientifiques émotifs ont donné l’illusion de réaliser la même performance par simple assemblage de disciplines relevant des sciences dures comme des sciences molles. De ces articles et tribunes, ne retenons qu’un seul message clair : « ne pas laisser le système capitaliste progresser dans la transition écologique et, ainsi, ne pas nous priver de notre fonds de commerce. »

Emmanuel Gambet

1 Le Monde, 7/05/2020

2 https://www.liberation.fr/idees-et-debats/tribunes/face-a-lurgence-climatique-les-scientifiques-doivent-exprimer-leurs-emotions-20210716_YCWROVHFGBGQVLNXB4C2D6IIJI/

3 https://blogs.mediapart.fr/atelier-decologie-politique-de-toulouse/blog/151222/pourquoi-faut-il-mettre-totalenergies-hors-d-etat-de-nuire

4 Le siècle du populisme ​ Pierre Rosanvallon, Seuil, 01/2020, p. 16

5 Laurent Godmer et David Smadja, L’oeuvre de Bruno Latour : une pensée politique exégétique, 2012 (https://www.cairn.info/revue-raisons-politiques-2012-3-page-115.htm ), déjà cité dans « Bruno Latour :  Faire dialoguer des disciplnes qui s’ignorent ». https://rebelles-lemag.com/2022/12/08/la-france-a-du-mal-avec-ses-rebelles-2-2/

Tags : AtecopolBruno Latourécologie politiqueEdgar MorinEmmanuel GambetgreenwashingPierre RosanvallonTotal Energiestransition écologique
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