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L’économie de la culture doit aussi se préparer au monde d’après

Patrick Boccard Par Patrick Boccard
15 février 2022
dans Dossier du mois : L'art peut-il influencer le monde ?, Société(s)
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© Lamiot – Wikimedia CC

Les décisions prises par le Gouvernement à la fin de l’année 2020 entraînant l’arrêt de la plupart des activités culturelles, ont suscité des prises de position tranchées. La culture est donc une fois de plus sacrifiée a déploré sur les réseaux sociaux le violoncelliste Gautier Capuçon, résumant un sentiment très largement répandu sur la planète culture. De son côté le réalisateur et acteur Mathieu Kassovitz a précisé que: l’ouverture des salles de cinéma et des musées est le dernier problème qu’on devrait avoir. Pour les salles de cinéma, ce sont deux familles: Gaumont et Pathé, qui tiennent toutes les salles, on ne va pas pleurer pour eux. Le vrai problème c’est pour les gens qui perdent leur métier, leur restaurant, leur magasin, ça c’est un vrai problème.
Au-delà de ces critiques, souvent recevables, certains professionnels de la culture ont, pour certains, pris des initiatives visant à entretenir,le processus créatif et à maintenir le lien avec le public. Ces dispositions ont montré leur pertinence à court terme. Néanmoins, les mutations à venir vont imposer des transformations profondes et dépasser les polémiques.

Pour remédier aux effets de la crise sur le monde de la culture, la plupart des pays ont initié trois grands types d’interventions : un soutien direct aux artistes et aux professionnels de la culture, un soutien indirect aux industries culturelles et créatives, un renforcement de la compétitivité des industries culturelles et créatives 1.

Un plan de soutien mal conçu et mal reçu

En France, alors que la Ministre de la culture a qualifié la pandémie de « cataclysme », l’État a consenti de nombreux efforts pour limiter la casse: au total, l’accompagnement économique et financier, les mesures transversales (exonérations de charges, prêts garantis…) et les mesures spécifiques (fonds de sauvegarde, fonds d’urgence…) ont représenté plus de 7 milliards € pour 2020. Malgré ces investissements, le monde culturel a critiqué les pouvoirs publics pour leurs décisions de report ou d’annulation d’évènements et de manifestations artistiques, mais surtout celles imposant la fermeture des musées, théâtres, cinémas, salles de spectacles, bibliothèques et autres espaces ouverts au public. Ces mesures ont été interprétées comme une marque de désintérêt pour le secteur culturel.

Il est vrai que plusieurs erreurs ont été commises. En assimilant les activités culturelles à celles considérées comme «non essentielles», ou en s’abstenant de toute mention du mot «culture» dans des présentations et déclarations officielles, certains responsables gouvernementaux ont blessé des professionnels et des citoyens. Ils ont d’autre part donné l’impression de sous-estimer les efforts consentis par la majorité des acteurs culturels pour éviter les risques de contamination: contrôle des gestes barrières, encadrement des flux de circulation du public, réduction des jauges, désinfection des locaux… alors que ces dispositions ont évité le développement de «clusters» dans les établissements et manifestations culturels. Cette sensation de mépris s’est doublée de la perception d’une inéquité née d’un traitement plus favorable accordé à d’autres secteurs moins précautionneux, tels que les grandes surfaces, les moyens de transport publics ou les lieux de culte… autorisés à poursuivre l’accueil du public.

Les membres du Gouvernement ont par ailleurs fait preuve d’une méconnaissance des modalités de fonctionnement du secteur de la culture, annonçant des décisions de fermeture quelques jours seulement avant leur mise en œuvre, semblant ignorer l’existence des contraintes spécifiques à ce secteur, comme la programmation des actions de promotion ou le recrutement de personnels temporaires qui nécessitent plusieurs semaines de préparation. La faute est donc grande de la part des pouvoirs publics d’avoir traité la culture comme les autres «commerces» et de s’être montrés sourds aux arguments convoqués par les tenants du maintien de l’activité.

La culture n’est pas un bien de consommation comme un autre

Mais ces maladresses – ou ce mépris – ne doivent pas dispenser les responsables du secteur d’engager une transformation profonde de leur modèle, au risque d’acculer au chômage une grande partie des artistes et des professionnels concernés et d’entraîner la disparition de nombreuses structures. En France, le poids économique de l’activité culturelle s’élève à 47milliards € et représente 2,3 % de l’économie, l’audiovisuel occupant le 1er rang, suivi de l’édition, du spectacle vivant et de la musique. Ce sont 670 000 personnes, dont 1/3 sont des travailleurs indépendants, qui travaillent dans les 150 000 entreprises et les 38 000 associations intervenant dans le secteur, dont une part non négligeable assure l’exportation de la culture hexagonale.

Si les enjeux purement économiques revêtent une importance capitale, ils ne sauraient faire oublier le rôle crucial que l’industrie de la culture joue vis-à-vis des citoyens. Dans une période où les repères traditionnels ont tendance à s’effacer sous la profusion des signes émis de toutes parts, où les «communs» sont l’objet de tentatives de destruction et où l’avenir n’est plus qu’une insondable menace, notamment pour les jeunes générations, la culture est un outil puissant de cohésion collective et d’accomplissement individuel. Elle permet de raconter l’histoire, de fêter le présent et d’imaginer l’avenir. Elle aide à définir et à voir le monde au travers des yeux des autres. Elle est un espace de création de lien, d’inclusion et d’insertion, où se retrouvent publics, professionnels, amateurs, bénévoles, donateurs ou investisseurs. Elle donne accès à des expériences émotionnelles ou intellectuelles, plaisantes ou dérangeantes. Elle favorise l’expression de la créativité, la construction de l’identité, dans le partage.

Les incertitudes qui pèsent sur l’avenir du secteur culturel sont à la hauteur de la diversité de ces atouts et de l’ampleur de ces responsabilités. Mais les intervenants culturels ne disposent pas de la liberté de manœuvre dont profitent les acteurs des autres secteurs d’activité qui peuvent, lorsque surgissent les difficultés, recourir aux remèdes des réductions budgétaires, des plans de licenciements, des délocalisations… Car la culture n’est pas «un bien de consommation comme un autre» et le processus qui règle la production, la diffusion et la consommation des biens qu’elle produit doivent répondre à des logiques spécifiques.

Des modèles adaptés au monde culturel d’après

Dans ce contexte, les responsables de l’économie culturelle doivent préparer de nouveaux modèles adaptés au monde d’après. S’il est difficile d’avoir des certitudes sur ce que sera l’avenir, plusieurs pistes ont été identifiées par les spécialistes du secteur 2. L’une d’entre elles consiste à éviter les dérives inflationnistes et l’alourdissement des coûts et à mobiliser de nouvelles sources et formes de financement, inspirées des innovations en cours en matière de collecte de fonds, de parrainage et de mécénat de compétences.

Une autre priorité doit tenir dans la recherche d’un nouvel équilibre entre les moyens de diffusion de la culture ; les innovations réalisées pour exploiter l’énorme potentiel d’internet et des réseaux sociaux ne sauraient entraîner l’abandon des canaux «classiques» d’accès aux espaces et manifestations culturelles, au risque de briser la relation essentielle entre une œuvre et ses publics. La maîtrise des outils numériques doit également constituer un objectif prioritaire: leur monétisation contribuera à la viabilité financière des projets et à l’accès aux publics éloignés de la culture.
Les grands projets internationaux devront laisser une plus grande place aux initiatives à ancrage plus local permettant de valoriser les ressources et les talents de proximité, de favoriser la diversité et d’encourager la co-construction de projets avec le tissu associatif et les communautés d’amateurs et de bénévoles.

Ces évolutions pourront s’appuyer sur l’appétence pour la culture exprimée pendant le premier confinement par une grande partie des Français, notamment par ceux qui n’y avaient pas accès jusqu’ici. Ainsi le monde culturel travaillera utilement à la réparation d’une société de citoyens encore trop occupés à consommer plutôt qu’à penser et à créer, et à l’émergence d’une culture commune, respectueuse de l’identité de chacun et génératrice de valeurs partagées.

 

1. Voir le «Guide de politiques pour un secteur créatif résilient» publié par l’UNESCO https://unesdoc.
unesco.org/ark:/48223/pf0000374632

2. https://www.culture.gouv.fr/Actualites/Retrospective-la-crise-sanitaire-rebat-les-cartes-dumonde-de-la-culture

Tags : accueil du publiccultureéconomie de la culturepandémiePatrick Boccardpolitique culturelle
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Patrick Boccard

Patrick Boccard

Patrick BOCCARD, de nationalité franco-suisse, est né en 1951 à Bourguignons, village situé à la frontière de la Champagne et de la Bourgogne, dans une famille de minotiers. Il est marié à la poéte Martine KONORSKI et père de trois enfants. De formation littéraire, il a effectué son parcours dans la communication et les ressources humaines, dans des institutions et des entreprises françaises et internationales, puis comme consultant indépendant. Il collabore régulièrement à des journaux et revues. Il est l’auteur de « Les femmes ne sont pas faites pour courir » consacré aux discriminations de genres dans le sport (Ed. Belin, 2015).

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