• S’abonner à Rebelle(s)
  • L’ours
  • Contact
dimanche 28 mai 2023
  • Connexion
  • S'enregistrer
Rebelle(s) Mag
  • Accueil
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Société(s)
  • Littéraire(s)
  • Spécial Ukraine
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Qui sommes-nous ?
Pas de résultat
Voir tous les résultats
  • Accueil
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Société(s)
  • Littéraire(s)
  • Spécial Ukraine
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Qui sommes-nous ?
Pas de résultat
Voir tous les résultats
Rebelle(s) Mag
Pas de résultat
Voir tous les résultats

Brian Wilson des Beach Boys, le Mozart du Rock – Deuxième partie

Le chef d'oeuvre

William H. Miller Par William H. Miller
23 avril 2023
dans Rock and Folk et Musique(s)
0
Partager sur FacebookPartager sur Twitter

Beach Boys - Pet SoundsFin 1965, commencent les séances d’enregistrement de ce qui deviendra l’un des plus grands albums de Rock de tous les temps, certains disent même le meilleur : Pet Sounds. Elles se termineront en avril 1966, ce qui est totalement inhabituel pour l’époque : 4 mois d’enregistrement !

Des dires de Brian Wilson, le déclic pour le concept de cet album lui est venu par l’écoute de l’album Rubber Soul des Beatles. Impressionné par l’unité de l’ensemble (habituellement, un album était seulement considéré comme une compilation de chansons distinctes et n’ayant pas de rapport entre elles), il eut l’idée d’aller encore plus loin sur cette voie et a déclaré à sa femme : “Je vais faire le meilleur album de Rock de tous les temps”

Beach Boys “Pet Sounds”, La musique

Il va voir les choses en grand pour y arriver. Pendant que les Beach Boys sont en tournée au Japon, il convoque le gratin des musiciens de studio de Californie, réunis en un groupe nommé The Wrecking Crew, et travaille sans relâche, des mois durant, selon une méthode inédite à l’époque. Arrivant chaque matin avec ses notes, il prend le temps de discuter avec chaque musicien pour lui faire comprendre ce qu’il attend et lui demander comment il pourrait faire pour l’atteindre. Il a le plus grand respect pour chacun d’eux. Bien avant la fin de ces mois de séances, le respect et l’admiration seront totalement réciproques.

La proportion d’instruments d’orchestre est écrasante. Il n’a pas l’intention de faire jouer une seule note instrumentale aux membres des Beach Boys, ils poseront juste leurs voix sur une musique déjà terminée, ce qui fera grincer quelques dents. Les arrangements d’orchestre étaient déjà présents sur les précédents morceaux du groupe, mais juste comme une addition, un embellissement. Les pistes de bases étaient jouées par les Beach Boys. Là, tout, absolument tout sera joué par son équipe de musiciens de studio et selon ses directives à lui.

Les paroles

Voulant que tout soit parfait, il cherche et trouve le parfait parolier pour exprimer les thèmes qu’il veut explorer. Tony Asher écrit habituellement pour la publicité mais a le chic pour saisir ce que Brian attend et le retranscrire dans des phrases qui lui vont droit au coeur. Il écrira la plupart des paroles du disque. Ce qui n’était auparavant que suggéré dans la musique des Beach Boys bénéficiera maintenant du Verbe.

Les chansons du disque explorent souvent le thème de l’innocence perdue de l’enfance. C’est un sentiment récurrent dans la vie de Brian Wilson : entre un père tyrannique et une communication difficile avec les autres, son adolescence puis son âge adulte en tant que star n’ont été qu’une source de problèmes et de terreurs pour lui, la nostalgie des joies simples de l’enfance devenant un refuge intérieur pour survivre. Finalement, et même dans les chansons d’amour du disque, on peut avoir l’impression que c’est un enfant de 8 ans qui s’exprime dans un corps d’adulte dont il ne comprend par la vie. On rapprocherait facilement ce sentiment de la nostalgie avec laquelle l’écrivain américain HP Lovecraft parlait de son enfance : “Je n’ai plus jamais joué à ces jeux car ils s’associent pour moi à trop de regrets. La joie fugitive de l’enfance ne peut jamais être ressaisie. L’âge adulte, c’est l’enfer.”

Les morceaux

Tous les morceaux de Pet Sounds sont magnifiques, sans exceptions, mais, pour que l’article ne soit pas trop long, je ne vais en mentionner que quelques-uns.

L’intro de Wouldn’t It Be Nice est vraiment “bizarre”, comme pouvait l’être celle de California Girls. Elle évoque une comptine, comme celles que chantent les très jeunes enfants. Assez brutalement ensuite, commence un morceau typique des Beach Boys avec déluge de voix mais, pour l’époque, l’arrangement de celui-ci pourrait être qualifié de “progressif”. Les paroles décrivent le désir d’un très jeune couple, probablement adolescent, de vivre un jour ensemble, dormir ensemble, être ensemble tout le temps. Là où les chansons d’amour de Wilson décrivaient surtout l’émotion de l’instant présent auparavant, cet instant présent ressenti très fortement pendant l’adolescence, cette chanson projette le couple dans son futur avec un point de vue d’adultes en devenir.

You Still Believe In Me, elle aussi, présente un thème novateur pour le groupe : un jeune homme regarde sa relation amoureuse avec le regard de sa petite amie et lui rend grâce de le supporter tel qu’il est, avec toute son instabilité. On pourrait raisonnablement penser que la femme de Brian à l’époque, Marilyn, a inspiré ce texte. Brian prend tout du long un timbre de voix aux caractéristiques très féminines. Le pont est déchirant de beauté.

Don’t Talk (Put Your Head On My Shoulder) est une chanson sur l’intimité existant entre deux amants, cette intimité qui se passe de mots, et Tony Asher, le parolier, a fait très fort là-dessus, encore une fois. Les paroles sont d’une grande délicatesse et sonnent juste. Une chanson très romantique baignant dans l’intemporalité. La musique n’est pas en reste, par son arrangement fabuleux et sa progression d’accords originale.

God Only Knows : “la plus belle chanson d’amour jamais écrite” disait Paul McCartney, qui en connait un rayon sur le sujet. Pourtant, tout commence étrangement : “Je ne t’aimerai peut être pas pour toujours” ! Quelle curieuse façon de commencer une chanson d’amour ! Une honnêteté déroutante, presque crue. Un effet de style surtout, qui met en valeur la déclaration passionnée qui suit. Tony Asher, le parolier, créé un effet vraiment intéressant sur ce coup-là. La musique n’est pas en reste : la progression d’accords est très, très originale et bouleverse les habitudes de la composition pop. L’arrangement d’orchestre est somptueux et les voix célestes, spécialement dans le canon final.

I Just Wasn’t Made For These Times résume bien le sentiment général de Brian et son malaise : “Je n’étais pas fait pour vivre à notre époque. Je cherche un endroit où je me sentirais à ma place et où je pourrais dire ce que je pense.” Mais chacun de nous a ressenti au moins une fois ceci dans sa vie alors tout le monde peut être touché par ces mots. Pour une fois, il y a six voix en même temps dans un morceau, enveloppantes à souhait. Encore un arrangement d’orchestre fabuleux.

Pet Sounds est un instrumental. Il est totalement justifié de lui faire porter le nom de l’album entier car il pourrait en être une bande annonce, même s’il ne contient pas de voix, car sa texture sonore et son atmosphère sont représentatives.

Good Vibrations est sorti en single et ne fait pas partie du disque mais a été commencé durant les mêmes séances d’enregistrement. C’est l’une des plus célèbres chansons du groupe et la plus longue à réaliser en temps d’enregistrement. De multiples effets sonores ainsi qu’un accompagnement inhabituel de violoncelles ont été délicats à obtenir. La liste des musiciens ayant joué dessus fait plusieurs pages ! Un très gros son pour l’époque et une innovation de taille.

Un jalon fondamental du Rock

Cet album novateur et magnifique, sorti le 18 mai 1966, était probablement en avance sur son temps. Il n’aura qu’un succès relatif sur le coup, sauf en Angleterre, au grand dam de la maison de disques et des autres Beach Boys. Brian Wilson pense lui que cet album est une réussite artistique complète. L’histoire du Rock lui donnera raison. Au fil des décennies, ce disque est devenu un mètre étalon de la réussite artistique pour un album et nombreux sont les grands artistes qui ne jurent que par lui.

La prochaine fois : l’après Pet Sounds

Tags : Beach BoysBrian Wilsonmusiquerock
Article précédent

Taïwan, le non-pays le plus démocratique des pays d’Asie

Article suivant

L’histoire du corps en sciences humaines

William H. Miller

William H. Miller

Guitariste et ingénieur du son, passionné de musique, William H. Miller a découvert le Rock et, pour ainsi dire la musique, à l’âge de 13 ans, en 1972, époque bénie du Glam Rock : "Auparavant, le Monde était en noir et blanc et plat. À partir de 1972, j’avais la télé couleur et en 3D !" Ce qui l’a toujours fasciné est le pouvoir d’un simple morceau : comment il peut changer la vie de celui qu’il touche au cœur. C’est ce qu'il essaie de communiquer dans ses rubriques.

Article suivant
Histoire du corps histoire des corps © Eric Desordre

L’histoire du corps en sciences humaines

Laisser un commentaire Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

Rares sont ceux qui méritent qu'on les contredisent
Ernst JüngerAphorismes
On ne s'approprie que ce qu'on a d'abord tenu à distance pour le considérer.
Paul Ricoeur
La vie est jeune. En vieillissant, elle se fait durée, elle se fait temps, elle se fait adieu.
Romain Gary
Il est vain de vouloir libérer la vie des mensonges de l'art.
Georges Bataille
Les bêtes sont des personnes muettes
Un buronnier, vacher de l’Aubrac
Les gens exigent qu'on ait un métier. - Comme si vivre n'en était pas un - et encore le plus difficile !
Emil Cioran
Quand un philosophe me répond, je ne comprends plus ma question.
Pierre Desproges
On ne peut expliquer un paradoxe, non plus qu'un éternuement. D'ailleurs le paradoxe n'est-il pas un éternuement de l'esprit ?
Emil Cioran
Ce que je veux dire, c'est qu'elle avait des yeux où il faisait si bon vivre que je n'ai jamais su où aller depuis.
Romain Gary
On ne peut savoir si l'homme se servira longtemps encore de la parole ou s'il recouvrera petit à petit l'usage du hurlement.
Emil Cioran
Je ne crois pas qu’il soit possible, même à ceux qui ont de grandes familles, de réussir s’ils n’unissent pas à leur talent naturel des qualités simples, solides, laborieuses, et surtout une légitime confiance dans le succès : il n’y a rien de tel en ce monde que de vouloir.
Charles Dickens
Accepter le seul risque raisonnable, celui de se dépasser.
Erri de Luca
L’art est une reconfiguration du champs des possibles
Jean-Louis Bischoff
Le destin de celui qui ne songe qu'à se mettre à couvert, c'est d'être survolé
Ernst JüngerAphorismes
L'homme le plus éclairé est le plus ébloui
Victor Hugo
Précédent
Suivant

Abonnez-vous à notre newsletter

Inscrivez-vous à notre newsletter !

Nous ne spammons pas ! Consultez notre politique de confidentialité pour plus d’informations.

Vérifiez votre boite de réception ou votre répertoire d’indésirables pour confirmer votre abonnement.

Rubrique(s)

  • 3 questions à…
  • Art(s)
  • Cinéma(s)
  • Classique(s)
  • Dossier du mois : Infos, complotisme et vérités alternatives
  • Dossier du mois : L'art peut-il influencer le monde ?
  • Dossier du mois : La foire aux cons : toujours d'actualité
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Edito(s)
  • Geekologie(s)
  • Inclassable(s)
  • L'impertinence poétique
  • Le Mag papier
  • Les gonzoïdes de l'Apocalypse
  • Les grands entretiens rebelle(s)
  • Littéraire(s)
  • Mémoires Démasqués
  • Philo-spirit(s)
  • Politique(s)
  • Rock and Folk et Musique(s)
  • Société(s)
  • Spécial Ukraine
  • Théatre – Spectacle(s)
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Voyage(s)
interviews 1 scaled

Articles récents

  • Ce que “rebelle” inspire à ChatGPT 28 mai 2023
  • Histoire d’un ogre 28 mai 2023
  • De la fée électricité à la “watture” 28 mai 2023
  • Cycle Led Zeppelin : I 21 mai 2023
  • Peut-on opposer réalité et métaphysique ? 20 mai 2023
  • L’heure de la rébellion contre le management a-t-elle sonné ? 20 mai 2023
  • « EL » ou l’anarchisme couronné 20 mai 2023
  • My heart belongs to Daddy 18 mai 2023
  • Ecoles Steiner, le CDJM estime que France 2 a violé ses obligations déontologiques 14 mai 2023
  • Le Christ s’est arrêté à Eboli 13 mai 2023
  • Que reste-t-il de nos lectures ? 13 mai 2023
  • Nietzsche versus Dark Vador 13 mai 2023
  • Brian Wilson des Beach Boys, le Mozart du Rock – Troisième partie et fin 9 mai 2023
  • Pantin 6 mai 2023
  • Kurt Gödel 6 mai 2023
  • Le retour de Dionysos : un refoulé douloureux 6 mai 2023
  • Que reste-t-il de nos lectures ? 6 mai 2023
  • Mémoires Démasqués : chapitre 9 27 avril 2023
  • Toi du monde – 1/2 27 avril 2023
  • Toi du monde – 2/2 27 avril 2023
  • Days of Heaven 27 avril 2023
  • Immersion dans le domaine de la lutte : L’établi 23 avril 2023
  • L’histoire du corps en sciences humaines 23 avril 2023
  • Brian Wilson des Beach Boys, le Mozart du Rock – Deuxième partie 23 avril 2023
  • Taïwan, le non-pays le plus démocratique des pays d’Asie 20 avril 2023
  • Némésis ou la tragédie de la responsabilité 16 avril 2023
  • Boire l’encre 16 avril 2023
  • Aux gnons, citoyens ! 16 avril 2023
  • La solitude 16 avril 2023
  • Louis Nucéra 2 avril 2023
  • Brian Wilson des Beach Boys, le Mozart du Rock – Première partie 31 mars 2023
  • Poutine est un nouveau Staline, tout simplement 29 mars 2023
  • Fake news : qui détient la vérité ? 27 mars 2023
  • 1984, le Ministère de la vérité 27 mars 2023
  • Fake news: Trois questions à Jean-Luc Martin Lagardette 27 mars 2023
  • Plate, plate, plate la Terre ! 27 mars 2023
  • Vous en voulez vraiment, des nouvelles vraies ? 27 mars 2023
  • Le courage et la peur, en direct 27 mars 2023
  • Qui est Victor Von Doom? 27 mars 2023
  • Comprendre l’infodémie 27 mars 2023
  • La porte du paradis 27 mars 2023
  • Interview exclusive de Salah Al Hamdani – 1/2 24 mars 2023
  • Interview exclusive de Salah Al Hamdani – 2/2 24 mars 2023
  • Que reste-t-il de nos lectures ? 22 mars 2023
  • Ah ça ira, ça ira… ! 18 mars 2023
  • Le professeur inexistant (philosophie) 17 mars 2023
  • Pasolini, un rebelle au-delà de l’écran 16 mars 2023
  • Final de l’âge d’or des Rolling Stones : It’s Only Rock ‘n’ Roll 15 mars 2023
  • Nous revivrons 12 mars 2023
  • FECRIS, Novopashin encore et zombies ukrainiens 12 mars 2023
  • L’âge d’or des Rolling Stones : Goat’s Head Soup 8 mars 2023
  • Une réflexion sur la liberté et la sécurité autour du roman d’Ira Levin, Un Bonheur insoutenable 7 mars 2023
  • Comment se laisse-t-on séduire par le côté obscur ? 6 mars 2023
  • Un homme heureux 5 mars 2023
  • Accords et à cran, Aurélia Lesbros 5 mars 2023
  • Les bobos… anti-bobo ! 1 mars 2023
  • Peut-on concilier, comme Jésus de Nazareth, la liberté et l’autorité ? 28 février 2023
  • L’âge d’or des Rolling Stones : Exile On Main Street 27 février 2023
  • Que deviennent les opposants à la guerre en Russie ? 26 février 2023
  • Droits des femmes : Simone de Beauvoir avait tellement raison ! 22 février 2023
  • Le temps des féminismes 22 février 2023
  • L’Art d’Accommoder la Vieillesse 22 février 2023
  • Irréfutable essai de successologie 22 février 2023
  • L’âge d’or des Rolling Stones : Sticky Fingers 20 février 2023
  • La retraite à 64 ans ?  Qui va trinquer  ? 18 février 2023
  • Leonid Sevastianov : un Russe pour la paix 18 février 2023
  • Cruel Oncle Vania ! 12 février 2023
  • L’âge d’or des Rolling Stones : Get Yer Ya-Ya’s Out! 11 février 2023
  • Réforme des retraites : faux problème 11 février 2023
  • L’âge d’or des Rolling Stones : Let It Bleed 5 février 2023
  • Pourquoi tant de haine ? 3 février 2023
  • Scientifiques émotifs 29 janvier 2023
  • La camisole chimique menace les Français 29 janvier 2023
  • Affaire Dupont de Ligonnès : la secte qui n’en était pas une 25 janvier 2023
  • Cavalcade amoureuse au Théâtre de la Ville 22 janvier 2023
  • Génocide des Ouïghours : les musulmans ont aussi leurs collabos 20 janvier 2023
  • Perdu en mère 16 janvier 2023
  • Zhanargul Zhumatai : Un entretien dramatique avec une survivante d’un camp d’ethnie kazakhe qui pourrait bientôt “disparaître”. 13 janvier 2023
  • L’âge d’or des Rolling Stones : Beggar’s Banquet 13 janvier 2023
  • Des médiums et des cathos contre Poutine 13 janvier 2023
  • Ombres et lumières 8 janvier 2023
  • Fin du Cycle Disco : 1980 et au-delà… 8 janvier 2023
  • Des Saints, Sinon Rien – Censure d’aujourd’hui 7 janvier 2023
  • La poétique désabusée de « La Maman et la Putain » 6 janvier 2023
  • Réhabiliter Louis Aragon, rue de Bourgogne… 5 janvier 2023
  • Russie : nazis cannibales, Novopashin récidive ! 4 janvier 2023
  • La Douma, les nouvelles lois et le droit de buter de l’Ukrainien 3 janvier 2023
  • Cycle Disco : 1979, deuxième partie 2 janvier 2023
  • J’ai découvert Raël grâce au Figaro ! Une enquête de dingue ! (Ironie) 1 janvier 2023
  • Écouter, sentir… 31 décembre 2022
  • Poutine communiste ou tsariste ? D’Alexandre III à Joseph Staline 26 décembre 2022
  • Cycle Disco : 1979, première partie 26 décembre 2022
  • Chroniques familiales – extraits 25 décembre 2022
  • Coups de coeur au bout du monde – Chili 25 décembre 2022
  • SANS NOTES ! 25 décembre 2022
  • L’Église orthodoxe russe veut une loi contre les idéologies destructrices 18 décembre 2022
  • Que va faire le nouveau ministre de l’Éducation nationale ? 15 décembre 2022
  • Délestages extrêmes 15 décembre 2022
  • Laïcité et république 15 décembre 2022
  • Cycle Disco : 1978 (3ème partie) 12 décembre 2022
  • Un manteau russe ou ukrainien ? 11 décembre 2022
  • Mentions légales site
  • S’abonner à Rebelle(s)
  • L’ours
  • Politique de cookies

© 2023

Pas de résultat
Voir tous les résultats
  • Accueil
  • Qui sommes-nous ?
  • Le Mag Papier
  • Geekologie(s)
  • Littéraire(s)
  • Société(s)
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Art(s)
  • Cinéma(s)
  • Rock and Folk et Musique(s)
  • Théatre – Spectacle(s)
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Edito(s)
  • Inclassable(s)
  • L’impertinence poétique
  • Littéraire(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Voyage(s)
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Contact

© 2023

Bienvenue !

OU

Login to your account below

Mot de passe oublié ? S'inscrire

Create New Account!

OU

Fill the forms bellow to register

*By registering into our website, you agree to the Terms & Conditions and Privacy Policy.
Tous les champs sont obligatoires. Se connecter

Récupérez votre mot de passe

Veuillez saisir votre nom d'utilisateur ou votre email pour réinitialiser votre mot de passe.

Se connecter
Social Media Auto Publish Powered By : XYZScripts.com
RBLs
Gérer le consentement aux cookies
Nous utilisons des cookies pour optimiser notre site web et notre service.
Les cookies fonctionnels Toujours activé
Le stockage ou l’accès technique est strictement nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de permettre l’utilisation d’un service spécifique explicitement demandé par l’abonné ou l’utilisateur, ou dans le seul but d’effectuer la transmission d’une communication sur un réseau de communications électroniques.
Préférences
Le stockage ou l’accès technique est nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de stocker des préférences qui ne sont pas demandées par l’abonné ou l’utilisateur.
Statistiques
Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement à des fins statistiques. Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement dans des finalités statistiques anonymes. En l’absence d’une assignation à comparaître, d’une conformité volontaire de la part de votre fournisseur d’accès à internet ou d’enregistrements supplémentaires provenant d’une tierce partie, les informations stockées ou extraites à cette seule fin ne peuvent généralement pas être utilisées pour vous identifier.
Marketing
Le stockage ou l’accès technique est nécessaire pour créer des profils d’utilisateurs afin d’envoyer des publicités, ou pour suivre l’utilisateur sur un site web ou sur plusieurs sites web ayant des finalités marketing similaires.
Gérer les options Gérer les services Gérer les fournisseurs En savoir plus sur ces finalités
Voir les préférences
{title} {title} {title}
Ce site web utilise des cookies. En continuant à utiliser ce site web, vous consentez à ce que des cookies soient utilisés. Visitez notre Politique de confidentialité et de cookies.
Êtes-vous sûr de vouloir déverrouiller ce poste ?
Unlock left : 0
Êtes-vous sûr de vouloir annuler l'abonnement ?