• S’abonner à Rebelle(s)
  • L’ours
  • Contact
dimanche 28 mai 2023
  • Connexion
  • S'enregistrer
Rebelle(s) Mag
  • Accueil
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Société(s)
  • Littéraire(s)
  • Spécial Ukraine
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Qui sommes-nous ?
Pas de résultat
Voir tous les résultats
  • Accueil
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Société(s)
  • Littéraire(s)
  • Spécial Ukraine
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Qui sommes-nous ?
Pas de résultat
Voir tous les résultats
Rebelle(s) Mag
Pas de résultat
Voir tous les résultats

La solitude

Christophe Diard Par Christophe Diard
16 avril 2023
dans Tribune(s) Libre(s)
2
Partager sur FacebookPartager sur Twitter
© Micael
© Micael

« Dans la solitude, le solitaire se ronge le cœur ; dans la multitude, c’est la foule qui le lui ronge. Choisis donc ! »
Friedrich Nietzsche, Humain trop humain

Les gens sont devenus des îles, isolées les unes des autres par des océans qui forment des mares d’incompréhension. Notre époque nous incite à communiquer, partout, tout le temps, et paradoxalement, elle nous plonge dans un abîme de solitude. Cette communication permanente détruit le lien d’homme à homme, le lien qui unit deux solitudes entre elles pour en former une troisième. Cet aphorisme de Nietzsche «À force de contempler l’abîme, c’est l’abîme qui finit par te contempler» illustre mieux que quiconque ne pourrait le faire ce qu’est en réalité la solitude: un refuge sans fond. Comme une grotte dans laquelle on n’aurait jamais fini de s’enfoncer.

De l’enfance à la solitude

Tout part de l’enfance, ce moment de la vie où Dieu est partout, tout le temps. Ce temps de l’innocence, où la solitude a du mal à se faire sentir. Sortir de l’enfance, c’est faire face à la solitude. Sortir trop tôt de l’enfance, c’est plonger dedans à pieds joints. C’est l’abîme qui guette. Dieu meurt alors dans nos vies. Comme il est mort dans notre société. J’ai perdu Dieu, mon innocence et mon enfance tout à la fois à l’âge de cinq ans. Ma première confrontation consciente à la notion de solitude se présente devant moi à cet âge-là, lorsque ma grand-mère meurt subitement. Cette femme qui jusqu’alors m’élevait, disparaît, un jour. Elle quitte l’appartement, et avec elle tous mes repères s’en vont. Personne ne me dira qu’elle est morte, personne ne me l’expliquera, ce qui me plongera dans une immense solitude, et dans une tristesse sans nom, jusqu’à ne plus me nourrir. Je dois comprendre et accepter, tout seul, la mort, et la solitude en même temps. C’est dur à avaler, et je passerai beaucoup de temps ensuite à roter mon enfance perdue, voire à la vomir. Car comme le disait Victor Hugo, «l’enfer est tout entier dans ce mot: solitude».

De l’exclusion à la solitude

On peut alors parler de solitude subie. Celle de l’exclusion, par les autres, qui peut intervenir à tout âge, tout petit comme plus tard, quand on est considéré comme un étranger. Ou quand, aux yeux des autres, on ne correspond pas aux canons de la «normalité». L’«anormal» sera condamné à la solitude. Dans les yeux des autres, il sera jugé, moqué, rejeté. Il sera lapidé, au moins moralement. C’est en général au moment de l’adolescence, et aujourd’hui de la préadolescence, que ce phénomène prend de l’ampleur. Ce moment de la vie où le conformisme règne en masse, à l’image, là encore, de notre société actuelle. Les premières confrontations à la notion d’isolement apparaissent alors. Le premier réflexe sera de s’interroger, de se demander ce qu’on a fait de mal, pourquoi on est «différent», et de vouloir faire «comme les autres», pour pouvoir de nouveau prétendre à intégrer le «groupe», la multitude chère à Nietzsche. C’est un réflexe universel, nul n’aime subir une solitude qu’il n’a point choisie. Deux chemins s’offrent alors : celui de cultiver son unicité, comme le conseillerait Max Stirner, ou celui de faire comme tout le monde, de suivre le troupeau. En devant souvent avaler les couleuvres des moqueries et en subissant des dégâts irréversibles ayant un impact crucial sur les destins particuliers. Bien plus tard, si on ne se conforme pas aux choix des autres, si on n’obéit pas au Diktat du conformisme absolu, alors on peut tout aussi bien finir à la rue, clochard ou ermite sans l’avoir choisi. L’enfer c’est les autres. Et de plus en plus.

De la nécessité de la solitude

Karl Kraus disait «La solitude serait un endroit idéal si on pouvait choisir les gens qu’on évite.» La misanthropie est une solitude choisie. Pouvoir faire le choix de cette misanthropie est un luxe, il faut être fort pour être seul. Pour imposer son univers, prendre ses propres décisions. Le monde actuel protège les faibles contre les forts. Il devient de plus en plus ardu de se montrer sûr de sa volonté de puissance, de cultiver son «quant à soi», de se plonger dans une solitude salvatrice qui puisse nous tirer vers le haut. Mieux vaut être seul que mal accompagné, est une lapalissade totalement avérée. Car le paradoxe est là: seul, nous ne serions rien, nous avons besoin des autres pour exister, pour se former, pour échanger, pour se construire. Mais nous ne pouvons pas devenir réellement nous-mêmes en nous plongeant dans la multitude, en obéissant, en écoutant un entourage, ou pire, les médias, en permanence, et en disant amen à tout. L’oracle de Delphes repris par Nietzsche «Connais-toi toi-même», implique en luimême la solitude. Comme la lecture, qui se fait rarement à plusieurs et en discutant. Ou la contemplation, qui implique le silence, ou un bruit, mais un bruit qui nous resterait étranger. Il faut savoir faire preuve de cette force pour exiger la solitude, il faut savoir se montrer misanthrope et oser combattre la mélancolie qui découle naturellement de l’isolement. C’est seul, en prenant du recul, qu’on cultive son unicité, et qu’on devient quelqu’un d’accompli. C’est en acceptant le paradoxe entre la solitude et la multitude qu’on parvient à une forme d’équilibre. Ou de déséquilibre productif. Et avec un peu d’imagination, d’ennui, et de chance, on peut parvenir à créer. C’est-à-dire, enfanter une œuvre.

De la solitude à la création

Goethe s’exprimait ainsi «Toute production importante est l’enfant de la solitude». Une des issues à la solitude est la création. «La vie est un pendule qui oscille de la souffrance à l’ennui», ou avec un peu plus d’entrain que Schopenhauer on pourrait dire «de l’ennui à la création». L’ennui qu’implique parfois la solitude ouvre une porte invisible aux yeux de beaucoup sur la création. On peut même s’interroger: serait-ce par ennui que des hommes, par le passé, ont peint dans des grottes, un déclic se serait-il établi qui les aurait entraînés à évoluer parce qu’ils tournaient en rond? L’ennui est proprement humain, trop humain. La solitude et le fait de «ne rien faire», comme le considèrent les profanes de la notion même de création, mènent, à terme, et avec un cheminement particulier, au fait même de créer. Que ce soit par inspiration, par nécessité, avec la volonté simple de reproduire son environnement, de faire passer un message, ou par souffrance, la création est au bout du chemin. Ne manquent qu’une volonté de s’exprimer, et le choix du moyen approprié pour le faire. Ce n’est évidemment pas une loi universelle valable pour tous. Le talent entre ensuite dans la balance. Mais c’est une issue positive à la solitude, que celle de se projeter dans une œuvre.

De la solitude à l’amour

L’autre issue possible à la solitude, qui permet aussi, souvent, de sortir du nihilisme, est l’amour. Notion galvaudée à notre époque. Moquée, elle aussi, lapidée, au moins par les cyniques, ou les résignés. Car qu’est-ce que l’amour, la plus belle chose qui soit, ou l’infini à la portée des caniches, comme pour Oscar Wilde? L’amour, c’est la conjonction de deux solitudes. C’est le sentiment de ne plus être «seul tout seul». C’est une libération libre de soi pour atteindre quelque chose de supérieur: c’est la solitude à deux. L’amour permet aussi de créer, l’enfantement étant une création du vivant. L’amour permet l’apaisement, la création d’un équilibre, la perte de l’illusion qu’être seul est la seule issue valable. Sans l’amour, il n’est bien souvent que solitude subie et tristesse infinie. Il n’est rien de plus tonifiant, revigorant et nécessaire que l’amour partagé, et deux solitudes enfin réunies.

Tags : Arthur SchopenhauerChristophe DiardFriedrich NietzscheKarl KrausVictor Hugo
Article précédent

Louis Nucéra

Article suivant

Aux gnons, citoyens !

Christophe Diard

Christophe Diard

Né à Paris en 1983, Christophe Diard est écrivain. Il travaille sur des thèmes comme l’angoisse, la mémoire et la survie. Ancien collaborateur de la revue Books, ex-rédacteur en chef du magazine Rebelle(s), il est également scénariste et parolier. Auteur du livre UN CERTAIN FRÉDÉRIC PAJAK.

Article suivant
Moliere en rougit © Eric Desordre

Aux gnons, citoyens !

Commentaires 2

  1. Jean-Luc Martin-Lagardette says:
    Il y a 1 mois

    Article profond et sensible sur un thème rarement évoqué, pourtant universel.
    Christophe, vous écrivez : « L’autre issue possible à la solitude, qui permet aussi, souvent, de sortir du nihilisme, est l’amour ».
    Je souscris ! En précisant qu’il existe une forme d’amour dont on parle aussi bien trop peu : l’amour de la moitié d’être que chacun porte au plus profond de soi et que l’orgueil ou la peur empêche de reconnaître.
    Cet amour est pourtant la clé de l’individualisation véritable puis qu’il libère des apparences et des autres (qui peuvent être alors aimés pour ce qu’ils sont – et non seulement pour ce qu’ils nous apportent).

    Répondre
  2. Guéant Jean-Jacques says:
    Il y a 1 mois

    Bonsoir, oui c’est un bel article, qui invite à une agréable lecture balancée entre enfance, multitude, exclusion, misanthropie…
    Au bout de 60 lignes denses, fluides, très équilibrées, on s’achemine vers un final attendu, peut-être un rendez-vous avec la passion. Et l’amour arrive… mais n’embrase que 8 lignes !
    Bien cordialement.
    Jean-Jacques Guéant

    Répondre

Laisser un commentaire Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

Rares sont ceux qui méritent qu'on les contredisent
Ernst JüngerAphorismes
On ne s'approprie que ce qu'on a d'abord tenu à distance pour le considérer.
Paul Ricoeur
La vie est jeune. En vieillissant, elle se fait durée, elle se fait temps, elle se fait adieu.
Romain Gary
Il est vain de vouloir libérer la vie des mensonges de l'art.
Georges Bataille
Les bêtes sont des personnes muettes
Un buronnier, vacher de l’Aubrac
Les gens exigent qu'on ait un métier. - Comme si vivre n'en était pas un - et encore le plus difficile !
Emil Cioran
Quand un philosophe me répond, je ne comprends plus ma question.
Pierre Desproges
On ne peut expliquer un paradoxe, non plus qu'un éternuement. D'ailleurs le paradoxe n'est-il pas un éternuement de l'esprit ?
Emil Cioran
Ce que je veux dire, c'est qu'elle avait des yeux où il faisait si bon vivre que je n'ai jamais su où aller depuis.
Romain Gary
On ne peut savoir si l'homme se servira longtemps encore de la parole ou s'il recouvrera petit à petit l'usage du hurlement.
Emil Cioran
Je ne crois pas qu’il soit possible, même à ceux qui ont de grandes familles, de réussir s’ils n’unissent pas à leur talent naturel des qualités simples, solides, laborieuses, et surtout une légitime confiance dans le succès : il n’y a rien de tel en ce monde que de vouloir.
Charles Dickens
Accepter le seul risque raisonnable, celui de se dépasser.
Erri de Luca
L’art est une reconfiguration du champs des possibles
Jean-Louis Bischoff
Le destin de celui qui ne songe qu'à se mettre à couvert, c'est d'être survolé
Ernst JüngerAphorismes
L'homme le plus éclairé est le plus ébloui
Victor Hugo
Précédent
Suivant

Abonnez-vous à notre newsletter

Inscrivez-vous à notre newsletter !

Nous ne spammons pas ! Consultez notre politique de confidentialité pour plus d’informations.

Vérifiez votre boite de réception ou votre répertoire d’indésirables pour confirmer votre abonnement.

Rubrique(s)

  • 3 questions à…
  • Art(s)
  • Cinéma(s)
  • Classique(s)
  • Dossier du mois : Infos, complotisme et vérités alternatives
  • Dossier du mois : L'art peut-il influencer le monde ?
  • Dossier du mois : La foire aux cons : toujours d'actualité
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Edito(s)
  • Geekologie(s)
  • Inclassable(s)
  • L'impertinence poétique
  • Le Mag papier
  • Les gonzoïdes de l'Apocalypse
  • Les grands entretiens rebelle(s)
  • Littéraire(s)
  • Mémoires Démasqués
  • Philo-spirit(s)
  • Politique(s)
  • Rock and Folk et Musique(s)
  • Société(s)
  • Spécial Ukraine
  • Théatre – Spectacle(s)
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Voyage(s)
interviews 1 scaled

Articles récents

  • Ce que “rebelle” inspire à ChatGPT 28 mai 2023
  • Histoire d’un ogre 28 mai 2023
  • De la fée électricité à la “watture” 28 mai 2023
  • Cycle Led Zeppelin : I 21 mai 2023
  • Peut-on opposer réalité et métaphysique ? 20 mai 2023
  • L’heure de la rébellion contre le management a-t-elle sonné ? 20 mai 2023
  • « EL » ou l’anarchisme couronné 20 mai 2023
  • My heart belongs to Daddy 18 mai 2023
  • Ecoles Steiner, le CDJM estime que France 2 a violé ses obligations déontologiques 14 mai 2023
  • Le Christ s’est arrêté à Eboli 13 mai 2023
  • Que reste-t-il de nos lectures ? 13 mai 2023
  • Nietzsche versus Dark Vador 13 mai 2023
  • Brian Wilson des Beach Boys, le Mozart du Rock – Troisième partie et fin 9 mai 2023
  • Pantin 6 mai 2023
  • Kurt Gödel 6 mai 2023
  • Le retour de Dionysos : un refoulé douloureux 6 mai 2023
  • Que reste-t-il de nos lectures ? 6 mai 2023
  • Mémoires Démasqués : chapitre 9 27 avril 2023
  • Toi du monde – 1/2 27 avril 2023
  • Toi du monde – 2/2 27 avril 2023
  • Days of Heaven 27 avril 2023
  • Immersion dans le domaine de la lutte : L’établi 23 avril 2023
  • L’histoire du corps en sciences humaines 23 avril 2023
  • Brian Wilson des Beach Boys, le Mozart du Rock – Deuxième partie 23 avril 2023
  • Taïwan, le non-pays le plus démocratique des pays d’Asie 20 avril 2023
  • Némésis ou la tragédie de la responsabilité 16 avril 2023
  • Boire l’encre 16 avril 2023
  • Aux gnons, citoyens ! 16 avril 2023
  • La solitude 16 avril 2023
  • Louis Nucéra 2 avril 2023
  • Brian Wilson des Beach Boys, le Mozart du Rock – Première partie 31 mars 2023
  • Poutine est un nouveau Staline, tout simplement 29 mars 2023
  • Fake news : qui détient la vérité ? 27 mars 2023
  • 1984, le Ministère de la vérité 27 mars 2023
  • Fake news: Trois questions à Jean-Luc Martin Lagardette 27 mars 2023
  • Plate, plate, plate la Terre ! 27 mars 2023
  • Vous en voulez vraiment, des nouvelles vraies ? 27 mars 2023
  • Le courage et la peur, en direct 27 mars 2023
  • Qui est Victor Von Doom? 27 mars 2023
  • Comprendre l’infodémie 27 mars 2023
  • La porte du paradis 27 mars 2023
  • Interview exclusive de Salah Al Hamdani – 1/2 24 mars 2023
  • Interview exclusive de Salah Al Hamdani – 2/2 24 mars 2023
  • Que reste-t-il de nos lectures ? 22 mars 2023
  • Ah ça ira, ça ira… ! 18 mars 2023
  • Le professeur inexistant (philosophie) 17 mars 2023
  • Pasolini, un rebelle au-delà de l’écran 16 mars 2023
  • Final de l’âge d’or des Rolling Stones : It’s Only Rock ‘n’ Roll 15 mars 2023
  • Nous revivrons 12 mars 2023
  • FECRIS, Novopashin encore et zombies ukrainiens 12 mars 2023
  • L’âge d’or des Rolling Stones : Goat’s Head Soup 8 mars 2023
  • Une réflexion sur la liberté et la sécurité autour du roman d’Ira Levin, Un Bonheur insoutenable 7 mars 2023
  • Comment se laisse-t-on séduire par le côté obscur ? 6 mars 2023
  • Un homme heureux 5 mars 2023
  • Accords et à cran, Aurélia Lesbros 5 mars 2023
  • Les bobos… anti-bobo ! 1 mars 2023
  • Peut-on concilier, comme Jésus de Nazareth, la liberté et l’autorité ? 28 février 2023
  • L’âge d’or des Rolling Stones : Exile On Main Street 27 février 2023
  • Que deviennent les opposants à la guerre en Russie ? 26 février 2023
  • Droits des femmes : Simone de Beauvoir avait tellement raison ! 22 février 2023
  • Le temps des féminismes 22 février 2023
  • L’Art d’Accommoder la Vieillesse 22 février 2023
  • Irréfutable essai de successologie 22 février 2023
  • L’âge d’or des Rolling Stones : Sticky Fingers 20 février 2023
  • La retraite à 64 ans ?  Qui va trinquer  ? 18 février 2023
  • Leonid Sevastianov : un Russe pour la paix 18 février 2023
  • Cruel Oncle Vania ! 12 février 2023
  • L’âge d’or des Rolling Stones : Get Yer Ya-Ya’s Out! 11 février 2023
  • Réforme des retraites : faux problème 11 février 2023
  • L’âge d’or des Rolling Stones : Let It Bleed 5 février 2023
  • Pourquoi tant de haine ? 3 février 2023
  • Scientifiques émotifs 29 janvier 2023
  • La camisole chimique menace les Français 29 janvier 2023
  • Affaire Dupont de Ligonnès : la secte qui n’en était pas une 25 janvier 2023
  • Cavalcade amoureuse au Théâtre de la Ville 22 janvier 2023
  • Génocide des Ouïghours : les musulmans ont aussi leurs collabos 20 janvier 2023
  • Perdu en mère 16 janvier 2023
  • Zhanargul Zhumatai : Un entretien dramatique avec une survivante d’un camp d’ethnie kazakhe qui pourrait bientôt “disparaître”. 13 janvier 2023
  • L’âge d’or des Rolling Stones : Beggar’s Banquet 13 janvier 2023
  • Des médiums et des cathos contre Poutine 13 janvier 2023
  • Ombres et lumières 8 janvier 2023
  • Fin du Cycle Disco : 1980 et au-delà… 8 janvier 2023
  • Des Saints, Sinon Rien – Censure d’aujourd’hui 7 janvier 2023
  • La poétique désabusée de « La Maman et la Putain » 6 janvier 2023
  • Réhabiliter Louis Aragon, rue de Bourgogne… 5 janvier 2023
  • Russie : nazis cannibales, Novopashin récidive ! 4 janvier 2023
  • La Douma, les nouvelles lois et le droit de buter de l’Ukrainien 3 janvier 2023
  • Cycle Disco : 1979, deuxième partie 2 janvier 2023
  • J’ai découvert Raël grâce au Figaro ! Une enquête de dingue ! (Ironie) 1 janvier 2023
  • Écouter, sentir… 31 décembre 2022
  • Poutine communiste ou tsariste ? D’Alexandre III à Joseph Staline 26 décembre 2022
  • Cycle Disco : 1979, première partie 26 décembre 2022
  • Chroniques familiales – extraits 25 décembre 2022
  • Coups de coeur au bout du monde – Chili 25 décembre 2022
  • SANS NOTES ! 25 décembre 2022
  • L’Église orthodoxe russe veut une loi contre les idéologies destructrices 18 décembre 2022
  • Que va faire le nouveau ministre de l’Éducation nationale ? 15 décembre 2022
  • Délestages extrêmes 15 décembre 2022
  • Laïcité et république 15 décembre 2022
  • Cycle Disco : 1978 (3ème partie) 12 décembre 2022
  • Un manteau russe ou ukrainien ? 11 décembre 2022
  • Mentions légales site
  • S’abonner à Rebelle(s)
  • L’ours
  • Politique de cookies

© 2023

Pas de résultat
Voir tous les résultats
  • Accueil
  • Qui sommes-nous ?
  • Le Mag Papier
  • Geekologie(s)
  • Littéraire(s)
  • Société(s)
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Art(s)
  • Cinéma(s)
  • Rock and Folk et Musique(s)
  • Théatre – Spectacle(s)
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Edito(s)
  • Inclassable(s)
  • L’impertinence poétique
  • Littéraire(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Voyage(s)
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Contact

© 2023

Bienvenue !

OU

Login to your account below

Mot de passe oublié ? S'inscrire

Create New Account!

OU

Fill the forms bellow to register

*By registering into our website, you agree to the Terms & Conditions and Privacy Policy.
Tous les champs sont obligatoires. Se connecter

Récupérez votre mot de passe

Veuillez saisir votre nom d'utilisateur ou votre email pour réinitialiser votre mot de passe.

Se connecter
Social Media Auto Publish Powered By : XYZScripts.com
RBLs
Gérer le consentement aux cookies
Nous utilisons des cookies pour optimiser notre site web et notre service.
Les cookies fonctionnels Toujours activé
Le stockage ou l’accès technique est strictement nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de permettre l’utilisation d’un service spécifique explicitement demandé par l’abonné ou l’utilisateur, ou dans le seul but d’effectuer la transmission d’une communication sur un réseau de communications électroniques.
Préférences
Le stockage ou l’accès technique est nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de stocker des préférences qui ne sont pas demandées par l’abonné ou l’utilisateur.
Statistiques
Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement à des fins statistiques. Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement dans des finalités statistiques anonymes. En l’absence d’une assignation à comparaître, d’une conformité volontaire de la part de votre fournisseur d’accès à internet ou d’enregistrements supplémentaires provenant d’une tierce partie, les informations stockées ou extraites à cette seule fin ne peuvent généralement pas être utilisées pour vous identifier.
Marketing
Le stockage ou l’accès technique est nécessaire pour créer des profils d’utilisateurs afin d’envoyer des publicités, ou pour suivre l’utilisateur sur un site web ou sur plusieurs sites web ayant des finalités marketing similaires.
Gérer les options Gérer les services Gérer les fournisseurs En savoir plus sur ces finalités
Voir les préférences
{title} {title} {title}
Ce site web utilise des cookies. En continuant à utiliser ce site web, vous consentez à ce que des cookies soient utilisés. Visitez notre Politique de confidentialité et de cookies.
Êtes-vous sûr de vouloir déverrouiller ce poste ?
Unlock left : 0
Êtes-vous sûr de vouloir annuler l'abonnement ?