• S’abonner à Rebelle(s)
  • L’ours
  • Contact
lundi 20 mars 2023
  • Connexion
  • S'enregistrer
Rebelle(s) Mag
  • Accueil
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Société(s)
  • Littéraire(s)
  • Spécial Ukraine
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Qui sommes-nous ?
Pas de résultat
Voir tous les résultats
  • Accueil
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Société(s)
  • Littéraire(s)
  • Spécial Ukraine
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Qui sommes-nous ?
Pas de résultat
Voir tous les résultats
Rebelle(s) Mag
Pas de résultat
Voir tous les résultats

Quand son corps devient sa prison – Interview de Nadalette La Fonta Six

Martine Konorski Par Martine Konorski
30 octobre 2018
dans Société(s), Philo-spirit(s)
0
Partager sur FacebookPartager sur Twitter
he just got up and walked away / il s’est juste levé et a marché au loin

Entretien avec Nadalette La Fonta Six, une rebelle emprisonnée dans son propre corps. Auteur du livre Le Roseau penchant, histoire d’une merveilleuse opération, qui vient de paraître.

Martine Konorski : L’hôpital a été votre prison, pendant de longs mois, c’est ce que vous racontez dans votre livre Le Roseau penchant…

Nadalette La Fonta Six : L’emprisonnement est devenu l’écho familier de ma vie. Récemment, emmurée, embastillée pendant neuf mois – symbolique indéniable – dans un hôpital, je me suis retrouvée paraplégique à la suite d’une opération chirurgicale hasardeuse. Cet emprisonnement, cet état larvaire, sécuritaire et sécurisé, affolant et irréel, je l’ai vécu non plus comme actrice, mais comme spectatrice de ma vie. Après avoir quitté le tout carcéral hospitalier, il m’a fallu ensuite plus de deux ans pour retrouver une vie conditionnelle, semi civile, imparfaitement socialisée, sans autonomie, en liberté surveillée et commencer à penser par moi-même, pour moi-même. Avant. Étais-je libre ? je n’aurai pas l’outrecuidance de dire cela. Je menais la vie des femmes de ma génération, écartelées entre nos désirs contradictoires, les croyances qui nous encombrent, les loyautés que nous nous imposons. Travail, famille, amitiés, culture et réseaux. Cadre certain, restreint. Théâtre en cinq actes pour remplir le vide, ou se frayer chemin. Frénétiquement, certes, mais une frénésie apparemment choisie. Choisie, c’est là toute la différence entre divers emprisonnements, dont je peux témoigner. Course, hyperactivité, combats professionnels, marathons affectifs, voyages incessants, décalages horaires, épuisement, fatigue, obsessions. Mais j’avais le choix dans mes contraintes, le choix des instants, du moment, des rythmes, des mouvements, de sortir, de rentrer, de m’allonger, de courir, de danser, de jouir ou pas. Et ce jour fatidique du 15 octobre 2014, mon corps a baissé les armes devant une scoliose dégénérative gigantesque. J’ai alors dû me soumettre au verdict : sans opération, point de salut. Sans arthrodèse, mon seul horizon à terme serait mes pieds, le corps effondré, le regard fixé sur le sol, comme ces petites dames courbées à l’horizontale, en « promenade » entre leurs murs.

MK : Comment un lieu de santé peut-il devenir un espace quasi carcéral ?

NLFS : Que me proposait-on avec l’arthrodèse ? ce nom barbare n’est autre que celui d’une « cage », à l’intérieur de son propre corps. En effet, ma colonne vertébrale allait être découpée, extrudée, entourée de deux gardes- chiourmes de titane, deux tiges de métal, pour me redresser, me remettre dans le juste alignement, pour annihiler mes zig et mes zag, mes honteuses distorsions, mon anormalité préférée. J’allais avoir en permanence deux tiges de métal pour tuteurs, et hop, on haubane, on tiraille, on redresse, la colonne est allongée, normalisée, et on reboulonne tout cela, des grosses vis bardant le corps comment autant de pointes de crucifixion. Madonna harnachée, mais version gore. Et voilà qui a été fait : une « merveilleuse opération » et un emprisonnement de ma carcasse ! Et puis, l’opération ne s’est pas très bien passée…

MK : Votre capacité à transformer l’accident opératoire, à travers l’écriture est un sursaut de vie surprenant, comment avez-vous fait ?

NLS : Oui. Cet accident opératoire m’a fait basculer dans l’écriture. J’ai eu besoin de témoigner, depuis les souvenirs de l’enfance jusqu’à ma vie de femme d’aujourd’hui. J’ai soudain réalisé comment l’enfance nous dessine, couple et famille dans l’épreuve, handicap, maladie. Le livre que je viens d’écrire n’est pas àmon propos, il parle de vous, de nous, il parle de comment vivre, de l’urgence de vivre sa vie, en liberté, en conscience, la vie à côté de laquelle nous sommes tous passés, probablement, à un moment… Je crois que l’épreuve accélère cette prise de conscience. Je ne détiens nullement une vérité absolue. J’ai juste écrit « Ma » version de mon histoire et de ma libération, avec pourtant déprivation de mes libertés. Une de mes croyances est que rien ne nous arrive par hasard. Je crois au destin, non pas comme une entité toute puissante et menaçante, mais comme un fil directeur de l’acrobatie de la vie, une « belle » possible, offerte par moments. Sans enfance, on se crée la vie qu’on peut. Mon enfance a été maltraitante, à la limite du vide sidéral, enfant prisonnière du non-désir, du non-amour et de l’absence de sens. Le rêve est la première liberté dont on ne peut priver nulle prisonnière, jeune ou moins jeune. Mes parents n’ont pu me couper de mon imaginaire et de la fuite dans la littérature. La paraplégie aujourd’hui ne peut pas m’empêcher de rêver. Mon rêve d’écrire, posé à 18 ans, avait été enseveli par la nécessité de me sécuriser dans une existence sociale et professionnelle intense. Écrire a donc été un bénéfice inattendu de l’épreuve actuelle de mon opération… 40 ans plus tard.

MK : Comment fait-on pour passer de la vie de business woman à la voie de la résilience ?

NLS : Mon destin de femme, c’était de faire d’abord mentir les malheurs de l’enfance et de ne jamais souffrir ou le moins possible, de me protéger. Dans mon enfance, ma devise a toujours été, « même pas mal », pour taire ma douleur, et je suis sortie de l’adolescence vers la vie adulte grâce à cette croyance folle en ma toute-puissance. Ce n’est pas par hasard que j’ai donc choisi la voie de la réussite professionnelle et sociale, m’y enfermant, avec bracelet électronique. On troque une prison pour une autre… jusqu’à comprendre. J’ai fait partie de cette « race de femme dites fortes », que rien ne semblait pouvoir atteindre. Ce n’est pas par hasard que je n’ai pas su entendre les plaintes de mon corps ; le déni permanent de mon ressenti m’a asservie, puis desservie et je suis allée jusqu’à me mettre en danger, avec cette scoliose qui a fini par atteindre 73 degrés. Peut- être que ces étapes étaient nécessaires pour quitter le masque… Par force en 2014, j’ai donc dû lâcher ma résistance physique et mentale inlassable, ma capacité à tout faire, mon temps hyperactif, ma toute-puissance illusoire, qui me semblaient indissociables de moi, de ma vie. J’ai été dépossédée de ma liberté, de ma vie de femme, de mère, d’épouse, de pivot central et d’animatrice. Je n’avais plus de vie professionnelle, sociale, associative, je ne pouvais plus ni lire, ni écrire… Je n’étais plus le conducteur de ma vie. Mais j’ai alors découvert que, aussi douloureux qu’aient été ces pertes et ces renoncements, rien n’entamait ce que je suis vraiment. Au contraire je vivais profondément, malgré l’immobilité imposée, dans l’enfermement de l’hôpital, l’isolement, la solitude. Il me restait à réapprendre l’essentiel. Aujourd’hui, j’apprends à écrire, et à dire, à trouver mon autonomie… Paraplégique, je réapprends concrètement à marcher. Extraordinaire capacité de l’être humain à trouver en lui des ressources qu’il ignore, à une conscience nouvelle, inattendue,à évoluer. C’est différent pour chacun d’entre nous, mais c’est notre capacité à devenir, à rester libre dans sa tête et son cœur, à croire en demain, à ne pas baisser les bras et surtout à imaginer, créer, trouver un sens, à se projeter, à avoir un projet. Cela ne veut pas dire que dans l’épreuve, on échappe aux étapes inéluctables, le choc, le déni, la négociation, la colère, le chagrin puis une forme d’acceptation. C’est là qu’intervient la résilience, cette force de vie, de vivre, qui élabore un sens, fait sortir de l’ornière et du statut odieux de personne asservie, contrainte, de victime… c’est la capacité de résilience qui permet de surmonter l’épreuve quelle qu’elle soit.

MK : La rage de la rebelle que vous êtes vous laisse-t-elle un peu de répit ?

NLFS : Chaque chagrin est réel et nécessaire, on a le droit d’être révolté, triste, en colère. Mais, à un moment, il faut savoir que l’épreuve est, hélas, un enseignement, et on apprend alors à écouter et à lâcher. Lâcher le rêve d’avant, la vie d’avant, ne pas l’oublier puisqu’elle fait partie de soi, mais ne pas pleurer sur le passé ni sur soi. Aujourd’hui, une partie de mon corps reste fortement paralytique, j’ai peu d’équilibre, la marche est incertaine, mais je suis debout. Je sais que je vais trouver autre chose au bout du chemin mais je ne sais pas encore quoi. Que les autres acceptent ou pas mon état, j’apprends à vivre sans eux, ou du moins sans besoin de leur approbation. J’accepte leur compréhension, leur aide, leur amour s’ils le veulent bien, c’est tout. J’ai un regret, j’aimais, danser le rock, mais c’est un rythme trop déséquilibrant pour un corps douloureux et une chute peut être fatale, mais si je suis dans des bras et des mains accueillantes, respectueuses, le rythme est toujours là, le rythme c’est la vie. Et puis, j’avais peur de l’eau, elle est devenue apaisante, portante, nous nous apprivoisons, c’est lent mais nouveau. Je suis obligée d’oublier ma rébellion, pour trouver le répit. Je ne peux plus faire mille choses par jour et je fais des choix qui tiennent compte de moi, au lieu de m’ajuster aux désirs des autres, ou à la convenance sociale. Je me dis que je suis finalement libérée. Mais je rage encore de ne pouvoir prendre mes pieds et sortir seule, libre dans la rue, à ma guise ; passer cet hiver, enfermée chez moi, m’a vidée. Je veux absolument arriver à sortir seule de nouveau… j’aurai mis trois ans à accepter le déambulateur !

MK : Comment être libre dans sa tête et prisonnière de son corps ?

NLFS : Les choses vont bien, songez, d’où je viens ! 59 premières années qui ont été
difficiles mais riches. Et puis je pense à ceux qui m’entourent et qui m’aiment. Je revois mon réveil, emmurée dans mon corps, embastillée pendant neuf mois dans un lit. J’ai changé ma relation à moi-même, en étant obligée de ne plus rechercher la perfection, de ne plus répondre aux attentes convenues, de lâcher la toute puissance, l’obligation de réussir (le gros mot !), je suis forcée aussi de changer ma relation aux autres. Je n’ai plus d’attentes démesurées, à la hauteur de l’exigence que j’avais vis-à-vis de moi ; Les autres sont ce qu’ils sont et je fais avec, ou pas, si cela ne me convient pas. Je n’attends plus, je n’espère plus, je suis contente de ce qui est, et pour ce qui n’est pas, c’est à moi de trouver ma solution. Bizarrement, je me sens libre dans ma tête, inaliénable, libérée d’une certaine dépendance psychologique ou affective, et par conséquent je ne me considère pas comme une victime. Entendons-le bien, j’ai un réel handicap qui m’amène à trouver ses solutions, mais je ne suis pas réduite à mon handicap et à sa prison, et je ne me définis pas comme handicapée. Parfois je demande de l’aide, je n’aime toujours pas demander, car cela me semble discourtois et je crains toujours le rejet, mais je vois bien que c’est parfois nécessaire et j’apprends à le faire : « merci, s’il vous plaît, merci » ! Et quand l’aide n’est pas possible, j’invente un plan B sans état d’âme. Je ne me sens pas frustrée, je suis libre. Mon ego est désormais ailleurs, axé sur l’essentiel… Victime d’un accident opératoire, je ne suis aujourd’hui prisonnière de rien, ni de personne.

Entretien réalisé par Martine Konorski

Tags : handicapinterviewLe roseau penchantMartine KonorskiNadalette La Fonta Sixprisonrésiliencescoliose dégénérativetémoignage
Article précédent

Fermer les prisons, c’est possible

Article suivant

L’évadé d’Alcatraz

Martine Konorski

Martine Konorski

Martine-Gabrielle KONORSKI est de nationalité française et suisse. Elle est auteure de poésie et musicienne. Ses derniers livres : Adesso (Black Herald Press), Instant de Terres (L’Atelier Du Grand Tétras), Et si c’était là-bas (livre d’artiste Les Cahiers du Museur-Coll. A côté), Bandes d’Artistes (livre d’artiste-Lieux Dits), Bethani suivi de Le bouillon de la langue (Le Nouvel Athanor), Une lumière s’accorde (Le Nouvel Athanor), Je te vois pâle … au loin (Le Nouvel Athanor- Prix Poésie Cap 2020), Sutures des Saisons (Caractères). Ses textes sont aussi régulièrement présents en revues. Martine-Gabrielle KONORSKI réalise également des créations au théâtre : soirée autour de Bethani au Théâtre Les Déchargeurs (Paris). Lectures musicales pour percussions et voix au Théâtre du Nord-Ouest (Paris). Accords, dialogue entre ses textes et la musique de Federico Mompou au Théâtre Les Déchargeurs. Par ailleurs, elle est administrateure de L’Union des Poètes & Cie, membre du comité de rédaction de la revue Les Carnets d’Eucharis, a été présidente du jury du concours « Faites des mots en prison » organisé par le Ministère de la justice. Après des études d’anglais, de droit et de sciences politiques, elle a mené une carrière internationale dans la communication en France et aux Etats-Unis. Elle est Chevalier dans l’Ordre national du mérite.

Article suivant
Image extraite du film

L'évadé d'Alcatraz

Laisser un commentaire Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

Rares sont ceux qui méritent qu'on les contredisent
Ernst JüngerAphorismes
On ne s'approprie que ce qu'on a d'abord tenu à distance pour le considérer.
Paul Ricoeur
La vie est jeune. En vieillissant, elle se fait durée, elle se fait temps, elle se fait adieu.
Romain Gary
Il est vain de vouloir libérer la vie des mensonges de l'art.
Georges Bataille
Les bêtes sont des personnes muettes
Un buronnier, vacher de l’Aubrac
Les gens exigent qu'on ait un métier. - Comme si vivre n'en était pas un - et encore le plus difficile !
Emil Cioran
Quand un philosophe me répond, je ne comprends plus ma question.
Pierre Desproges
On ne peut expliquer un paradoxe, non plus qu'un éternuement. D'ailleurs le paradoxe n'est-il pas un éternuement de l'esprit ?
Emil Cioran
Ce que je veux dire, c'est qu'elle avait des yeux où il faisait si bon vivre que je n'ai jamais su où aller depuis.
Romain Gary
On ne peut savoir si l'homme se servira longtemps encore de la parole ou s'il recouvrera petit à petit l'usage du hurlement.
Emil Cioran
Je ne crois pas qu’il soit possible, même à ceux qui ont de grandes familles, de réussir s’ils n’unissent pas à leur talent naturel des qualités simples, solides, laborieuses, et surtout une légitime confiance dans le succès : il n’y a rien de tel en ce monde que de vouloir.
Charles Dickens
Accepter le seul risque raisonnable, celui de se dépasser.
Erri de Luca
L’art est une reconfiguration du champs des possibles
Jean-Louis Bischoff
Le destin de celui qui ne songe qu'à se mettre à couvert, c'est d'être survolé
Ernst JüngerAphorismes
L'homme le plus éclairé est le plus ébloui
Victor Hugo
Précédent
Suivant

Abonnez-vous à notre newsletter

Inscrivez-vous à notre newsletter !

Nous ne spammons pas ! Consultez notre politique de confidentialité pour plus d’informations.

Vérifiez votre boite de réception ou votre répertoire d’indésirables pour confirmer votre abonnement.

Rubrique(s)

  • 3 questions à…
  • Art(s)
  • Cinéma(s)
  • Classique(s)
  • Dossier du mois : L'art peut-il influencer le monde ?
  • Dossier du mois : La foire aux cons : toujours d'actualité
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Edito(s)
  • Geekologie(s)
  • Inclassable(s)
  • L'impertinence poétique
  • Le Mag papier
  • Les gonzoïdes de l'Apocalypse
  • Les grands entretiens rebelle(s)
  • Littéraire(s)
  • Mémoires Démasqués
  • Philo-spirit(s)
  • Politique(s)
  • Rock and Folk et Musique(s)
  • Société(s)
  • Spécial Ukraine
  • Théatre – Spectacle(s)
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Voyage(s)
interviews 1 scaled

Articles récents

  • Ah ça ira, ça ira… ! 18 mars 2023
  • Le professeur inexistant (philosophie) 17 mars 2023
  • Pasolini, un rebelle au-delà de l’écran 16 mars 2023
  • Final de l’âge d’or des Rolling Stones : It’s Only Rock ‘n’ Roll 15 mars 2023
  • Nous revivrons 12 mars 2023
  • FECRIS, Novopashin encore et zombies ukrainiens 12 mars 2023
  • L’âge d’or des Rolling Stones : Goat’s Head Soup 8 mars 2023
  • Une réflexion sur la liberté et la sécurité autour du roman d’Ira Levin, Un Bonheur insoutenable 7 mars 2023
  • Comment se laisse-t-on séduire par le côté obscur ? 6 mars 2023
  • Un homme heureux 5 mars 2023
  • Accords et à cran, Aurélia Lesbros 5 mars 2023
  • Les bobos… anti-bobo ! 1 mars 2023
  • Peut-on concilier, comme Jésus de Nazareth, la liberté et l’autorité ? 28 février 2023
  • L’âge d’or des Rolling Stones : Exile On Main Street 27 février 2023
  • Que deviennent les opposants à la guerre en Russie ? 26 février 2023
  • Droits des femmes : Simone de Beauvoir avait tellement raison ! 22 février 2023
  • Le temps des féminismes 22 février 2023
  • L’Art d’Accommoder la Vieillesse 22 février 2023
  • Irréfutable essai de successologie 22 février 2023
  • L’âge d’or des Rolling Stones : Sticky Fingers 20 février 2023
  • La retraite à 64 ans ?  Qui va trinquer  ? 18 février 2023
  • Leonid Sevastianov : un Russe pour la paix 18 février 2023
  • Cruel Oncle Vania ! 12 février 2023
  • L’âge d’or des Rolling Stones : Get Yer Ya-Ya’s Out! 11 février 2023
  • Réforme des retraites : faux problème 11 février 2023
  • L’âge d’or des Rolling Stones : Let It Bleed 5 février 2023
  • Pourquoi tant de haine ? 3 février 2023
  • Scientifiques émotifs 29 janvier 2023
  • La camisole chimique menace les Français 29 janvier 2023
  • Affaire Dupont de Ligonnès : la secte qui n’en était pas une 25 janvier 2023
  • Cavalcade amoureuse au Théâtre de la Ville 22 janvier 2023
  • Génocide des Ouïghours : les musulmans ont aussi leurs collabos 20 janvier 2023
  • Perdu en mère 16 janvier 2023
  • Zhanargul Zhumatai : Un entretien dramatique avec une survivante d’un camp d’ethnie kazakhe qui pourrait bientôt “disparaître”. 13 janvier 2023
  • L’âge d’or des Rolling Stones : Beggar’s Banquet 13 janvier 2023
  • Des médiums et des cathos contre Poutine 13 janvier 2023
  • Ombres et lumières 8 janvier 2023
  • Fin du Cycle Disco : 1980 et au-delà… 8 janvier 2023
  • Des Saints, Sinon Rien – Censure d’aujourd’hui 7 janvier 2023
  • La poétique désabusée de « La Maman et la Putain » 6 janvier 2023
  • Réhabiliter Louis Aragon, rue de Bourgogne… 5 janvier 2023
  • Russie : nazis cannibales, Novopashin récidive ! 4 janvier 2023
  • La Douma, les nouvelles lois et le droit de buter de l’Ukrainien 3 janvier 2023
  • Cycle Disco : 1979, deuxième partie 2 janvier 2023
  • J’ai découvert Raël grâce au Figaro ! Une enquête de dingue ! (Ironie) 1 janvier 2023
  • Écouter, sentir… 31 décembre 2022
  • Poutine communiste ou tsariste ? D’Alexandre III à Joseph Staline 26 décembre 2022
  • Cycle Disco : 1979, première partie 26 décembre 2022
  • Chroniques familiales – extraits 25 décembre 2022
  • Coups de coeur au bout du monde – Chili 25 décembre 2022
  • SANS NOTES ! 25 décembre 2022
  • L’Église orthodoxe russe veut une loi contre les idéologies destructrices 18 décembre 2022
  • Que va faire le nouveau ministre de l’Éducation nationale ? 15 décembre 2022
  • Délestages extrêmes 15 décembre 2022
  • Laïcité et république 15 décembre 2022
  • Cycle Disco : 1978 (3ème partie) 12 décembre 2022
  • Un manteau russe ou ukrainien ? 11 décembre 2022
  • Arrêtez de me Weinstiner ! 8 décembre 2022
  • Quartier rouge 8 décembre 2022
  • Prendre la route 8 décembre 2022
  • La Dernière Page 8 décembre 2022
  • La France a du mal avec ses rebelles – 2/2 8 décembre 2022
  • La France a du mal avec ses rebelles – 1/2 8 décembre 2022
  • Fin du cycle Glam Rock : et pour quelques paillettes de plus 3 décembre 2022
  • En Russie, il est de plus en plus dangereux de créer une ONG 1 décembre 2022
  • Faut-il réhabiliter l’anarchie ? 1 décembre 2022
  • Sécurité partout, éducation nulle part 1 décembre 2022
  • Elephant 29 novembre 2022
  • Alain Jouffroy ou le dernier des surréalistes rebelles 29 novembre 2022
  • « Lettres à sa fille » – Calamity Jane 27 novembre 2022
  • En dépit de sa mère ! 27 novembre 2022
  • Le Père Boulier, un prêtre rouge combattant l’antisémitisme 26 novembre 2022
  • Cycle Glam Rock : pour une poignée de paillettes… 26 novembre 2022
  • Koltès à la Bastille 17 novembre 2022
  • L’Ukraine harasse Poutine 13 novembre 2022
  • Enfermé dehors 11 novembre 2022
  • Imagination active et transe chamanique – 3/3 10 novembre 2022
  • Imagination active et transe chamanique – 2/3 10 novembre 2022
  • Imagination active et transe chamanique – 1/3 10 novembre 2022
  • La musique, instrument de réconciliation des peuples 10 novembre 2022
  • Cycle Glam Rock : Roxy Music 7 novembre 2022
  • Nos années 80… Souvenirs, mon amour 5 novembre 2022
  • La loi des séries 5 novembre 2022
  • Les choses, une histoire de la nature morte 5 novembre 2022
  • C’était mieux avant ! 5 novembre 2022
  • Sur la trace des cyclos 4 novembre 2022
  • Un Christ à prix d’or ! 4 novembre 2022
  • Poutine est un Staline qui ne s’ignore pas 4 novembre 2022
  • Ma rencontre avec Jung 30 octobre 2022
  • Les différentes régions du ciel 30 octobre 2022
  • Du désordre amoureux au renoncement au monde 30 octobre 2022
  • L’homme qui tua Liberty Valance 30 octobre 2022
  • L’homme et le divin 30 octobre 2022
  • Écosophie 30 octobre 2022
  • L’écosophie de Michel Maffesoli et le corps 30 octobre 2022
  • L’âme-son (hameçon) du rock n’ roll 30 octobre 2022
  • Pour Alexandre Novopashin les Ukrainiens sont un ramassis de nazis satanistes et sectaires 25 octobre 2022
  • Ma millième note 23 octobre 2022
  • Grande démission : le travail a perdu son sens 23 octobre 2022
  • Russie : Non, le Patriarche Kirill n’a pas changé 21 octobre 2022
  • Cycle Glam Rock : Lou Reed, partie II 20 octobre 2022
  • Mentions légales site
  • S’abonner à Rebelle(s)
  • L’ours
  • Politique de cookies

© 2023

Pas de résultat
Voir tous les résultats
  • Accueil
  • Qui sommes-nous ?
  • Le Mag Papier
  • Geekologie(s)
  • Littéraire(s)
  • Société(s)
  • Politique(s)
  • Art(s)
  • Art(s)
  • Cinéma(s)
  • Rock and Folk et Musique(s)
  • Théatre – Spectacle(s)
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Edito(s)
  • Inclassable(s)
  • L’impertinence poétique
  • Littéraire(s)
  • Philo-spirit(s)
  • Tribune(s) Libre(s)
  • Voyage(s)
  • Dossier du mois : Qu’est-ce que se rebeller aujourd’hui ?
  • Contact

© 2023

Bienvenue !

OU

Login to your account below

Mot de passe oublié ? S'inscrire

Create New Account!

OU

Fill the forms bellow to register

*By registering into our website, you agree to the Terms & Conditions and Privacy Policy.
Tous les champs sont obligatoires. Se connecter

Récupérez votre mot de passe

Veuillez saisir votre nom d'utilisateur ou votre email pour réinitialiser votre mot de passe.

Se connecter
Social Media Auto Publish Powered By : XYZScripts.com
RBLs
Gérer le consentement aux cookies
Nous utilisons des cookies pour optimiser notre site web et notre service.
Les cookies fonctionnels Toujours activé
Le stockage ou l’accès technique est strictement nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de permettre l’utilisation d’un service spécifique explicitement demandé par l’abonné ou l’utilisateur, ou dans le seul but d’effectuer la transmission d’une communication sur un réseau de communications électroniques.
Préférences
Le stockage ou l’accès technique est nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de stocker des préférences qui ne sont pas demandées par l’abonné ou l’utilisateur.
Statistiques
Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement à des fins statistiques. Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement dans des finalités statistiques anonymes. En l’absence d’une assignation à comparaître, d’une conformité volontaire de la part de votre fournisseur d’accès à internet ou d’enregistrements supplémentaires provenant d’une tierce partie, les informations stockées ou extraites à cette seule fin ne peuvent généralement pas être utilisées pour vous identifier.
Marketing
Le stockage ou l’accès technique est nécessaire pour créer des profils d’utilisateurs afin d’envoyer des publicités, ou pour suivre l’utilisateur sur un site web ou sur plusieurs sites web ayant des finalités marketing similaires.
Gérer les options Gérer les services Gérer les fournisseurs En savoir plus sur ces finalités
Voir les préférences
{title} {title} {title}
Ce site web utilise des cookies. En continuant à utiliser ce site web, vous consentez à ce que des cookies soient utilisés. Visitez notre Politique de confidentialité et de cookies.
Êtes-vous sûr de vouloir déverrouiller ce poste ?
Unlock left : 0
Êtes-vous sûr de vouloir annuler l'abonnement ?